L'Association des réalisateurs indépendants «A nous les écrans», organise avec le soutien du ministère de la Culture, en partenariat avec l'OREF et la salle Cosmos, la première édition des Journées Cinématographiques d'Alger (JCA) et cela du 3 au 7 octobre 2009 à la salle Ibn Zeydoun et à la salle Cosmos. L'Association des réalisateurs indépendants «A nous les écrans», organise avec le soutien du ministère de la Culture, en partenariat avec l'OREF et la salle Cosmos, la première édition des Journées Cinématographiques d'Alger (JCA) et cela du 3 au 7 octobre 2009 à la salle Ibn Zeydoun et à la salle Cosmos. Environ 16 productions, à savoir quatre longs métrages, quatre courts métrages et huit documentaires, d'Algérie, de France, de Grande Bretagne, d'Afghanistan, du Liban, de la Palestine, d'Egypte, du Maroc et du Qatar serons projetés durant cinq jours dans la capitale durant cette période. Plusieurs conférences sont également prévues durant ces journées, sur des thèmes aussi différents qu'important à l'instar du scénario, du documentaire et le montage et cela pour enrichir la scène cinématographique locale, mais aussi exposer les problèmes et présenter des solutions pour un meilleur développement du cinéma en Algérie. Ces journées accueilleront plusieurs intervenants dont Slimane Benaissa, et Mohamed Bensalah, pour l'Algérie, Ahmed Atef d'Egypte, Mohamed Nadif du Maroc, Montasser Marai du Qatar, Eliane Raheb qui est responsable de Beyrouth DC au Liban et Nizar Hassan, producteur de documentaire en Palestine. Un atelier sur le montage sera présenté à l'occasion de ces journées cinématographiques sous la direction de Rachid Benallal, (l'un des plus anciens chef monteurs en Algérie). Une conférence pour les jeunes cinéastes sera également organisé sous le thème : «L'importance du court-métrage pour l'avenir du cinéma algérien » suivi de la projection de court-métrages algériens : «Symphonie des Dieux» de Saidani Zakaria, « Bab » de Yasmine Chouikh et «les étrangers» de Fateh Rabia, suivi d'un débat avec Abdelhamid Krim (cinéaste algérien installé en Espagne), Yasmina Chouikh (Directrice artistique du Festival du court métrage de Taghit) et Mehdi Benaissa (Directeur artistique des JCA). Les JCA présenteront notamment l'émouvant court métrage de Mohamed Nadif «La jeune femme et l'instit», qui raconte l'histoire d'une jeune fille qui devient folle après avoir perdu son frère mort noyé en voulant immigrer clandestinement en Espagne. Le 7e art ça se regarde ! Cotés cinéma, l'ouverture des ces journées sera totalement algérienne, puisque deux productions inédites seront présentés à l'ouverture des JCA à la salle Ibn Zeydoun : le court métrage «Clan destin» d'Abdelhamid Krim, interprété par Lyes Salem et qui raconte la tentative de jeunes haraga algérien et le documentaire «Ça tourne à Alger 2»de Salim Aggar , qui sera la suite du premier volet sur le cinéma algérien et qui raconte cette fois, le parcours de quelques cinéastes algériens installés en France. Durant ces JCA, plusieurs documentaires seront également présentés pour la première fois à Alger parmi eux «Hayda Lubnan» de Eliane Raheb (Liban), «Janoub» (Sud) de Nizar Hassan (Palestine), «Via via, circulez», qui raconte l'univers des Parkingeurs à Milan de Dorine Brun (France), «L'invitation au Mariage» sur la problématique du mariage en Inde réalisé par Hélène Chauvin (France), ou encore «les sénégalaises et la sénegauloise», un documentaire sur le choc des cultures chez les femmes africaines réalisé par la sénégalaise Alice Diop. Enfin, les JCA consacreront un hommage particulier à deux personnalités du monde arabe «Mahmoud Darwich» à travers la présentation du documentaire de Simone Bitton et Elias Sanbar (une production Franco-Libanaise) et le grand réalisateur Syrien Mustapha Akkad à travers la présentation du meilleur documentaire qui lui est consacré «De Alep à Hollywood» réalisé par Mohamed Belhaj. Mais la plus grande attraction de ses JCA se résume sans aucun doute, dans les longs métrages. Ainsi, l'Association «A nous les écrans» qui va toujours à l'affut de l'actualité cinématographique en programmant en soirée quatre longs métrages inédits: «Les démons de la ville» (El Ghaba) Ahmed Atef (Egypte), «L'enfant de Kaboul» de Barmak Akram (Afghanistan), mais surtout «Le temps qui reste», le film du réalisateur Elia Suleiman et «Looking For Eric» film de Ken Loach, avec Eric Cantona. Deux films présentés lors de la dernière édition du Festival de Cannes 2009 et qui seront présentés en exclusivité en Algérie durant ces JCA. Le cinéma, initiateur d'échanges culturels L'Association «A nous les écrans» présentera à l'issue de ces journées, les résultats du concours national du scenario, qui a rassemblé plus de 80 scénarios dont 50 consacrés entièrement aux courts-métrages. D'après les organisateurs, l'objectif des ces journées, est bien entendu de créer un espace de rencontre, de débat, d'échanges entre le Maghreb, l'Orient et l'Occident, tout en espérant que cette manifestation sera un rendez-vous important du cinéma à Alger, comme l'est aujourd'hui les journées cinématographiques de Carthage à Tunis. Pour l'organisation de cette manifestation, les JCA précise qu'ils ont bénéficié «du soutien de l'opérateur historique, Mobilis, qui a toujours été aux cotés des cinéastes et des artistes dans les manifestations cinématographiques et audiovisuelles en Algérie, ainsi que du service culturelle de l'Ambassade de France qui apporte une aide aux productions européennes invités dans le cadre de ses journées, mais aussi des opérateurs comme le distributeur Kinomax, la maison de production Belvedere ou l'entreprise de courrier international Fedex». La presse écrite a également participé en apportant son soutien médiatique à ces journées. Environ 16 productions, à savoir quatre longs métrages, quatre courts métrages et huit documentaires, d'Algérie, de France, de Grande Bretagne, d'Afghanistan, du Liban, de la Palestine, d'Egypte, du Maroc et du Qatar serons projetés durant cinq jours dans la capitale durant cette période. Plusieurs conférences sont également prévues durant ces journées, sur des thèmes aussi différents qu'important à l'instar du scénario, du documentaire et le montage et cela pour enrichir la scène cinématographique locale, mais aussi exposer les problèmes et présenter des solutions pour un meilleur développement du cinéma en Algérie. Ces journées accueilleront plusieurs intervenants dont Slimane Benaissa, et Mohamed Bensalah, pour l'Algérie, Ahmed Atef d'Egypte, Mohamed Nadif du Maroc, Montasser Marai du Qatar, Eliane Raheb qui est responsable de Beyrouth DC au Liban et Nizar Hassan, producteur de documentaire en Palestine. Un atelier sur le montage sera présenté à l'occasion de ces journées cinématographiques sous la direction de Rachid Benallal, (l'un des plus anciens chef monteurs en Algérie). Une conférence pour les jeunes cinéastes sera également organisé sous le thème : «L'importance du court-métrage pour l'avenir du cinéma algérien » suivi de la projection de court-métrages algériens : «Symphonie des Dieux» de Saidani Zakaria, « Bab » de Yasmine Chouikh et «les étrangers» de Fateh Rabia, suivi d'un débat avec Abdelhamid Krim (cinéaste algérien installé en Espagne), Yasmina Chouikh (Directrice artistique du Festival du court métrage de Taghit) et Mehdi Benaissa (Directeur artistique des JCA). Les JCA présenteront notamment l'émouvant court métrage de Mohamed Nadif «La jeune femme et l'instit», qui raconte l'histoire d'une jeune fille qui devient folle après avoir perdu son frère mort noyé en voulant immigrer clandestinement en Espagne. Le 7e art ça se regarde ! Cotés cinéma, l'ouverture des ces journées sera totalement algérienne, puisque deux productions inédites seront présentés à l'ouverture des JCA à la salle Ibn Zeydoun : le court métrage «Clan destin» d'Abdelhamid Krim, interprété par Lyes Salem et qui raconte la tentative de jeunes haraga algérien et le documentaire «Ça tourne à Alger 2»de Salim Aggar , qui sera la suite du premier volet sur le cinéma algérien et qui raconte cette fois, le parcours de quelques cinéastes algériens installés en France. Durant ces JCA, plusieurs documentaires seront également présentés pour la première fois à Alger parmi eux «Hayda Lubnan» de Eliane Raheb (Liban), «Janoub» (Sud) de Nizar Hassan (Palestine), «Via via, circulez», qui raconte l'univers des Parkingeurs à Milan de Dorine Brun (France), «L'invitation au Mariage» sur la problématique du mariage en Inde réalisé par Hélène Chauvin (France), ou encore «les sénégalaises et la sénegauloise», un documentaire sur le choc des cultures chez les femmes africaines réalisé par la sénégalaise Alice Diop. Enfin, les JCA consacreront un hommage particulier à deux personnalités du monde arabe «Mahmoud Darwich» à travers la présentation du documentaire de Simone Bitton et Elias Sanbar (une production Franco-Libanaise) et le grand réalisateur Syrien Mustapha Akkad à travers la présentation du meilleur documentaire qui lui est consacré «De Alep à Hollywood» réalisé par Mohamed Belhaj. Mais la plus grande attraction de ses JCA se résume sans aucun doute, dans les longs métrages. Ainsi, l'Association «A nous les écrans» qui va toujours à l'affut de l'actualité cinématographique en programmant en soirée quatre longs métrages inédits: «Les démons de la ville» (El Ghaba) Ahmed Atef (Egypte), «L'enfant de Kaboul» de Barmak Akram (Afghanistan), mais surtout «Le temps qui reste», le film du réalisateur Elia Suleiman et «Looking For Eric» film de Ken Loach, avec Eric Cantona. Deux films présentés lors de la dernière édition du Festival de Cannes 2009 et qui seront présentés en exclusivité en Algérie durant ces JCA. Le cinéma, initiateur d'échanges culturels L'Association «A nous les écrans» présentera à l'issue de ces journées, les résultats du concours national du scenario, qui a rassemblé plus de 80 scénarios dont 50 consacrés entièrement aux courts-métrages. D'après les organisateurs, l'objectif des ces journées, est bien entendu de créer un espace de rencontre, de débat, d'échanges entre le Maghreb, l'Orient et l'Occident, tout en espérant que cette manifestation sera un rendez-vous important du cinéma à Alger, comme l'est aujourd'hui les journées cinématographiques de Carthage à Tunis. Pour l'organisation de cette manifestation, les JCA précise qu'ils ont bénéficié «du soutien de l'opérateur historique, Mobilis, qui a toujours été aux cotés des cinéastes et des artistes dans les manifestations cinématographiques et audiovisuelles en Algérie, ainsi que du service culturelle de l'Ambassade de France qui apporte une aide aux productions européennes invités dans le cadre de ses journées, mais aussi des opérateurs comme le distributeur Kinomax, la maison de production Belvedere ou l'entreprise de courrier international Fedex». La presse écrite a également participé en apportant son soutien médiatique à ces journées.