Roger Federer n'a guère semblé ébranlé par sa défaite surprise en finale de l'US Open lundi face à l'Argentin Juan Martin Del Potro: son seizième titre en tournoi du Grand Chelem attendra encore un peu mais, pour lui, "la vie continue". Cette fois, pas de larmes comme en Australie, en janvier, après l'épique victoire finale en cinq sets de Rafael Nadal. C'est un Suisse "décontracté" qui a pris le micro pour féliciter son adversaire lors de la remise du trophée, pas vraiment bouleversé par le fait que sa série de victoires consécutives à New York s'arrête à 40. "Je crois que ce sera facile de se remettre de cette défaite pour la simple et bonne raison que j'ai vécu le plus fantastique des étés", a expliqué le Bâlois de 28 ans."La vie continue. Pas de problèmes." Quand il lui a été demandé quelle était l'étendue de sa déception, le Suisse a d'ailleurs simplement répondu: "moyenne". Sur le plan tennis, le N.1 mondial a enchaîné quatre succès d'affilée avant New York, dont son premier titre à Roland-Garros, vécu comme une libération, et un 6e à Wimbledon, qui lui a offert le record de titres en Grand Chelem. Prendre un mois de "congé parental" (en fait pour beaucoup consacré à l'entraînement) après Wimbledon, lui a fait entamer la tournée nord-américaine avec une certaine fraîcheur et il a gagné à Cincinnati tout juste un mois après la naissance de ses jumelles, Myla et Charlene. Bien-être et sérénité "L'année a été fantastique et ce n'est pas fini", a poursuivi le Suisse. "J'ai joué les quatre finales du Grand Chelem, j'en ai gagné deux, perdu les deux autres en cinq sets. J'étais à deux points de gagner celle-là (à New York) mais c'est comme ça. Je me suis marié et eu des enfants, je ne sais pas ce que je pourrais vouloir de plus... Cette défaite n'enlève rien à ce que j'ai fait", a résumé Federer. Roger Federer n'a guère semblé ébranlé par sa défaite surprise en finale de l'US Open lundi face à l'Argentin Juan Martin Del Potro: son seizième titre en tournoi du Grand Chelem attendra encore un peu mais, pour lui, "la vie continue". Cette fois, pas de larmes comme en Australie, en janvier, après l'épique victoire finale en cinq sets de Rafael Nadal. C'est un Suisse "décontracté" qui a pris le micro pour féliciter son adversaire lors de la remise du trophée, pas vraiment bouleversé par le fait que sa série de victoires consécutives à New York s'arrête à 40. "Je crois que ce sera facile de se remettre de cette défaite pour la simple et bonne raison que j'ai vécu le plus fantastique des étés", a expliqué le Bâlois de 28 ans."La vie continue. Pas de problèmes." Quand il lui a été demandé quelle était l'étendue de sa déception, le Suisse a d'ailleurs simplement répondu: "moyenne". Sur le plan tennis, le N.1 mondial a enchaîné quatre succès d'affilée avant New York, dont son premier titre à Roland-Garros, vécu comme une libération, et un 6e à Wimbledon, qui lui a offert le record de titres en Grand Chelem. Prendre un mois de "congé parental" (en fait pour beaucoup consacré à l'entraînement) après Wimbledon, lui a fait entamer la tournée nord-américaine avec une certaine fraîcheur et il a gagné à Cincinnati tout juste un mois après la naissance de ses jumelles, Myla et Charlene. Bien-être et sérénité "L'année a été fantastique et ce n'est pas fini", a poursuivi le Suisse. "J'ai joué les quatre finales du Grand Chelem, j'en ai gagné deux, perdu les deux autres en cinq sets. J'étais à deux points de gagner celle-là (à New York) mais c'est comme ça. Je me suis marié et eu des enfants, je ne sais pas ce que je pourrais vouloir de plus... Cette défaite n'enlève rien à ce que j'ai fait", a résumé Federer.