Rien ne va plus au sein de l'APC d'El Bouni une commune de 80.000 âmes située à quelques encablures du chef- lieu de wilaya de Annaba. La discorde qui a miné le bon fonctionnement de cette institution, en couvant ces derniers mois, a atteint la semaine passée son paroxysme, ceci par l'opération de retrait de confiance au P/APC élu FLN par 19 de ses pairs sur les 23 que compte l'Assemblée populaire communale. L'information a été confirmée, hier à la presse, par le secrétaire général de la kasma FLN de Boukhadra et d'autres élus hostiles au maintien de l'actuel maire en poste. Ce dernier est accusé «d'autoritarisme dans la gestion de l'APC et de prises de décisions contraires à l'éthique du service public et autres griefs qui relèvent d'une enquête administrative de la wilaya», a notamment indiqué le secrétaire général de la kasma de Boukhadra. Les divergences et les incompatibilités entre le premier responsable de la commune d'El Bouni et ses adversaires au sein du conseil communal ont paralysé l'activité de l'exécutif. D'où le mécontentement populaire exprimé périodiquement par des manifestations dans toutes les aglomérations relevant de cette commune. «Comme à Bidari et à Hadjar Ediss, où le cadre de vie a connu des dégradations intolérables» affirment des élus. Une demande pour dissoudre l'assemblée communale d'El Bouni et la remplacer au pied levé par un directoire pour le reste de la mandature, a été à cet effet, introduite auprès du wali de Annaba Ghazi Mohamed wali de Annaba, a aussi révélé le secrétaire de la kasma. Une démarche qui n'aurait, cependant, pas été vue d'un bon œil par certains élus FLN, particulièrement, et qui ne comptent pas, même si la crise persiste, renoncer aussi facilement à leurs mandatures. «C'est une solution extrême, ni souhaitable ni possible, elle n'a pas notre approbation», nous ont confié des élus. Reste la vox populi. Comment va-t-elle réagir. Rien ne va plus au sein de l'APC d'El Bouni une commune de 80.000 âmes située à quelques encablures du chef- lieu de wilaya de Annaba. La discorde qui a miné le bon fonctionnement de cette institution, en couvant ces derniers mois, a atteint la semaine passée son paroxysme, ceci par l'opération de retrait de confiance au P/APC élu FLN par 19 de ses pairs sur les 23 que compte l'Assemblée populaire communale. L'information a été confirmée, hier à la presse, par le secrétaire général de la kasma FLN de Boukhadra et d'autres élus hostiles au maintien de l'actuel maire en poste. Ce dernier est accusé «d'autoritarisme dans la gestion de l'APC et de prises de décisions contraires à l'éthique du service public et autres griefs qui relèvent d'une enquête administrative de la wilaya», a notamment indiqué le secrétaire général de la kasma de Boukhadra. Les divergences et les incompatibilités entre le premier responsable de la commune d'El Bouni et ses adversaires au sein du conseil communal ont paralysé l'activité de l'exécutif. D'où le mécontentement populaire exprimé périodiquement par des manifestations dans toutes les aglomérations relevant de cette commune. «Comme à Bidari et à Hadjar Ediss, où le cadre de vie a connu des dégradations intolérables» affirment des élus. Une demande pour dissoudre l'assemblée communale d'El Bouni et la remplacer au pied levé par un directoire pour le reste de la mandature, a été à cet effet, introduite auprès du wali de Annaba Ghazi Mohamed wali de Annaba, a aussi révélé le secrétaire de la kasma. Une démarche qui n'aurait, cependant, pas été vue d'un bon œil par certains élus FLN, particulièrement, et qui ne comptent pas, même si la crise persiste, renoncer aussi facilement à leurs mandatures. «C'est une solution extrême, ni souhaitable ni possible, elle n'a pas notre approbation», nous ont confié des élus. Reste la vox populi. Comment va-t-elle réagir.