Les consommateurs ont décidé, en ce mois de Ramadhan, de faire front contre les commerçants sans scrupule, défiant la puissance publique et ‘'déplumant‘' les moyennes bourses en imposant leur dikat des prix à la limite du prohibitif. Les consommateurs ont décidé, en ce mois de Ramadhan, de faire front contre les commerçants sans scrupule, défiant la puissance publique et ‘'déplumant‘' les moyennes bourses en imposant leur dikat des prix à la limite du prohibitif. Si par définition le mois sacré est un mois de partage et de solidarité, il n'en est rien pour certains commerçants cupides. Pour eux, c'est le moment opportun pour faire fortune quitte à contourner la loi et duper le citoyen. Pour tordre le cou au diktat de ces pseudo commerçants peu scrupuleux, l'association de protection du consommateur même dès le début du mois, une campagne de sensibilisation invitant le citoyen à boycotter tout produit dont le prix est jugé excessif et rédhibitoire. Et la consigne a visiblement très bien marché. Ainsi, l'on enregistre un net recul de prix de certains produits comme la laitue cédée à 30 au lieu de 70 DA, le haricot vert proposé à 30 au lieu de 100 DA, la courgette et la tomate dont le prix oscille entre 20 et 25 DA au lieu de 80. Par ailleurs, les prix des fruits sont relativement stables, hormis quelques-uns de saison qui oscillent suivant l'offre. Selon A. Zaidi, président de ladite association, «nous avons élaboré un plan contre certains spéculateurs qui se frottent les mains à chaque avènement du mois sacré. Nous avons incité les citoyens à travers des affichages dans les rues et des émissions radiophoniques animées par des spécialistes avec le concours de la direction des affaires religieuses, à bouder les étalages qui affichent des prix très élevés, et de faire attention à ce qui est susceptible de mettre la vie en danger tel que le non-respect des règles d'hygiène et de stockage, des dates limite d'expiration et des étiquetages». Parallèlement à cette campagne de lutte contre la spéculation, l'association de protection du consommateur a, également, lancé un appel aux citoyens les priant à éviter le gaspillage. Crise économique oblige, car à vrai dire, la hausse des prix se justifie en quelque sorte, par les quantités de nourriture qui finissent dans les poubelles. Si par définition le mois sacré est un mois de partage et de solidarité, il n'en est rien pour certains commerçants cupides. Pour eux, c'est le moment opportun pour faire fortune quitte à contourner la loi et duper le citoyen. Pour tordre le cou au diktat de ces pseudo commerçants peu scrupuleux, l'association de protection du consommateur même dès le début du mois, une campagne de sensibilisation invitant le citoyen à boycotter tout produit dont le prix est jugé excessif et rédhibitoire. Et la consigne a visiblement très bien marché. Ainsi, l'on enregistre un net recul de prix de certains produits comme la laitue cédée à 30 au lieu de 70 DA, le haricot vert proposé à 30 au lieu de 100 DA, la courgette et la tomate dont le prix oscille entre 20 et 25 DA au lieu de 80. Par ailleurs, les prix des fruits sont relativement stables, hormis quelques-uns de saison qui oscillent suivant l'offre. Selon A. Zaidi, président de ladite association, «nous avons élaboré un plan contre certains spéculateurs qui se frottent les mains à chaque avènement du mois sacré. Nous avons incité les citoyens à travers des affichages dans les rues et des émissions radiophoniques animées par des spécialistes avec le concours de la direction des affaires religieuses, à bouder les étalages qui affichent des prix très élevés, et de faire attention à ce qui est susceptible de mettre la vie en danger tel que le non-respect des règles d'hygiène et de stockage, des dates limite d'expiration et des étiquetages». Parallèlement à cette campagne de lutte contre la spéculation, l'association de protection du consommateur a, également, lancé un appel aux citoyens les priant à éviter le gaspillage. Crise économique oblige, car à vrai dire, la hausse des prix se justifie en quelque sorte, par les quantités de nourriture qui finissent dans les poubelles.