Le Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy), menace de saisir la justice dès le mois de septembre prochain dans le cas où le statut particulier n'est toujours pas publié au journal officiel. Dans une déclaration, hier, au midi libre, le président de Snapsy, le Dr Khaled Keddad a expliqué qu'il trouve «injuste que le gouvernement refuse toute forme de négociation sur le régime indemnitaire tant que l'ensemble des statuts particulier, tout corps confondu, n'a pas été publié». Il a fait savoir que sur 52 statuts, 22 ont été finalisés, récemment et en 18 mois et 30 restent inachevés. «On ne peut pas attendre que tous les statuts particuliers soient finalisés pour que notre plate-forme de revendication soit concrètisée sur le terrain d'autant plus que la loi stipule que la durée d'application d'un texte est d'un mois», a-t-il précisé. Il a toutefois affirmé qu'avant d'entamer une quelconque action, le Snapsy organisera d'abord une assemblée générale, à la prochaine rentrée sociale pour dénoncer le fait et faire encore une fois, appel au chef de l'Etat pour intervenir sur la question. Même si le Snapsy a été rassuré par le chef de cabinet du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière, (MSPRH) en lui a annonçant l'adoption de la loi, après son dernier sit-in, le 6 juin dernier, l'orateur s'est montré méfiant et s'interroge toujours quant au non aboutissement de son application. «Le Snapsy est face à une situation confuse. Le ministère annonce qu'il ouvre toute forme de dialogue avec le syndicat alors que la loi sur le régime indemnitaire a été adoptée par le Conseil des ministres et nous avons été les derniers à être mis au courant même si nous sommes les premiers concernés par le dossier», a souligné, M. Keddad. Celui-ci s'interroge sur le fait que «nous n'avons jamais été reçu par Saïd Barkat alors que ce dernier a ouvert le dialogue avec tous les autres syndicats». «Seuls les psychologues relevant du ministère de la Santé, ne bénéficient d'aucune prime ou indemnité. Nous ignorons donc si notre mouture a été prise en considération lorsque nous lui avons adressé, le mois de janvier dernier, notre plate-forme de revendications qui traîne depuis 2005», a-t-il dit. Selon lui, le statut particulier avec un classement à l'échelle 13, au lieu de l'échelle 12 ainsi que le paiement des indemnités, devait être adopté en collaboration avec le Snapsy en tant que partenaire social. M. Keddad a précisé que «le système indemnitaire doit être mis en place en harmonie avec des conditions particulières liées à l'exercice de la profession de psychologue, la régularisation de la situation administrative du personnel contractuel, ou en activité sous contrat pré-emploi, le droit à la promotion dans le déroulement de carrière du psychologue, assurer l'équipement dans les salles de visite, le droit de représentativité au sein des conseils d'administration et autres conseils scientifique et médical». Le Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy), menace de saisir la justice dès le mois de septembre prochain dans le cas où le statut particulier n'est toujours pas publié au journal officiel. Dans une déclaration, hier, au midi libre, le président de Snapsy, le Dr Khaled Keddad a expliqué qu'il trouve «injuste que le gouvernement refuse toute forme de négociation sur le régime indemnitaire tant que l'ensemble des statuts particulier, tout corps confondu, n'a pas été publié». Il a fait savoir que sur 52 statuts, 22 ont été finalisés, récemment et en 18 mois et 30 restent inachevés. «On ne peut pas attendre que tous les statuts particuliers soient finalisés pour que notre plate-forme de revendication soit concrètisée sur le terrain d'autant plus que la loi stipule que la durée d'application d'un texte est d'un mois», a-t-il précisé. Il a toutefois affirmé qu'avant d'entamer une quelconque action, le Snapsy organisera d'abord une assemblée générale, à la prochaine rentrée sociale pour dénoncer le fait et faire encore une fois, appel au chef de l'Etat pour intervenir sur la question. Même si le Snapsy a été rassuré par le chef de cabinet du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière, (MSPRH) en lui a annonçant l'adoption de la loi, après son dernier sit-in, le 6 juin dernier, l'orateur s'est montré méfiant et s'interroge toujours quant au non aboutissement de son application. «Le Snapsy est face à une situation confuse. Le ministère annonce qu'il ouvre toute forme de dialogue avec le syndicat alors que la loi sur le régime indemnitaire a été adoptée par le Conseil des ministres et nous avons été les derniers à être mis au courant même si nous sommes les premiers concernés par le dossier», a souligné, M. Keddad. Celui-ci s'interroge sur le fait que «nous n'avons jamais été reçu par Saïd Barkat alors que ce dernier a ouvert le dialogue avec tous les autres syndicats». «Seuls les psychologues relevant du ministère de la Santé, ne bénéficient d'aucune prime ou indemnité. Nous ignorons donc si notre mouture a été prise en considération lorsque nous lui avons adressé, le mois de janvier dernier, notre plate-forme de revendications qui traîne depuis 2005», a-t-il dit. Selon lui, le statut particulier avec un classement à l'échelle 13, au lieu de l'échelle 12 ainsi que le paiement des indemnités, devait être adopté en collaboration avec le Snapsy en tant que partenaire social. M. Keddad a précisé que «le système indemnitaire doit être mis en place en harmonie avec des conditions particulières liées à l'exercice de la profession de psychologue, la régularisation de la situation administrative du personnel contractuel, ou en activité sous contrat pré-emploi, le droit à la promotion dans le déroulement de carrière du psychologue, assurer l'équipement dans les salles de visite, le droit de représentativité au sein des conseils d'administration et autres conseils scientifique et médical».