Fait pour le moins inhabituel à quelques jours du derby constantinois. Une relative apathie frappe les deux camps, notamment, celui des clubistes, plus enclins d'habitude à l'ostentation et la propension de ses fans à investir les artères et les principales places de la ville. L'élément essentiel de cette désaffection est sans doute l'absence d'un certain panache chez les Sanafirs et l'entame mi-figue mi-raisin de la saison. Une réalité à laquelle il faut ajouter les turbulences qui frappent le club et les nombreuses défaillances de joueurs pour des raisons diverses : réclamation des salaires, suspension par mesure disciplinaire, boycott des entraînements... Tout cela, même si Ounis a récemment débloqué près d'un milliard qu'il a dispatché sur l'ensemble des joueurs comme preuve de sa bonne volonté d'honorer ses engagements. Le retour d'ascenseur semble avoir été exécuté avec le nul flatteur ramené de Hydra et qui va énormément peser dans la balance psychologique samedi prochain même si le voisin mociste, pour sa part, a gagné la sienne de rencontre, mais sans convaincre. Il suffit de se référer au score et à la modeste dimension de l'adversaire, en l'occurrence le MO Béjaïa, dont les joueurs ont repris la compétition sans s'être entrainés une seule fois depuis un mois. En tout état de cause, la victoire de l'un ou de l'autre mettrait dans de meilleures dispositions le vainqueur dont les respectives directions sont connues pour leur désir de seulement gagner le derby et peu importe le reste de la compétition même si en bout de course, il y a une accession, voire une rétrogradation. Le derby est ainsi fait même s'il a été dévoyé ces dernières années. Il a, en effet, perdu son charme, du moins, sur le terrain. Quant au spectacle, il reste l'exclusivité des gradins et tribunes que les milliers de Sanafirs ont l'art de rendre lumineux dans tous les sens du terme. Comme d'habitude, et malheureusement, la ville va être prise en otage par le match et bien des fonctionnaires et autres travailleurs, notamment les femmes, vont devoir obligatoirement s'absenter, ce samedi, de leurs postes de travail. Fait pour le moins inhabituel à quelques jours du derby constantinois. Une relative apathie frappe les deux camps, notamment, celui des clubistes, plus enclins d'habitude à l'ostentation et la propension de ses fans à investir les artères et les principales places de la ville. L'élément essentiel de cette désaffection est sans doute l'absence d'un certain panache chez les Sanafirs et l'entame mi-figue mi-raisin de la saison. Une réalité à laquelle il faut ajouter les turbulences qui frappent le club et les nombreuses défaillances de joueurs pour des raisons diverses : réclamation des salaires, suspension par mesure disciplinaire, boycott des entraînements... Tout cela, même si Ounis a récemment débloqué près d'un milliard qu'il a dispatché sur l'ensemble des joueurs comme preuve de sa bonne volonté d'honorer ses engagements. Le retour d'ascenseur semble avoir été exécuté avec le nul flatteur ramené de Hydra et qui va énormément peser dans la balance psychologique samedi prochain même si le voisin mociste, pour sa part, a gagné la sienne de rencontre, mais sans convaincre. Il suffit de se référer au score et à la modeste dimension de l'adversaire, en l'occurrence le MO Béjaïa, dont les joueurs ont repris la compétition sans s'être entrainés une seule fois depuis un mois. En tout état de cause, la victoire de l'un ou de l'autre mettrait dans de meilleures dispositions le vainqueur dont les respectives directions sont connues pour leur désir de seulement gagner le derby et peu importe le reste de la compétition même si en bout de course, il y a une accession, voire une rétrogradation. Le derby est ainsi fait même s'il a été dévoyé ces dernières années. Il a, en effet, perdu son charme, du moins, sur le terrain. Quant au spectacle, il reste l'exclusivité des gradins et tribunes que les milliers de Sanafirs ont l'art de rendre lumineux dans tous les sens du terme. Comme d'habitude, et malheureusement, la ville va être prise en otage par le match et bien des fonctionnaires et autres travailleurs, notamment les femmes, vont devoir obligatoirement s'absenter, ce samedi, de leurs postes de travail.