Les prix du pétrole reculaient encore, hier matin, après la reprise du dollar et la crainte d'une reprise lente de la demande, la persistance des tensions géopolitiques entre l'Iran et l'Occident semblant être sans influence. Le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en novembre) perdait 40 cents par rapport à la clôture de vendredi, à 64,71 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE). Le brut léger texan (WTI) pour la même échéance cédait 41 cents à 65,61 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Un net rebond du dollar autour de 1,46 dollar lundi matin, combiné à une tonalité morose sur les marchés actions (les places asiatiques ont toutes fini en baisse, Shanghai, ayant notamment lâché 2,65%, pesait sur les prix. Aussi, la hausse du dollar réduit l'attrait de placement anti-inflation des matières premières, tandis que la baisse des Bourses reflète les doutes des investisseurs sur la reprise économique mondiale et, partant, sur le redressement de la demande pétrolière. Les cours avaient touché, vendredi leurs niveaux les plus faibles depuis plusieurs semaines (64,08 dollars à Londres, un plus bas depuis la mi-juillet, et 65,05 dollars à New York, le prix le plus faible en deux mois), mais ils étaient néanmoins remonté en fin de séance, grâce à un regain de tensions géopolitiques. Le Président américain Barack Obama avait révélé que les Occidentaux accusaient l'Iran d'avoir développé un site nucléaire secret, ce que Téhéran a démenti. Plusieurs responsables ont réclamé, dans la foulée, de nouvelles sanctions contre Téhéran. Les prix du pétrole reculaient encore, hier matin, après la reprise du dollar et la crainte d'une reprise lente de la demande, la persistance des tensions géopolitiques entre l'Iran et l'Occident semblant être sans influence. Le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en novembre) perdait 40 cents par rapport à la clôture de vendredi, à 64,71 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE). Le brut léger texan (WTI) pour la même échéance cédait 41 cents à 65,61 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Un net rebond du dollar autour de 1,46 dollar lundi matin, combiné à une tonalité morose sur les marchés actions (les places asiatiques ont toutes fini en baisse, Shanghai, ayant notamment lâché 2,65%, pesait sur les prix. Aussi, la hausse du dollar réduit l'attrait de placement anti-inflation des matières premières, tandis que la baisse des Bourses reflète les doutes des investisseurs sur la reprise économique mondiale et, partant, sur le redressement de la demande pétrolière. Les cours avaient touché, vendredi leurs niveaux les plus faibles depuis plusieurs semaines (64,08 dollars à Londres, un plus bas depuis la mi-juillet, et 65,05 dollars à New York, le prix le plus faible en deux mois), mais ils étaient néanmoins remonté en fin de séance, grâce à un regain de tensions géopolitiques. Le Président américain Barack Obama avait révélé que les Occidentaux accusaient l'Iran d'avoir développé un site nucléaire secret, ce que Téhéran a démenti. Plusieurs responsables ont réclamé, dans la foulée, de nouvelles sanctions contre Téhéran.