Le 22 octobre se tiendra, à Paris, une rencontre autour des réformes introduites par la loi de finances complémentaire algérienne sous le titre "Nouvelle régulation sur les IDE, quel avenir pour l'entreprise en Algérie". Le 22 octobre se tiendra, à Paris, une rencontre autour des réformes introduites par la loi de finances complémentaire algérienne sous le titre "Nouvelle régulation sur les IDE, quel avenir pour l'entreprise en Algérie". Le colloque est organisé par le Club Dauphine El Djazair (créé par les anciens diplômés de l'université Dauphine) en partenariat avec le CIAN, le Conseil français des investisseurs en Afrique. Les participants ont défini comme base de réflexion deux réformes auquelles doivent se conformer les investisseurs etrangers au 31 décembre 2009. En premier lieu, les activités du commerce extérieur ne peuvent être exercées par des personnes physiques ou morales étrangères que dans le cadre d'un partenariat dont l'actionnariat national résident est égal au moins à 30% du capital social. Second constat induit par la LCP, les investisseurs étrangers ne peuvent réaliser que dans le cadre d'un partenariat dont l'actionnariat national résident représente 51% au moins du capital social. Les participants sont donc invités à répondre à un certain nombre d'interrogations dont les plus ardues portent sur l'avenir de l'investissement étranger et les difficultés à trouver un partenaire local en Algerie. Les débats se polariseront autour de la possibilité ou non de la mise en place d'un système de notation et d'évaluation des entreprises et des actifs financiers. Pierre Gonon, président de la commission Maghreb au CIAN sera présent parmi les intervenants. A signaler que le CIAN est une association créée en 1979 et dont les membres sont les entreprises françaises présentes en Afrique. Le CIAN a pour mission de défendre les intérêts de ses membres et de promouvoir l'investissement en Afrique. Il est présent dans diverses manifestations en Algérie comme la Foire d'Alger, à travers ses membres. Des raisons qui, sans aucun doute, expliquent l'intérêt et les inquiétudes que suscitent dans ses rangs les directives du gouvernement algérien. Le colloque est organisé par le Club Dauphine El Djazair (créé par les anciens diplômés de l'université Dauphine) en partenariat avec le CIAN, le Conseil français des investisseurs en Afrique. Les participants ont défini comme base de réflexion deux réformes auquelles doivent se conformer les investisseurs etrangers au 31 décembre 2009. En premier lieu, les activités du commerce extérieur ne peuvent être exercées par des personnes physiques ou morales étrangères que dans le cadre d'un partenariat dont l'actionnariat national résident est égal au moins à 30% du capital social. Second constat induit par la LCP, les investisseurs étrangers ne peuvent réaliser que dans le cadre d'un partenariat dont l'actionnariat national résident représente 51% au moins du capital social. Les participants sont donc invités à répondre à un certain nombre d'interrogations dont les plus ardues portent sur l'avenir de l'investissement étranger et les difficultés à trouver un partenaire local en Algerie. Les débats se polariseront autour de la possibilité ou non de la mise en place d'un système de notation et d'évaluation des entreprises et des actifs financiers. Pierre Gonon, président de la commission Maghreb au CIAN sera présent parmi les intervenants. A signaler que le CIAN est une association créée en 1979 et dont les membres sont les entreprises françaises présentes en Afrique. Le CIAN a pour mission de défendre les intérêts de ses membres et de promouvoir l'investissement en Afrique. Il est présent dans diverses manifestations en Algérie comme la Foire d'Alger, à travers ses membres. Des raisons qui, sans aucun doute, expliquent l'intérêt et les inquiétudes que suscitent dans ses rangs les directives du gouvernement algérien.