Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika est, depuis mardi, à New-York, à la tête d'une importante délégation pour participer à la 64e session de l'Assemblée générale des Nations unies. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika est, depuis mardi, à New-York, à la tête d'une importante délégation pour participer à la 64e session de l'Assemblée générale des Nations unies. En marge de cette manifestation, le chef de l'Etat a eu un entretien, auquel ont pris part le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et le ministre délégué auprès du ministère des Affaires étrangères chargé des Affaires africaines et maghrébines, Abdelkader Messahel, avec le secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki Moon, avant de prendre part à la séance d'ouverture de la réunion Clinton Global Initiative. La «Clinton Global Initiative » (CGI) parrainée par HYPERLINK"http://www.clintonfoundation.org/" La Fondation Bill Clinton, réunit, depuis sa création en 2005, tous les ans, en septembre, plusieurs chefs d'Etat et de Gouvernement à l'occasion de l'Assemblée Générale des Nations unies, ainsi que d'éminentes personnalités issues des entreprises, des ONG, du monde académique et des philanthropes et célébrités, pour trouver des solutions innovantes aux plus pressants problèmes mondiaux. Le président de la République prendra part, aussi, à un dîner restreint offert par le SG de l'ONU en l'honneur de plusieurs Chefs d'Etat et de gouvernement présents à la 64e session de l'Assemblée générale de l'ONU. Il est prévu également, toujours en marge des travaux de la session de l'AG de l'Onu, qu'il prendra part à un sommet du Groupe des Quinze ainsi qu'à de nombreuses activités liées aux questions économiques et sociales et de développement durable se rapportant, en particulier, au continent africain avant de prononcer un important discours à l'ouverture du débat de l'Assemblée générale des Nations Unies. Sur le dialogue de haut niveau sur les changements climatiques convoqué par le secrétaire général de l'Onu, le premier responsable de l'Organisation des Nations Unies Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a indiqué mardi, en conclusion du sommet sur le climat, qu'il croit en la possibilité de parvenir à un accord «équitable, efficace et ambitieux» à Copenhague, avouant qu' «Il reste un long chemin à parcourir», tout en affichant son optimisme pour un accord global. «Aujourd'hui, nous sommes plus près d'un accord. Il nous faut maintenir cet élan dans les semaines qui viennent», a-t-il souligné. Il est à signaler que les chefs d'Etat et de gouvernement ont été invités mardi par le Premier ministre du Danemark, Lars Lokke Rasmussen, à se rendre à Copenhague du 7 au 18 décembre pour clore la conférence de l'ONU sur le réchauffement climatique, initialement prévue au niveau ministériel. A l'ouverture, hier, de l'Assemblée générale de l'ONU, Ban Ki-moon a appelé ses membres, à répondre unis aux défis du climat, du nucléaire et de la pauvreté, estimant que «s'il y a un meilleur moment pour agir dans un esprit multilatéral renouvelé, c'est bien maintenant». Peu après, le président américain, Barack Obama, devait prononcer son premier discours devant l'Assemblée depuis sa prise de fonctions en janvier, en sollicitant l'aide de ses homologues pour faire face aux défis de la planète. «Ceux qui ont l'habitude de réprimander l'Amérique pour son action solitaire dans le monde ne peuvent aujourd'hui rester de côté et attendre que l'Amérique résolve seule tous les problèmes du monde», devait dire le président américain aux dirigeants à New York, selon des extraits diffusés par la Maison Blanche. En marge de cette manifestation, le chef de l'Etat a eu un entretien, auquel ont pris part le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et le ministre délégué auprès du ministère des Affaires étrangères chargé des Affaires africaines et maghrébines, Abdelkader Messahel, avec le secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki Moon, avant de prendre part à la séance d'ouverture de la réunion Clinton Global Initiative. La «Clinton Global Initiative » (CGI) parrainée par HYPERLINK"http://www.clintonfoundation.org/" La Fondation Bill Clinton, réunit, depuis sa création en 2005, tous les ans, en septembre, plusieurs chefs d'Etat et de Gouvernement à l'occasion de l'Assemblée Générale des Nations unies, ainsi que d'éminentes personnalités issues des entreprises, des ONG, du monde académique et des philanthropes et célébrités, pour trouver des solutions innovantes aux plus pressants problèmes mondiaux. Le président de la République prendra part, aussi, à un dîner restreint offert par le SG de l'ONU en l'honneur de plusieurs Chefs d'Etat et de gouvernement présents à la 64e session de l'Assemblée générale de l'ONU. Il est prévu également, toujours en marge des travaux de la session de l'AG de l'Onu, qu'il prendra part à un sommet du Groupe des Quinze ainsi qu'à de nombreuses activités liées aux questions économiques et sociales et de développement durable se rapportant, en particulier, au continent africain avant de prononcer un important discours à l'ouverture du débat de l'Assemblée générale des Nations Unies. Sur le dialogue de haut niveau sur les changements climatiques convoqué par le secrétaire général de l'Onu, le premier responsable de l'Organisation des Nations Unies Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a indiqué mardi, en conclusion du sommet sur le climat, qu'il croit en la possibilité de parvenir à un accord «équitable, efficace et ambitieux» à Copenhague, avouant qu' «Il reste un long chemin à parcourir», tout en affichant son optimisme pour un accord global. «Aujourd'hui, nous sommes plus près d'un accord. Il nous faut maintenir cet élan dans les semaines qui viennent», a-t-il souligné. Il est à signaler que les chefs d'Etat et de gouvernement ont été invités mardi par le Premier ministre du Danemark, Lars Lokke Rasmussen, à se rendre à Copenhague du 7 au 18 décembre pour clore la conférence de l'ONU sur le réchauffement climatique, initialement prévue au niveau ministériel. A l'ouverture, hier, de l'Assemblée générale de l'ONU, Ban Ki-moon a appelé ses membres, à répondre unis aux défis du climat, du nucléaire et de la pauvreté, estimant que «s'il y a un meilleur moment pour agir dans un esprit multilatéral renouvelé, c'est bien maintenant». Peu après, le président américain, Barack Obama, devait prononcer son premier discours devant l'Assemblée depuis sa prise de fonctions en janvier, en sollicitant l'aide de ses homologues pour faire face aux défis de la planète. «Ceux qui ont l'habitude de réprimander l'Amérique pour son action solitaire dans le monde ne peuvent aujourd'hui rester de côté et attendre que l'Amérique résolve seule tous les problèmes du monde», devait dire le président américain aux dirigeants à New York, selon des extraits diffusés par la Maison Blanche.