«L'Algérie se félicite de l'adoption de la déclaration de haut niveau par l'Assemblée mondiale pour adhérer aux liens que le cadre global pour les services climatiques propose d'établir entre les activités opérationnelles des services météorologiques nationaux mais aussi les exigences nouvelles dans le domaine de l'adaptation aux impacts climatiques», C'est ce qu'a déclaré, vendredi dernier à Genève, l'ambassadeur algérien Driss Djazairi, représentant permanent de l'Algérie auprès de l'Office des Nations unies à Genève et des organisations internationales en Suisse, lors du segment de haut niveau de la 3e conférence mondiale sur le climat (CMC-3) qui s'est étalée sur deux journées. Le texte adopté se cantonne, dans une vision scientifique et technique des défis dont traite l'Organisation météorologique mondiale, à éviter l'écueil de l'empiètement sur les sujets en cours de négociations dans le cadre des préparatifs de la convention des Nations unies sur les changements climatiques de Copenhague. M. Djazairi a estimé que ce cadre sera un élément de convergence entre les objectifs des négociations internationales sur le climat et les exigences du développement durable de l'Afrique.Il a attiré à cet effet l'attention des présents pour rappeler que l'Algérie se trouve dans une région fragilisée à savoir l'Afrique et qui a pourtant une part dérisoire, de 3,8 %, dans les émissions mondiales de gaz à effet de serre et qui contribue par ses vastes forêts au maintien de l'équilibre écologique mondial. «L'Afrique, a-t-il poursuivi, est l'une des principales victimes des dérèglements climatiques qui obèrent gravement nos capacités à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement». «Cette initiative devra nous aider à réduire notre vulnérabilité face au risque climatique. Elle répond à l'objectif d'accéder à un niveau élevé de modélisation du climat régional, de renforcer les liens avec les secteurs utilisateurs et de tirer un bénéfice tangible des produits du climat pour le développement. Cette démarche a pour but de mieux anticiper les aléas dus aux variations climatiques rendues plus extrêmes par le réchauffement de la planète», a-t-il dit. En s'appuyant sur les bilans tragiques des inondations qui ont endeuillé le pays ces dernières années, M. Djazairi a précisé que l'Algérie est particulièrement vulnérable à l'aggravation de ces aléas. Le diplomate a assuré, lors de cet évènement mondial, que même si le nombre des réfugiés climatiques augmente dangereusement et la sécheresse y exacerbe les conflits, l'Algérie continue d'œuvrer en faveur des actions internationales de préservation de l'environnement, depuis plus de 40 ans.Il a cité, ici, quelques actions menées par ce pays dont le développement d'un vaste réseau d'observation et de la création, dès 1970, d'un Institut de formation météorologique à vocation africaine. Dans son allocution, M. Djazairia a insisté pour dire, aussi que l'Algérie a participé, par ailleurs aux programmes majeurs de l'OMM, tels que le Centre météorologique régional spécialisé et le Centre régional des télécommunications pour l'Afrique du Nord situés à Alger. «L'Algérie se félicite de l'adoption de la déclaration de haut niveau par l'Assemblée mondiale pour adhérer aux liens que le cadre global pour les services climatiques propose d'établir entre les activités opérationnelles des services météorologiques nationaux mais aussi les exigences nouvelles dans le domaine de l'adaptation aux impacts climatiques», C'est ce qu'a déclaré, vendredi dernier à Genève, l'ambassadeur algérien Driss Djazairi, représentant permanent de l'Algérie auprès de l'Office des Nations unies à Genève et des organisations internationales en Suisse, lors du segment de haut niveau de la 3e conférence mondiale sur le climat (CMC-3) qui s'est étalée sur deux journées. Le texte adopté se cantonne, dans une vision scientifique et technique des défis dont traite l'Organisation météorologique mondiale, à éviter l'écueil de l'empiètement sur les sujets en cours de négociations dans le cadre des préparatifs de la convention des Nations unies sur les changements climatiques de Copenhague. M. Djazairi a estimé que ce cadre sera un élément de convergence entre les objectifs des négociations internationales sur le climat et les exigences du développement durable de l'Afrique.Il a attiré à cet effet l'attention des présents pour rappeler que l'Algérie se trouve dans une région fragilisée à savoir l'Afrique et qui a pourtant une part dérisoire, de 3,8 %, dans les émissions mondiales de gaz à effet de serre et qui contribue par ses vastes forêts au maintien de l'équilibre écologique mondial. «L'Afrique, a-t-il poursuivi, est l'une des principales victimes des dérèglements climatiques qui obèrent gravement nos capacités à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement». «Cette initiative devra nous aider à réduire notre vulnérabilité face au risque climatique. Elle répond à l'objectif d'accéder à un niveau élevé de modélisation du climat régional, de renforcer les liens avec les secteurs utilisateurs et de tirer un bénéfice tangible des produits du climat pour le développement. Cette démarche a pour but de mieux anticiper les aléas dus aux variations climatiques rendues plus extrêmes par le réchauffement de la planète», a-t-il dit. En s'appuyant sur les bilans tragiques des inondations qui ont endeuillé le pays ces dernières années, M. Djazairi a précisé que l'Algérie est particulièrement vulnérable à l'aggravation de ces aléas. Le diplomate a assuré, lors de cet évènement mondial, que même si le nombre des réfugiés climatiques augmente dangereusement et la sécheresse y exacerbe les conflits, l'Algérie continue d'œuvrer en faveur des actions internationales de préservation de l'environnement, depuis plus de 40 ans.Il a cité, ici, quelques actions menées par ce pays dont le développement d'un vaste réseau d'observation et de la création, dès 1970, d'un Institut de formation météorologique à vocation africaine. Dans son allocution, M. Djazairia a insisté pour dire, aussi que l'Algérie a participé, par ailleurs aux programmes majeurs de l'OMM, tels que le Centre météorologique régional spécialisé et le Centre régional des télécommunications pour l'Afrique du Nord situés à Alger.