Vu qu'elle est désignée pour coordonner toutes les actions menées par les pays membres de l'Union africaine en matière de changement climatique, l'Algérie prendra part à la prochaine conférence mondiale de Copenhague (Danemark), se rapportant aux changements climatiques. C'est ce qu'a affirmé, vendredi dernier, la directrice de l'environnement et du développement durable au ministère des Affaires étrangères, Mme Latifa Benazza. Cette dernière a affirmé que l'Algérie devra désormais participer à toutes les rencontres consacrées au phénomène en question. Elle précise que cette nouvelle donne ne peut que «lui être bénéfique, puisque la délégation algérienne sera en mesure de défendre de plus près les intérêts du pays». En guise de préparation à ce rendez-vous d'envergure internationale programmé pour décembre 2009, les trois départements ministériels en l'occurrence celui des Affaires étrangères de Mourad Médelci, de l'Energie et des Mines de Chakib Khelil et de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme de Chérif Rahmani se sont réunis, jeudi dernier, avec des experts en la matière. A l'ordre du jour un débat sur la question et sur le meilleur chemin à prendre pour préformer la représentation algérienne. Sur le plan africain, par ailleurs, une réunion est prévue pour demain par l'UE. Elle aura comme but, tel qu'a rapporté Afrique en Ligne, une meilleure consolidation du cours des négociations africaines et réalisations des décisions prises antérieurement. A rappeler que l'Algérie s'est vue attribuer cette charge après que l'Union africaine a décidé, lors de son sommet tenu en février 2009, de mettre en place une position unie de l'Afrique lors de la conférence de Copenhague. Aussi, la 13e conférence des chefs d'Etat et de gouvernement, à Syrte en Libye, en juillet 2009, a consenti la déclaration d'Alger de mai 2009 relative à la plateforme commune africaine à Copenhague. Ainsi, l'UA qui aspirait depuis février précédent à avoir une délégation apte à négocier au nom de l'intégralité des états membres, a fixé son choix sur l'Algérie. Vu qu'elle est désignée pour coordonner toutes les actions menées par les pays membres de l'Union africaine en matière de changement climatique, l'Algérie prendra part à la prochaine conférence mondiale de Copenhague (Danemark), se rapportant aux changements climatiques. C'est ce qu'a affirmé, vendredi dernier, la directrice de l'environnement et du développement durable au ministère des Affaires étrangères, Mme Latifa Benazza. Cette dernière a affirmé que l'Algérie devra désormais participer à toutes les rencontres consacrées au phénomène en question. Elle précise que cette nouvelle donne ne peut que «lui être bénéfique, puisque la délégation algérienne sera en mesure de défendre de plus près les intérêts du pays». En guise de préparation à ce rendez-vous d'envergure internationale programmé pour décembre 2009, les trois départements ministériels en l'occurrence celui des Affaires étrangères de Mourad Médelci, de l'Energie et des Mines de Chakib Khelil et de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme de Chérif Rahmani se sont réunis, jeudi dernier, avec des experts en la matière. A l'ordre du jour un débat sur la question et sur le meilleur chemin à prendre pour préformer la représentation algérienne. Sur le plan africain, par ailleurs, une réunion est prévue pour demain par l'UE. Elle aura comme but, tel qu'a rapporté Afrique en Ligne, une meilleure consolidation du cours des négociations africaines et réalisations des décisions prises antérieurement. A rappeler que l'Algérie s'est vue attribuer cette charge après que l'Union africaine a décidé, lors de son sommet tenu en février 2009, de mettre en place une position unie de l'Afrique lors de la conférence de Copenhague. Aussi, la 13e conférence des chefs d'Etat et de gouvernement, à Syrte en Libye, en juillet 2009, a consenti la déclaration d'Alger de mai 2009 relative à la plateforme commune africaine à Copenhague. Ainsi, l'UA qui aspirait depuis février précédent à avoir une délégation apte à négocier au nom de l'intégralité des états membres, a fixé son choix sur l'Algérie.