Les habitants de la plupart des quartiers de la ville de Skikda sont confrontés, depuis pratiquement le début du mois de Ramadhan, aux problèmes des fréquentes coupures d'électricité. Des coupures qui interviennent quotidiennement et juste au moment de la rupture du jeûne perturbant ainsi les familles à un moment où elles sont censées être réunies autour de la table du «f'tour». La fréquence de ces coupures a fini par créer des réflexes chez les habitants qui doivent désormais se munir de chandelles avant de se mettre à table. Toute la zone sud de la ville et les quartiers de Larbi Ben M'hidi, les Frères-Ayachi, Salah Boulkeroua, la Cisel, les Allées du 20 Août 55, le faubourg de l'Espérance, quartier où est implantée la direction régionale de Sonelgaz ainsi que la cité des Frères-Saker, celle des Frères Bouhadja, sont désormais confrontés à ces coupures récurrentes de l'énergie électrique qui n'est rétablie que très tard dans la nuit. Les services de Sonelgaz n'ont, pour leur part, fourni aucune explication concernant ces pannes, pis encore, «ils ne répondent même pas aux appels téléphoniques des abonnés» souligneront de nombreux habitants irrités de cette situation d'autant que Skikda est l'une des rares villes du pays à disposer de deux importantes centrales électriques qui alimentent le réseau national. Les habitants de la plupart des quartiers de la ville de Skikda sont confrontés, depuis pratiquement le début du mois de Ramadhan, aux problèmes des fréquentes coupures d'électricité. Des coupures qui interviennent quotidiennement et juste au moment de la rupture du jeûne perturbant ainsi les familles à un moment où elles sont censées être réunies autour de la table du «f'tour». La fréquence de ces coupures a fini par créer des réflexes chez les habitants qui doivent désormais se munir de chandelles avant de se mettre à table. Toute la zone sud de la ville et les quartiers de Larbi Ben M'hidi, les Frères-Ayachi, Salah Boulkeroua, la Cisel, les Allées du 20 Août 55, le faubourg de l'Espérance, quartier où est implantée la direction régionale de Sonelgaz ainsi que la cité des Frères-Saker, celle des Frères Bouhadja, sont désormais confrontés à ces coupures récurrentes de l'énergie électrique qui n'est rétablie que très tard dans la nuit. Les services de Sonelgaz n'ont, pour leur part, fourni aucune explication concernant ces pannes, pis encore, «ils ne répondent même pas aux appels téléphoniques des abonnés» souligneront de nombreux habitants irrités de cette situation d'autant que Skikda est l'une des rares villes du pays à disposer de deux importantes centrales électriques qui alimentent le réseau national.