La commune de Heuraoua relevant de la circonscription de Rouïba, et à l'exemple de ses pairs s'est engagée dans une lutte contre le commerce informel. Pour tenter d'éradiquer ce phénomène, elle a lancé le projet de réalisation d'un marché couvert dans la localité de Hai Ain Kahla. Nombre de communes algéroises ont opté pour ce genre de solutions tentant à amoindrir le commerce informel : nouveaux marchés, extension de ceux existants déjà, ou délocalisation des anciens «souks» pour une meilleure organisation et gestion…). Le commerce informel dans la capitale est malheureusement loin d'être un phénomène temporaire ou isolé et est bien loin de connaitre son terme, même si les autorités locales testent dans le but de l'amoindrir, diverses options visant à son organisation et contrôle, entre autres la réalisation de nouveaux marchés, locaux commerciaux, magasins, kiosques, et boutiques. Ces endroits sont mis à la disposition des jeunes ( et moins jeunes) commerçants informels, afin de diminuer, un tant soit peu le phénomène. Mais aussitôt casés, d'autres les remplacent et ils sont chaque jour de plus en plus nombreux. Le squat des trottoirs des routes pour y proposer à la vente tout et n'importe quoi, est devenu une tradition chez nous. Avec l'arrivée du mois de ramadan, cette pratique est appelée à s'intensifier, surtout aux alentours des marchés, où seront proposés galettes, pois chiche trempés pour la chorba, coriandre et autre persil… Toutefois il s'agit là d'un commerce périodique qui prendra fin avec le ramadan pour être remplacé par les centaines de jouets bon marché pour l'Aid. Une étude sur le commerce informel a été menée en 2006 en Algérie, elle a été conduite par des experts délégués par la Commission européenne. Cette commission, au terme de son étude, a recommandé une série suggestions très simples aptes à freiner l'extension du commerce informel, mais aucune recommandation n'a été donnée dans l'objectif de l'éradiquer définitivement, cela semblerait être mission impossible. La commune de Heuraoua relevant de la circonscription de Rouïba, et à l'exemple de ses pairs s'est engagée dans une lutte contre le commerce informel. Pour tenter d'éradiquer ce phénomène, elle a lancé le projet de réalisation d'un marché couvert dans la localité de Hai Ain Kahla. Nombre de communes algéroises ont opté pour ce genre de solutions tentant à amoindrir le commerce informel : nouveaux marchés, extension de ceux existants déjà, ou délocalisation des anciens «souks» pour une meilleure organisation et gestion…). Le commerce informel dans la capitale est malheureusement loin d'être un phénomène temporaire ou isolé et est bien loin de connaitre son terme, même si les autorités locales testent dans le but de l'amoindrir, diverses options visant à son organisation et contrôle, entre autres la réalisation de nouveaux marchés, locaux commerciaux, magasins, kiosques, et boutiques. Ces endroits sont mis à la disposition des jeunes ( et moins jeunes) commerçants informels, afin de diminuer, un tant soit peu le phénomène. Mais aussitôt casés, d'autres les remplacent et ils sont chaque jour de plus en plus nombreux. Le squat des trottoirs des routes pour y proposer à la vente tout et n'importe quoi, est devenu une tradition chez nous. Avec l'arrivée du mois de ramadan, cette pratique est appelée à s'intensifier, surtout aux alentours des marchés, où seront proposés galettes, pois chiche trempés pour la chorba, coriandre et autre persil… Toutefois il s'agit là d'un commerce périodique qui prendra fin avec le ramadan pour être remplacé par les centaines de jouets bon marché pour l'Aid. Une étude sur le commerce informel a été menée en 2006 en Algérie, elle a été conduite par des experts délégués par la Commission européenne. Cette commission, au terme de son étude, a recommandé une série suggestions très simples aptes à freiner l'extension du commerce informel, mais aucune recommandation n'a été donnée dans l'objectif de l'éradiquer définitivement, cela semblerait être mission impossible.