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L'avenir du monde musulman
«Ceux qui croient et dont les cœurs se tranquillisent à l'évocation de Dieu. N'est-ce point par l'évocation de Dieu que se tranquillisent les cœurs. (Sourate 13 verset 28)
Publié dans Le Midi Libre le 03 - 09 - 2009

Ce dont il ne faut pas douter, c'est qu'un immense élan de pensée s'élève de jour en jour et dans chaque coin du monde musulman avec pour but la lutte contre l'invasion culturelle étrangère, invasion qui avait dominé la vie publique en pays d'Islam.
Ce dont il ne faut pas douter, c'est qu'un immense élan de pensée s'élève de jour en jour et dans chaque coin du monde musulman avec pour but la lutte contre l'invasion culturelle étrangère, invasion qui avait dominé la vie publique en pays d'Islam.
Le Coran s'adressant aux musulmans souligne que la nation islamique est une et indivisible ‘‘Nous avons fait de vous une nation de juste milieu'' le messager de Dieu dans plusieurs hadiths soutient, en effet, que le juste milieu est une équation qui a toujours prévalue dans ses prises de décision et il a conseillé ses disciples d'en faire autant.
Depuis, le point de vue musulman, tout en restant dans les conditions énoncées, n'admet pas de libre-arbitre (acquisition). Nous trouvons dans le Coran soixante versets qui le prouvent. Nous avons l'exemple du Prophète et son combat pour la cause de Dieu, celui de ses généreux compagnons et des ancêtres, qui ont répandu l'Islam partout dans le monde, grâce à la justesse de leurs actions et à la sagesse de leurs décisions.
Ils ont eu le pouvoir dans les trois continents durant plusieurs siècles, car appliquant à la lettre les enseignements de leurs prédécesseurs. On ne saurait donc dire, sinon pour induire en erreur, que leur doctrine du libre-arbitre est à l'origine de leur retard, car en fait, c'est cette doctrine, de l'Islam authentique, qui a conduit vers la gloire et c'est l'ignorance, la résignation, la superstition qui leurs viennent des non musulmans et des sectes égarées, qui les ont éconduits et retardés.
La pensée du cheikh Abdou s'élève quand il réfute Hanotaux dans la question des attributs divins à savoir la croyance en un Dieu incarné que Hanotaux met à l'origine de la supériorité de la race aryenne et sa civilisation.
Abdou rappelle que ce sont les idolâtres anthropomorphites qui croient que Dieu a un corps, qui sont restés en deçà de la connaissance, et qui sont en déclin à des degrés divers, que ce soient les idolâtres d'Afrique, ou les bouddhistes de chine.
Il ajoute que plus la connaissance de l'homme s'élève, plus il découvre que la vérité est dans la foi en un Dieu unique et sans pareil. Ce fut le cas des Grecs qui, d'idolâtres qu'ils étaient, ne cessèrent de s'éloigner de l'idolâtrie à mesure que leurs sciences s'élevaient et que leurs philosophes poussaient leurs recherches au sujet de la nature des êtres, ils finirent par arriver au monothéisme,.
Pythagore était resté au seuil du sacré, Socrate, Platon et Aristote après lui combattirent l'idolâtrie et le polythéisme, non pas par le geste et la parole, mais surtout par leurs écrits, qui valurent aux Gréco-Latins, de trouver un support non négligeable, à la rédaction de l'ancien et du nouveau testament.
Quiconque a lu La République de Platon, par exemple, sait comment ce dernier a lutté contre l'idolâtrie et les croyances futiles, répandues par sa communauté, parfois au péril de son statut et de son poids dans le conseil des sages.
C'est de cette manière que cheikh Abdou a prouvé, que jamais l'idolâtrie n'était un signe de progrès ni un titre de mérite comme le prétend Hanotaux. D'ailleurs il n'a convaincu personne d'autres par ses thèses farfelues, que ceux comme lui, qui ont une haine viscérale contre l'Islam.
Cheikh Abdou en vient ensuite à démontrer les défauts de la foi chrétienne dont Hanotaux fait son cheval de bataille, en essayant de faire dire à l'église, ce que les écoles ecclésiastiques elles mêmes ne connaissent pas.
Pour étayer ces thèses, il utilise l'opprobre et le blasphème, en se contredisant parfois, son unique but est de trouver des failles dans une religion qu'il n'a découvert qu'à travers les ouvrages écrits dans sa langue maternelle.
Il essaya de cultiver cet esprit contradictoire, en fustigeant, tout ce qui a trait aux principes fondamentaux de la civilisation musulmane et aux sciences religieuses, avec un style puérique, qui démontre son degré d'agressivité envers l'Islam.
Pour répondre, cheikh Abdou rappellera les étapes qu'a traversées l'Islam, pour aboutir ensuite au stade de la créativité et de l'invention. Il a rappelé par contre l'esclavage auquel les prêtres soumettaient le peuple en général et les femmes en particulier, au moment ou l'Islam a libéré la femme et banni l'esclavage.
Qui a déclenché le déclic, qui mit l'Europe sur la voie de la renaissance, alors que si elle s'était maintenue dans sa pratique ancienne jamais elle ne se serait réveillée ? Autant de questions qui ne peuvent trouver leurs réponses que dans la logique islamique.Tandis qu'il en était ainsi du Christianisme, l'Islam a appelé au culte d'un seul Dieu à l'exclusion de tout intermédiaire, il a libéré les âmes de toute domination de quelque créature qu'elle vienne. Il a insufflé à ses disciples le sens du travail, de l'effort et de la responsabilité, il a effacé les vices et illuminé les esprits. Si donc l'Islam a connu une éclipse, il s'en remettra en dépit de la faiblesse des Musulmans.
Connaissez-vous votre religion ?
Existe-t-il une différence entre prophète et messager ? Dans quelle catégorie peut-on classer le premier homme sur terre ?
A. Wahiba (Oran)
Le Prophète est désigné dans le Coran par le terme arabe «Nabi», qui veut dire également l'Elu, celui que Dieu a effectivement choisi pour une mission déterminée. Cette mission peut-être restreinte ou spécifique à un groupe communautaire.
Le Messager est lui désigné toujours dans le Coran sous l'appellation de «Rassoul» ou l'envoyé de Dieu. Alors que le premier ne fait que recevoir, sous l'impulsion de Dieu, la Vérité et la fait connaître aux hommes, en veillant rigoureusement à ce qu'elle soit bien assimilée et bien comprise, le second, non seulement reçoit la vérité et les avertissements qui sont soumis aux mêmes conditions, mais porte également un Message, une loi révélée, qu'aucun de ses prédécesseurs n'a connus.
Le Messager est toujours Prophète, mais le Prophète peut ne pas être porteur d'un Message, c'est-à-dire d'un Livre, donc d'une mission avec une preuve évidente, annonçant la bonne nouvelle provenant du Seigneur.
Les messages les plus connus, pour lesquels à la tête de chacun se trouve un Messager et que le Coran à révélé : nous avons, Abraham, (Les Feuilles) Moise (La Thora), David (Les Psaumes) Jésus (L'Evangile) et Mohamed que la bénédiction de Dieu et le salut soient sur lui, (Le Coran).
Adam, le premier homme est considéré aussi comme le premier Prophète de la Révélation monothéiste. «Nous avons créé l'homme à partir d'une argile (extraite) d'une boue malléable» (Sourate 15, Verset 26)
L'argile dont il est question, selon les exégètes, est la terre dure qui a été transformée par l'eau en boue liquide, donc malléable. Bien d'autres versets parlent de cette boue, ou de cette matière dont l'homme a été tiré, en lui donnant plusieurs noms arabes tels que «Salsal» (Terre glaise) «hama'in masnoun» (Mélange de terre) ou encore « Tourab» (poussière) dans la sourate 22 verset 27 et «t'in lâzib» (boue collante) dans la sourate 37 verset 11.
Après avoir créé l'homme et lui avoir donné sa forme, Dieu l'exposa au soleil pendant quarante ans. Le Coran ne précise pas cette période mais il y fait allusion dans ce passage «Ne s'est-il pas écoulé un long moment dans le temps où l'homme n'était pas une chose remarquable ?» (sourate 76 verset 11). Quand Dieu voulut l'animer il y introduisit le souffle de la vie.
Avant l'homme, Dieu avait créé d'autres peuples, mais il les fit disparaître parce qu'ils étaient corrompus. On dit aussi que les Anges et les démons habitaient la terre pendant les temps les plus reculés, mais Dieu a voulu les remplacer par un vicaire, ou Son vicaire sur terre, Il choisit Adam
Le Coran s'adressant aux musulmans souligne que la nation islamique est une et indivisible ‘‘Nous avons fait de vous une nation de juste milieu'' le messager de Dieu dans plusieurs hadiths soutient, en effet, que le juste milieu est une équation qui a toujours prévalue dans ses prises de décision et il a conseillé ses disciples d'en faire autant.
Depuis, le point de vue musulman, tout en restant dans les conditions énoncées, n'admet pas de libre-arbitre (acquisition). Nous trouvons dans le Coran soixante versets qui le prouvent. Nous avons l'exemple du Prophète et son combat pour la cause de Dieu, celui de ses généreux compagnons et des ancêtres, qui ont répandu l'Islam partout dans le monde, grâce à la justesse de leurs actions et à la sagesse de leurs décisions.
Ils ont eu le pouvoir dans les trois continents durant plusieurs siècles, car appliquant à la lettre les enseignements de leurs prédécesseurs. On ne saurait donc dire, sinon pour induire en erreur, que leur doctrine du libre-arbitre est à l'origine de leur retard, car en fait, c'est cette doctrine, de l'Islam authentique, qui a conduit vers la gloire et c'est l'ignorance, la résignation, la superstition qui leurs viennent des non musulmans et des sectes égarées, qui les ont éconduits et retardés.
La pensée du cheikh Abdou s'élève quand il réfute Hanotaux dans la question des attributs divins à savoir la croyance en un Dieu incarné que Hanotaux met à l'origine de la supériorité de la race aryenne et sa civilisation.
Abdou rappelle que ce sont les idolâtres anthropomorphites qui croient que Dieu a un corps, qui sont restés en deçà de la connaissance, et qui sont en déclin à des degrés divers, que ce soient les idolâtres d'Afrique, ou les bouddhistes de chine.
Il ajoute que plus la connaissance de l'homme s'élève, plus il découvre que la vérité est dans la foi en un Dieu unique et sans pareil. Ce fut le cas des Grecs qui, d'idolâtres qu'ils étaient, ne cessèrent de s'éloigner de l'idolâtrie à mesure que leurs sciences s'élevaient et que leurs philosophes poussaient leurs recherches au sujet de la nature des êtres, ils finirent par arriver au monothéisme,.
Pythagore était resté au seuil du sacré, Socrate, Platon et Aristote après lui combattirent l'idolâtrie et le polythéisme, non pas par le geste et la parole, mais surtout par leurs écrits, qui valurent aux Gréco-Latins, de trouver un support non négligeable, à la rédaction de l'ancien et du nouveau testament.
Quiconque a lu La République de Platon, par exemple, sait comment ce dernier a lutté contre l'idolâtrie et les croyances futiles, répandues par sa communauté, parfois au péril de son statut et de son poids dans le conseil des sages.
C'est de cette manière que cheikh Abdou a prouvé, que jamais l'idolâtrie n'était un signe de progrès ni un titre de mérite comme le prétend Hanotaux. D'ailleurs il n'a convaincu personne d'autres par ses thèses farfelues, que ceux comme lui, qui ont une haine viscérale contre l'Islam.
Cheikh Abdou en vient ensuite à démontrer les défauts de la foi chrétienne dont Hanotaux fait son cheval de bataille, en essayant de faire dire à l'église, ce que les écoles ecclésiastiques elles mêmes ne connaissent pas.
Pour étayer ces thèses, il utilise l'opprobre et le blasphème, en se contredisant parfois, son unique but est de trouver des failles dans une religion qu'il n'a découvert qu'à travers les ouvrages écrits dans sa langue maternelle.
Il essaya de cultiver cet esprit contradictoire, en fustigeant, tout ce qui a trait aux principes fondamentaux de la civilisation musulmane et aux sciences religieuses, avec un style puérique, qui démontre son degré d'agressivité envers l'Islam.
Pour répondre, cheikh Abdou rappellera les étapes qu'a traversées l'Islam, pour aboutir ensuite au stade de la créativité et de l'invention. Il a rappelé par contre l'esclavage auquel les prêtres soumettaient le peuple en général et les femmes en particulier, au moment ou l'Islam a libéré la femme et banni l'esclavage.
Qui a déclenché le déclic, qui mit l'Europe sur la voie de la renaissance, alors que si elle s'était maintenue dans sa pratique ancienne jamais elle ne se serait réveillée ? Autant de questions qui ne peuvent trouver leurs réponses que dans la logique islamique.Tandis qu'il en était ainsi du Christianisme, l'Islam a appelé au culte d'un seul Dieu à l'exclusion de tout intermédiaire, il a libéré les âmes de toute domination de quelque créature qu'elle vienne. Il a insufflé à ses disciples le sens du travail, de l'effort et de la responsabilité, il a effacé les vices et illuminé les esprits. Si donc l'Islam a connu une éclipse, il s'en remettra en dépit de la faiblesse des Musulmans.
Connaissez-vous votre religion ?
Existe-t-il une différence entre prophète et messager ? Dans quelle catégorie peut-on classer le premier homme sur terre ?
A. Wahiba (Oran)
Le Prophète est désigné dans le Coran par le terme arabe «Nabi», qui veut dire également l'Elu, celui que Dieu a effectivement choisi pour une mission déterminée. Cette mission peut-être restreinte ou spécifique à un groupe communautaire.
Le Messager est lui désigné toujours dans le Coran sous l'appellation de «Rassoul» ou l'envoyé de Dieu. Alors que le premier ne fait que recevoir, sous l'impulsion de Dieu, la Vérité et la fait connaître aux hommes, en veillant rigoureusement à ce qu'elle soit bien assimilée et bien comprise, le second, non seulement reçoit la vérité et les avertissements qui sont soumis aux mêmes conditions, mais porte également un Message, une loi révélée, qu'aucun de ses prédécesseurs n'a connus.
Le Messager est toujours Prophète, mais le Prophète peut ne pas être porteur d'un Message, c'est-à-dire d'un Livre, donc d'une mission avec une preuve évidente, annonçant la bonne nouvelle provenant du Seigneur.
Les messages les plus connus, pour lesquels à la tête de chacun se trouve un Messager et que le Coran à révélé : nous avons, Abraham, (Les Feuilles) Moise (La Thora), David (Les Psaumes) Jésus (L'Evangile) et Mohamed que la bénédiction de Dieu et le salut soient sur lui, (Le Coran).
Adam, le premier homme est considéré aussi comme le premier Prophète de la Révélation monothéiste. «Nous avons créé l'homme à partir d'une argile (extraite) d'une boue malléable» (Sourate 15, Verset 26)
L'argile dont il est question, selon les exégètes, est la terre dure qui a été transformée par l'eau en boue liquide, donc malléable. Bien d'autres versets parlent de cette boue, ou de cette matière dont l'homme a été tiré, en lui donnant plusieurs noms arabes tels que «Salsal» (Terre glaise) «hama'in masnoun» (Mélange de terre) ou encore « Tourab» (poussière) dans la sourate 22 verset 27 et «t'in lâzib» (boue collante) dans la sourate 37 verset 11.
Après avoir créé l'homme et lui avoir donné sa forme, Dieu l'exposa au soleil pendant quarante ans. Le Coran ne précise pas cette période mais il y fait allusion dans ce passage «Ne s'est-il pas écoulé un long moment dans le temps où l'homme n'était pas une chose remarquable ?» (sourate 76 verset 11). Quand Dieu voulut l'animer il y introduisit le souffle de la vie.
Avant l'homme, Dieu avait créé d'autres peuples, mais il les fit disparaître parce qu'ils étaient corrompus. On dit aussi que les Anges et les démons habitaient la terre pendant les temps les plus reculés, mais Dieu a voulu les remplacer par un vicaire, ou Son vicaire sur terre, Il choisit Adam


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