La taxe payée par les propriétaires de logement particuliers inoccupés sera supprimée, très prochainement, à la seule condition que ces habitations soient louées. Cette initiative s‘inscrit dans les nouveaux projets annoncés, mercredi dernier, par le ministre de l‘Habitat, Noureddine Moussa, lors de la cérémonie de distribution des clés de logements AADL à Heuraoua, Boumaati et Baba Hacen. Le ministre, qui s‘est fixé pour objectif, de réaliser un nombre important de logements afin de répondre à la demande des citoyens, a annoncé à cet effet qu‘un «nouveau programme AADL 2010-2014 sera bientôt lancé et sera aussi important en termes de volume par rapport à celui 2001-2002». Il a estimé à cet effet, que les mesures entreprises, récemment, par l‘Etat quant au renforcement des offres de crédits bancaires en faveur des clients de l‘immobilier, «attirera des clients solvables». Le ministre a affirmé, par ailleurs, que la majorité des projets annoncés pour 2001-2002 ont été réceptionnés en précisant que 45.000 des 55.000 unités ont été délivrées aux bénéficiaires. «Nous avons accusé un petit retard insignifiant qui nous conduira à un petit glissement vers 2010 pour clôturer le premier programme», a-t-il ajouté. En se basant sur la capitale, Noureddine Moussa fera savoir que ce site a bénéficié de 25.500 logements durant cette même période. «Je tiens à dire que les logements aux bénéficiaires des sites de Heuraoua, Boumati et Baba Hassen ont coûté très cher au budget de l‘Etat. Nous avons effectué une réetude antisismique en janvier 2004 pour procéder de nouveau, à la construction de ces immeubles. Nous avons à cet effet déployé plus de moyens financiers pour l‘aboutissement du projet dans les délais prescrits pour le programme 2001-2002 », a révélé le ministre. Réagissant au rassemblement tenu le même jour, des futurs bénéficiaires des logements AADL d‘El Achour qui dénoncent le retard de la livraison des clés, M. Moussa a confié que son département a résilié le contrat de construction de l‘entreprise libanaise, qui a pris en charge le chantier et qui s‘est par la suite montré défaillante. D‘où le retard. La taxe payée par les propriétaires de logement particuliers inoccupés sera supprimée, très prochainement, à la seule condition que ces habitations soient louées. Cette initiative s‘inscrit dans les nouveaux projets annoncés, mercredi dernier, par le ministre de l‘Habitat, Noureddine Moussa, lors de la cérémonie de distribution des clés de logements AADL à Heuraoua, Boumaati et Baba Hacen. Le ministre, qui s‘est fixé pour objectif, de réaliser un nombre important de logements afin de répondre à la demande des citoyens, a annoncé à cet effet qu‘un «nouveau programme AADL 2010-2014 sera bientôt lancé et sera aussi important en termes de volume par rapport à celui 2001-2002». Il a estimé à cet effet, que les mesures entreprises, récemment, par l‘Etat quant au renforcement des offres de crédits bancaires en faveur des clients de l‘immobilier, «attirera des clients solvables». Le ministre a affirmé, par ailleurs, que la majorité des projets annoncés pour 2001-2002 ont été réceptionnés en précisant que 45.000 des 55.000 unités ont été délivrées aux bénéficiaires. «Nous avons accusé un petit retard insignifiant qui nous conduira à un petit glissement vers 2010 pour clôturer le premier programme», a-t-il ajouté. En se basant sur la capitale, Noureddine Moussa fera savoir que ce site a bénéficié de 25.500 logements durant cette même période. «Je tiens à dire que les logements aux bénéficiaires des sites de Heuraoua, Boumati et Baba Hassen ont coûté très cher au budget de l‘Etat. Nous avons effectué une réetude antisismique en janvier 2004 pour procéder de nouveau, à la construction de ces immeubles. Nous avons à cet effet déployé plus de moyens financiers pour l‘aboutissement du projet dans les délais prescrits pour le programme 2001-2002 », a révélé le ministre. Réagissant au rassemblement tenu le même jour, des futurs bénéficiaires des logements AADL d‘El Achour qui dénoncent le retard de la livraison des clés, M. Moussa a confié que son département a résilié le contrat de construction de l‘entreprise libanaise, qui a pris en charge le chantier et qui s‘est par la suite montré défaillante. D‘où le retard.