C'est pratiquement mission impossible de trouver le moindre petit espace où pouvoir garer son véhicule dès 9h du matin. Il faut dans la plupart des cas se babattre sur les espaces nformels ou non surveillés en priant qu'au retour l'on ne retrouve pas sa voiture immobilisée par un «sabot», car à ce moment il faut vraiment faire un véritable parcours du combattant avant de pouvoir enfin reprendre le volant. C'est pratiquement mission impossible de trouver le moindre petit espace où pouvoir garer son véhicule dès 9h du matin. Il faut dans la plupart des cas se babattre sur les espaces nformels ou non surveillés en priant qu'au retour l'on ne retrouve pas sa voiture immobilisée par un «sabot», car à ce moment il faut vraiment faire un véritable parcours du combattant avant de pouvoir enfin reprendre le volant. Les parkings de la capîtale affichent complets, dès les premières heures de la matinée, et profitent ainsi aux lève-tôts et aux conducteurs prévoyants et avertis du casse-tête des stationnements. Les autres, ceux qui accompagnenet avant leurs enfants à l'école ou qui ne tiennent pas à être aux aurores au bureau, seront condamnés à tourner jusqu'à épuisement avant de trouver (ô miracle) une place. La majorité des automobilistes est condamné à accepter et subir le diktat des «parkingueurs» informels qui jouent aux petits caïds en imposant des tarifs prohibitifs, ce qu'il faut dire, c'est que cela ne vous met nullement à l'abri des fameux sabots (hantise des automobilistes). Après moults et moults péripéties et avoir réussi à stationner enfin votre tellement encombrant véhicule, vous êtes las et prêts à vouer à tous les diables cette voiture, qui au départ était censée vous faciliter le quotidien. Ainsi se rendre au travail en voiture, cela peut encore paraître, pour ceux qui n'ont pas de voitures, agréable et salutaire, mais sitôt qu'ils rejoindront la grande communauté des conducteurs, ils auront vite fait de déchanter, car ils découvriront à leur tour le stress du stationnement. Ce stress qui s'installe en permanence pour les personnes obligés de stationner dans la capitale, et ce quel que soit le lieu où vous vous trouvez. Sur les lieux de votre travail, dans la salle d'attente du médecin, peu importe... vous ne pouvez vous empêcher de penser à votre voiture et dans quel état vous la retrouverez eu pire si vous la retrouverez. Après l'avénement du métro et du tramway, dont les travaux sont dans la phase finale, il est probable que cette situation connaitra son épilogue, étant donné qu'à la longue les gens s'habitueront à emprunter, pour les déplacements dans la capitale, ces moyens de transport bien plus pratiques, privilégiant ainsi leurs véhicules particuliers pour les sorties des week-ends ou les randonnées en famille, mais encore faut-il que ces pratiques s'instaurent dans nos mœurs, en attendant... l'automobiliste doit prendre son mal en patience. Les parkings de la capîtale affichent complets, dès les premières heures de la matinée, et profitent ainsi aux lève-tôts et aux conducteurs prévoyants et avertis du casse-tête des stationnements. Les autres, ceux qui accompagnenet avant leurs enfants à l'école ou qui ne tiennent pas à être aux aurores au bureau, seront condamnés à tourner jusqu'à épuisement avant de trouver (ô miracle) une place. La majorité des automobilistes est condamné à accepter et subir le diktat des «parkingueurs» informels qui jouent aux petits caïds en imposant des tarifs prohibitifs, ce qu'il faut dire, c'est que cela ne vous met nullement à l'abri des fameux sabots (hantise des automobilistes). Après moults et moults péripéties et avoir réussi à stationner enfin votre tellement encombrant véhicule, vous êtes las et prêts à vouer à tous les diables cette voiture, qui au départ était censée vous faciliter le quotidien. Ainsi se rendre au travail en voiture, cela peut encore paraître, pour ceux qui n'ont pas de voitures, agréable et salutaire, mais sitôt qu'ils rejoindront la grande communauté des conducteurs, ils auront vite fait de déchanter, car ils découvriront à leur tour le stress du stationnement. Ce stress qui s'installe en permanence pour les personnes obligés de stationner dans la capitale, et ce quel que soit le lieu où vous vous trouvez. Sur les lieux de votre travail, dans la salle d'attente du médecin, peu importe... vous ne pouvez vous empêcher de penser à votre voiture et dans quel état vous la retrouverez eu pire si vous la retrouverez. Après l'avénement du métro et du tramway, dont les travaux sont dans la phase finale, il est probable que cette situation connaitra son épilogue, étant donné qu'à la longue les gens s'habitueront à emprunter, pour les déplacements dans la capitale, ces moyens de transport bien plus pratiques, privilégiant ainsi leurs véhicules particuliers pour les sorties des week-ends ou les randonnées en famille, mais encore faut-il que ces pratiques s'instaurent dans nos mœurs, en attendant... l'automobiliste doit prendre son mal en patience.