D'énormes efforts sont consentis par les autorités communales pour éviter le drame des inondations, qui chaque année, endeuille des dizaines de familles. Cette année l'opération de curage des avaloirs a vu le jour relativement tôt et donc cela laisse présager que la capitale pourra accueillir en toute sérénité la saison pluvieuse. D'énormes efforts sont consentis par les autorités communales pour éviter le drame des inondations, qui chaque année, endeuille des dizaines de familles. Cette année l'opération de curage des avaloirs a vu le jour relativement tôt et donc cela laisse présager que la capitale pourra accueillir en toute sérénité la saison pluvieuse. Alors que la saison des pluies est à nos portes et annonce déjà la couleur, les autorités communales, ont d'ores et déjà mis en place les solutions adéquates qui pourraient mettre un terme définitif aux inondations récurrentes chaque année dans la capitale et qui ne manquent pas de provoquer à chaque fois, d'énormes pertes matérielles, quand elles ne provoquent pas des pertes humaines. Dans cet objectif et afin d'éviter le pire, les Epic d'Alger et l'ensemble des APC apportent leur aide et suivent de près l'opération orchestrée par la wilaya d'Alger en collaboration avec les services de l'hydraulique et mis en œuvre depuis déjà près de trois mois. Un plan d'action général pour procéder au curage de l'ensemble des avaloirs et des principaux canaux d'assainissement. L'opération lancée, particulièrement à Alger, n'est pas encore achevée. «Elle se poursuivra, affirme M. Oubahia, secrétaire général à l'APC de Sidi M'hamed, tout en mettant à pied d'œuvre un programme d'entretien régulier de ces avaloirs». Les effort conjugués, consentis par ces organismes et institutions, n'ont pas vraiment donné les meilleurs fruits, témoins les conséquences des premières averses connues par l'ensemble du territoire algérois lors de la fin de semaine écoulée. Car, il était bien clair qu'à Alger-Centre ainsi que dans les autres localités les avaloirs, qui étaient quasiment tous bouchés, ce qui a provoqué maintes perturbations au niveau de la circulation : les ornières et autres nids-de-poule se transformant rapidement en mares. Notre interlocuteur justifie cette situation par, premièrement, l'opération qui n'est pas encore achevée et, deuxièmement, l'indifférence et l'inconscience des citoyens qui jettent leurs détritus n'importe où. Les résidants doivent, impérativement, s'impliquer dans cette opération, ne serait-ce qu'en préservant les avaloirs de tout déchets ou détritus, les commerçants sont également appelés à plus de civisme et à jeter leurs divers détritus au niveau des bennes à ordures ou décharges publiques. L'autre phénomène engendrant l'obstruction des avaloirs, sont les déchets évacués par les chantiers et qui ne manquent pas d'agraver la situation. Dans certains cas, des avaloirs peuvent être entièrement obstrués d'une manière qui rend l'opération de curage particulièrement pénible et qui souvent nécessite le déploiement de grands moyens et engins. L'on fait état de plusieurs, voire de centaines de points noirs repérés notamment à Alger-Centre où le commerce informel gangrène l'ensemble des trottoirs et ruelles. Il faut donc bien mettre en évidence que le citoyen est tenu de s'impliquer dans cette opération, pour sa propre sécurité, du moins en signalant ces points noirs dans l'espoir de passer un hiver sans catastrophes. Y. B. Alors que la saison des pluies est à nos portes et annonce déjà la couleur, les autorités communales, ont d'ores et déjà mis en place les solutions adéquates qui pourraient mettre un terme définitif aux inondations récurrentes chaque année dans la capitale et qui ne manquent pas de provoquer à chaque fois, d'énormes pertes matérielles, quand elles ne provoquent pas des pertes humaines. Dans cet objectif et afin d'éviter le pire, les Epic d'Alger et l'ensemble des APC apportent leur aide et suivent de près l'opération orchestrée par la wilaya d'Alger en collaboration avec les services de l'hydraulique et mis en œuvre depuis déjà près de trois mois. Un plan d'action général pour procéder au curage de l'ensemble des avaloirs et des principaux canaux d'assainissement. L'opération lancée, particulièrement à Alger, n'est pas encore achevée. «Elle se poursuivra, affirme M. Oubahia, secrétaire général à l'APC de Sidi M'hamed, tout en mettant à pied d'œuvre un programme d'entretien régulier de ces avaloirs». Les effort conjugués, consentis par ces organismes et institutions, n'ont pas vraiment donné les meilleurs fruits, témoins les conséquences des premières averses connues par l'ensemble du territoire algérois lors de la fin de semaine écoulée. Car, il était bien clair qu'à Alger-Centre ainsi que dans les autres localités les avaloirs, qui étaient quasiment tous bouchés, ce qui a provoqué maintes perturbations au niveau de la circulation : les ornières et autres nids-de-poule se transformant rapidement en mares. Notre interlocuteur justifie cette situation par, premièrement, l'opération qui n'est pas encore achevée et, deuxièmement, l'indifférence et l'inconscience des citoyens qui jettent leurs détritus n'importe où. Les résidants doivent, impérativement, s'impliquer dans cette opération, ne serait-ce qu'en préservant les avaloirs de tout déchets ou détritus, les commerçants sont également appelés à plus de civisme et à jeter leurs divers détritus au niveau des bennes à ordures ou décharges publiques. L'autre phénomène engendrant l'obstruction des avaloirs, sont les déchets évacués par les chantiers et qui ne manquent pas d'agraver la situation. Dans certains cas, des avaloirs peuvent être entièrement obstrués d'une manière qui rend l'opération de curage particulièrement pénible et qui souvent nécessite le déploiement de grands moyens et engins. L'on fait état de plusieurs, voire de centaines de points noirs repérés notamment à Alger-Centre où le commerce informel gangrène l'ensemble des trottoirs et ruelles. Il faut donc bien mettre en évidence que le citoyen est tenu de s'impliquer dans cette opération, pour sa propre sécurité, du moins en signalant ces points noirs dans l'espoir de passer un hiver sans catastrophes. Y. B.