Une quarantaine d'enseignants, excerçant au sein du lycée Tala Maâli, dans la commune de Zemmouri à l'est de chef-lieu de wilaya de Boumerdès, ont observé, hier, devant le siège de la wilaya de Boumerdès, un sit-in en signe de protestation contre les mauvaises conditions environnementales dans leur établissement. Ce lycée en préfabriqué, ne répond, selon les protestataires à aucune norme en matière de scolarisation. «Nous ne pouvons pas enseigner dans ces conditions déplorables», affirme un enseignant. Les protestataires déplorent également la surcharge des classes. Au lendemain du séisme de 2003, les responsables de secteur ont bien fait construire une annexe pour contenir la surcharge. Cette dernière a fonctionné selon les protestataires avec six classes roulantes. Cette année ce lycée recevra un nombre encore plus important d'élèves, d'ailleurs les parents d'élèves refusent d'envoyer leurs potaches dans ce lycée jugé trop éloigné de la ville. En outre les enseignants dénoncent l'absence d'une cantine scolaire et d'un laboratoire. «Plus de trois heures que nous sommes là et aucun responsable ne s'est présenté pour écouter nos doléances», constateront, amèrement, les protestataires. «Nous avons demandé à voir le premier magistrat de la wilaya, mais ce dernier nous a conseillé d'aller voir la responsable du secteur de l'éducation», nous explique une enseignante. Une solution que les protestataires rejettent catégoriquement. «Si nos revendications ne sont pas prises en considération, nous comptons mener d'autres actions afin de faire entendre nos doléances et concrétiser nos revendications sur terrain», diront fermement les enseignants contestataires. Une quarantaine d'enseignants, excerçant au sein du lycée Tala Maâli, dans la commune de Zemmouri à l'est de chef-lieu de wilaya de Boumerdès, ont observé, hier, devant le siège de la wilaya de Boumerdès, un sit-in en signe de protestation contre les mauvaises conditions environnementales dans leur établissement. Ce lycée en préfabriqué, ne répond, selon les protestataires à aucune norme en matière de scolarisation. «Nous ne pouvons pas enseigner dans ces conditions déplorables», affirme un enseignant. Les protestataires déplorent également la surcharge des classes. Au lendemain du séisme de 2003, les responsables de secteur ont bien fait construire une annexe pour contenir la surcharge. Cette dernière a fonctionné selon les protestataires avec six classes roulantes. Cette année ce lycée recevra un nombre encore plus important d'élèves, d'ailleurs les parents d'élèves refusent d'envoyer leurs potaches dans ce lycée jugé trop éloigné de la ville. En outre les enseignants dénoncent l'absence d'une cantine scolaire et d'un laboratoire. «Plus de trois heures que nous sommes là et aucun responsable ne s'est présenté pour écouter nos doléances», constateront, amèrement, les protestataires. «Nous avons demandé à voir le premier magistrat de la wilaya, mais ce dernier nous a conseillé d'aller voir la responsable du secteur de l'éducation», nous explique une enseignante. Une solution que les protestataires rejettent catégoriquement. «Si nos revendications ne sont pas prises en considération, nous comptons mener d'autres actions afin de faire entendre nos doléances et concrétiser nos revendications sur terrain», diront fermement les enseignants contestataires.