Dans son 7e rapport du genre, la Banque mondiale a observé que 67 réformes de la réglementation commerciale ont été enregistrées dans 29 des 46 pays d'Afrique subsaharienne dont le Rwanda. C'est la première fois qu'un pays d'Afrique subsaharienne se classe au premier rang des pays réformateurs en fonction du nombre et de l'impact de réformes mises en œuvre entre juin 2008 et mai 2009, a souligné le rapport Doing Business 2010. Le Rwanda a mis en œuvre des réformes dans 7 des 10 domaines de réglementation mesurés par Doing Business. «Un entrepreneur rwandais peut désormais créer une entreprise avec seulement deux procédures et en trois jours. Les importations et exportations sont plus efficaces, et les transferts de propriété s'effectuent plus rapidement grâce à une réorganisation du registre et à des délais réglementaires. Les investisseurs sont mieux protégés, la réorganisation de l'insolvabilité a été simplifiée et un éventail plus vaste d'actifs peut désormais être utilisé comme garantie pour accéder au crédit». L'île Maurice, classée 17e est pour la deuxième année consécutive, la première économie subsaharienne en termes de facilité réglementaire globale à faire des affaires après que ce pays ait adopté une nouvelle loi sur l'insolvabilité, ait créé une nouvelle division commerciale spécialisée au sein des tribunaux, ait facilité les transferts de propriété et ait accéléré les processus commerciaux. Le Liberia, classé au deuxième rang des pays réformateurs les plus rapides de la région, a «simplifié ses procédures de création d'entreprises, a réduit les coûts des permis de construction et a accéléré les échanges commerciaux au moyen d'un nouveau guichet unique. Le Sierra Leone a adopté une loi commerciale qui renforce la protection des investisseurs, a amélioré l'accès au crédit et a prévu des mesures pour la réorganisation d'entreprises en difficulté. Le pays a également créé un guichet unique pour l'enregistrement des entreprises». Quant au Burkina Faso, il a «reformé dans 5 des 10 domaines couverts par le rapport et a notamment simplifié ses procédures d'obtention de permis de construire, d'enregistrement des propriétés et de création d'entreprises, a amélioré l'application des contrats et a accéléré les échanges commerciaux». Le Mali a également effectué des réformes dans cinq domaines, alors que l'Afrique du Sud a réduit les impôts des entreprises du pays. «En cette période où la crise financière et économique mondiale éclipse tout autre intérêt, la réglementation des affaires peut faire une importante différence en ce qui concerne la facilité de réorganisation des entreprises en difficulté pour les aider à survivre et à se reconstruire lorsque la reprise s'amorcera et de créer de nouvelles entreprises», a affirmé Penelope Brook, vice-présidente suppléante, développement des secteurs privé et financier de la Banque mondiale. Dans son 7e rapport du genre, la Banque mondiale a observé que 67 réformes de la réglementation commerciale ont été enregistrées dans 29 des 46 pays d'Afrique subsaharienne dont le Rwanda. C'est la première fois qu'un pays d'Afrique subsaharienne se classe au premier rang des pays réformateurs en fonction du nombre et de l'impact de réformes mises en œuvre entre juin 2008 et mai 2009, a souligné le rapport Doing Business 2010. Le Rwanda a mis en œuvre des réformes dans 7 des 10 domaines de réglementation mesurés par Doing Business. «Un entrepreneur rwandais peut désormais créer une entreprise avec seulement deux procédures et en trois jours. Les importations et exportations sont plus efficaces, et les transferts de propriété s'effectuent plus rapidement grâce à une réorganisation du registre et à des délais réglementaires. Les investisseurs sont mieux protégés, la réorganisation de l'insolvabilité a été simplifiée et un éventail plus vaste d'actifs peut désormais être utilisé comme garantie pour accéder au crédit». L'île Maurice, classée 17e est pour la deuxième année consécutive, la première économie subsaharienne en termes de facilité réglementaire globale à faire des affaires après que ce pays ait adopté une nouvelle loi sur l'insolvabilité, ait créé une nouvelle division commerciale spécialisée au sein des tribunaux, ait facilité les transferts de propriété et ait accéléré les processus commerciaux. Le Liberia, classé au deuxième rang des pays réformateurs les plus rapides de la région, a «simplifié ses procédures de création d'entreprises, a réduit les coûts des permis de construction et a accéléré les échanges commerciaux au moyen d'un nouveau guichet unique. Le Sierra Leone a adopté une loi commerciale qui renforce la protection des investisseurs, a amélioré l'accès au crédit et a prévu des mesures pour la réorganisation d'entreprises en difficulté. Le pays a également créé un guichet unique pour l'enregistrement des entreprises». Quant au Burkina Faso, il a «reformé dans 5 des 10 domaines couverts par le rapport et a notamment simplifié ses procédures d'obtention de permis de construire, d'enregistrement des propriétés et de création d'entreprises, a amélioré l'application des contrats et a accéléré les échanges commerciaux». Le Mali a également effectué des réformes dans cinq domaines, alors que l'Afrique du Sud a réduit les impôts des entreprises du pays. «En cette période où la crise financière et économique mondiale éclipse tout autre intérêt, la réglementation des affaires peut faire une importante différence en ce qui concerne la facilité de réorganisation des entreprises en difficulté pour les aider à survivre et à se reconstruire lorsque la reprise s'amorcera et de créer de nouvelles entreprises», a affirmé Penelope Brook, vice-présidente suppléante, développement des secteurs privé et financier de la Banque mondiale.