Les quatre sprinteurs jamaïcains, dont deux partenaires d'entraînement d'Usain Bolt, qui avaient reconnu s'être dopés à un produit stimulant interdit, la methylhexanamine, ont été suspendus lundi pour trois mois par la commission d'appel antidopage jamaïcaine. Les deux partenaires d'entraînement de Bolt, Yohan Blake et Marvin Anderson, ainsi que Lansford Spence et Allodin Fothergill encouraient jusqu'à deux ans de suspension. Le directeur général de la commission antidopage jamaïcaine (JADCO), Patrece Charles-Freeman, a estimé que "la commission d'appel avait compris l'affaire et que sa décision était juste". Les quatre athlètes avaient été contrôlés positif à un stimulant, la methylhexanamine, fin juin aux Championnats de Jamaïque. Ils avaient été blanchis dans un premier temps par le comité disciplinaire de la JADCO. La JADCO elle-même avait ensuite fait appel de cette décision, affirmant que le produit incriminé avait une composition chimique similaire à la tuaminoheptane, une substance interdite. Les athlètes avaient plaidé coupable lors de leur audience en appel, le 5 septembre, pour "régler cette affaire de la manière la plus amiable possible", avaient indiqué leurs avocats, qui craignent d'éventuelles sanctions de l'Agence mondiale antidopage (AMA) ou de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF). Une autre athlète contrôlée positif en même temps, la sprinteuse Sheri Ann Brooks, avait vu son contrôle invalidé par la commission d'appel, son échantillon B ayant été testé sans que l'athlète n'en ait eu connaissance. Les quatre sprinteurs jamaïcains, dont deux partenaires d'entraînement d'Usain Bolt, qui avaient reconnu s'être dopés à un produit stimulant interdit, la methylhexanamine, ont été suspendus lundi pour trois mois par la commission d'appel antidopage jamaïcaine. Les deux partenaires d'entraînement de Bolt, Yohan Blake et Marvin Anderson, ainsi que Lansford Spence et Allodin Fothergill encouraient jusqu'à deux ans de suspension. Le directeur général de la commission antidopage jamaïcaine (JADCO), Patrece Charles-Freeman, a estimé que "la commission d'appel avait compris l'affaire et que sa décision était juste". Les quatre athlètes avaient été contrôlés positif à un stimulant, la methylhexanamine, fin juin aux Championnats de Jamaïque. Ils avaient été blanchis dans un premier temps par le comité disciplinaire de la JADCO. La JADCO elle-même avait ensuite fait appel de cette décision, affirmant que le produit incriminé avait une composition chimique similaire à la tuaminoheptane, une substance interdite. Les athlètes avaient plaidé coupable lors de leur audience en appel, le 5 septembre, pour "régler cette affaire de la manière la plus amiable possible", avaient indiqué leurs avocats, qui craignent d'éventuelles sanctions de l'Agence mondiale antidopage (AMA) ou de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF). Une autre athlète contrôlée positif en même temps, la sprinteuse Sheri Ann Brooks, avait vu son contrôle invalidé par la commission d'appel, son échantillon B ayant été testé sans que l'athlète n'en ait eu connaissance.