Au total, quelques 5.580 hectares de forêts ainsi que 3.578 autres de maquis ont été ravagés par les feux du 1er juin au 20 septembre en cours, ont indiqué hier les services de la Protection civile. En effet, conséquence des températures très élevées ressenties durant cet été, qui frôlaient les 42 degrés sur le littoral et jusqu'à 48 à l'intérieur du pays, des dizaines d'incendies de massifs forestiers ont été recensés sur tout le territoire national. Luttant d'arrache pieds contre ces flammes dévastatrices, avec le peu de moyens disponibles, les éléments de la protection civile ont enregistré 681 feux ayant causé la perte de 5.580 hectares et 380 feux de maquis ayant causé la perte de 3.578 hectares, selon le responsable de la communication, le commandant Farouk Achour. En outre, près de 1.540 feux de récoltes, ajoute-t-on, ont causé un dégât évalué à 5.622 hectares. Les incendies ont également ravagé quelques 7.452 palmiers. Il ne se passe pas un jour sans que les pompiers soient sollicités pour éteindre les feux et éventuellement sauver des vies humaines. Ce fléau qui n'est pas uniquement environnemental, a beaucoup pénalisé les agriculteurs, fermiers et apiculteurs. En effet, ces feux ont détruit des champs de céréales, des arbres fruitiers, des ruches d'abeilles, anéantissant du même coup des tonnes de récoltes. Il faut souligner que la tournure alarmante que prend ce phénomène avec l'avènement de la saison des grandes chaleurs, a été cette année-la favorisée par des températures hors du commun ainsi que des vents violents qui attisent les flammes, dévorant toute forme de végétation, forêts, maquis, broussailles, de nombreux oliviers, arbres fruitiers et autres pins d'Alep. Les régions les plus touchées restent les wilayas de l'Ouest, suivies de celles du centre et à un degré moindre de l'Est du pays. Les feux de forêt semblent ainsi inévitables dans les périodes de grande chaleur. Et ce, malgré les mesures draconiennes de prévention et de surveillance prises par les responsables chargés de la protection du patrimoine forestier. Selon le commandant Achour, le nombre d'incendies a considérablement baissé en ce mois de septembre, grâce notamment à la pluie saisonnière enregistrée dans différentes régions du pays. Au total, quelques 5.580 hectares de forêts ainsi que 3.578 autres de maquis ont été ravagés par les feux du 1er juin au 20 septembre en cours, ont indiqué hier les services de la Protection civile. En effet, conséquence des températures très élevées ressenties durant cet été, qui frôlaient les 42 degrés sur le littoral et jusqu'à 48 à l'intérieur du pays, des dizaines d'incendies de massifs forestiers ont été recensés sur tout le territoire national. Luttant d'arrache pieds contre ces flammes dévastatrices, avec le peu de moyens disponibles, les éléments de la protection civile ont enregistré 681 feux ayant causé la perte de 5.580 hectares et 380 feux de maquis ayant causé la perte de 3.578 hectares, selon le responsable de la communication, le commandant Farouk Achour. En outre, près de 1.540 feux de récoltes, ajoute-t-on, ont causé un dégât évalué à 5.622 hectares. Les incendies ont également ravagé quelques 7.452 palmiers. Il ne se passe pas un jour sans que les pompiers soient sollicités pour éteindre les feux et éventuellement sauver des vies humaines. Ce fléau qui n'est pas uniquement environnemental, a beaucoup pénalisé les agriculteurs, fermiers et apiculteurs. En effet, ces feux ont détruit des champs de céréales, des arbres fruitiers, des ruches d'abeilles, anéantissant du même coup des tonnes de récoltes. Il faut souligner que la tournure alarmante que prend ce phénomène avec l'avènement de la saison des grandes chaleurs, a été cette année-la favorisée par des températures hors du commun ainsi que des vents violents qui attisent les flammes, dévorant toute forme de végétation, forêts, maquis, broussailles, de nombreux oliviers, arbres fruitiers et autres pins d'Alep. Les régions les plus touchées restent les wilayas de l'Ouest, suivies de celles du centre et à un degré moindre de l'Est du pays. Les feux de forêt semblent ainsi inévitables dans les périodes de grande chaleur. Et ce, malgré les mesures draconiennes de prévention et de surveillance prises par les responsables chargés de la protection du patrimoine forestier. Selon le commandant Achour, le nombre d'incendies a considérablement baissé en ce mois de septembre, grâce notamment à la pluie saisonnière enregistrée dans différentes régions du pays.