«Peugeot, constructeur automobile responsable», le ton est donné par Marc Bocqué, responsable presse et relations extérieures mondiales de la direction de la stratégie de marque et de la communication de Peugeot qui a animé, hier, au stand de la marque, une conférence de presse sur la sécurité routière. «Il n'y a pas de sécurité à deux vitesses», a-t-il tenu à souligner à propos des véhicules Peugeot commercialisés en Algérie, soutenant que «les fondamentaux de la conception de l'objet automobile sont les mêmes pour tous les pays». Le conférencier qui a mis en exergue le fait que «95% des accidents de la route sont dus au facteur humain», avoue que «le sujet» des accidents de la route «est difficile». «180 millions d'euros par an, 600 crash-test et autant de crash-rest sur système, 200.000 heures de circulation de simulation et quelque 3 millions de km de roulage, sont consacrés chez Peugeot avant le lancement d'un produit de la marque», a révélé Marc Bocqué qui souligne qu'«il faut parfois 100/1.000ème de seconde pour sauver une vie humaine». C'est sur ce segment de temps très court que les 12.000 ingénieurs de Peugeot travaillent pour dévelloper la sécurité des conducteurs et passagers. Et au responsable de la marque de souligner que «la sécurité routière repose sur un système triangulaire, l'homme, le véhicule et les infrastructures», et que «la valeur d'un système est égale à celle de son maillon le plus faible, l'homme», illustrant ses propos par les progrès «spectaculaires», enregistrés en matière de baisse d'accidents de la route et par autant de victimes en moins. «En 1970, en Europe, il a été compté 78.000 tués et en 2007, 28.000, soit une baisse de 63,6% et en France pour la même période, 18.000 et ce chiffre a connu une régression constante pour arriver à 4.620», a remarqué le responsable de Peugeot qui juge que ce résultat n'est pas dû «à la fatalité», mais à une conjonction de plusieurs mesures prises par les pouvoirs publics au fil des années, entres autres, «la limitation de la vitesse, le port obligatoire de la ceinture, la loi sur la quantité d'alcool dans le sang, le radar et enfin le crash test frontal et latéral auquel est soumis tout véhicule avant sa sortie sur le marché», ajoutés à cela, «les progrès techniques des constructeurs automobiles». Toutes ces mesures sont en vigueur en Algérie, il n'empêche que les accidents de la route sont en constante progression. Selon les dernières statistiques livrées par la Gendarmerie nationale, il a été recensé à la fin du premier semestre 2009, 11.758 accidents qui ont provoqué la mort de 1.692 personnes. Si le facteur humain est la cause principale des accidents, on travaille chez Peugeot à rendre la conduite d'une voiture «plus aisée dans une atmosphère plus sereine», indique Marc Bocqué qui cite les innovations introduites sur la gamme 407 et 5008 du constructeur, freinage train AV, double triangle et train AR, multibras, assistance freinage d'urgence (AFU) sur toute la gamme et airbag rideaux sur 3 rangées sur la 5008 (1ère voiture à être équipée en Europe). «Peugeot, constructeur automobile responsable», le ton est donné par Marc Bocqué, responsable presse et relations extérieures mondiales de la direction de la stratégie de marque et de la communication de Peugeot qui a animé, hier, au stand de la marque, une conférence de presse sur la sécurité routière. «Il n'y a pas de sécurité à deux vitesses», a-t-il tenu à souligner à propos des véhicules Peugeot commercialisés en Algérie, soutenant que «les fondamentaux de la conception de l'objet automobile sont les mêmes pour tous les pays». Le conférencier qui a mis en exergue le fait que «95% des accidents de la route sont dus au facteur humain», avoue que «le sujet» des accidents de la route «est difficile». «180 millions d'euros par an, 600 crash-test et autant de crash-rest sur système, 200.000 heures de circulation de simulation et quelque 3 millions de km de roulage, sont consacrés chez Peugeot avant le lancement d'un produit de la marque», a révélé Marc Bocqué qui souligne qu'«il faut parfois 100/1.000ème de seconde pour sauver une vie humaine». C'est sur ce segment de temps très court que les 12.000 ingénieurs de Peugeot travaillent pour dévelloper la sécurité des conducteurs et passagers. Et au responsable de la marque de souligner que «la sécurité routière repose sur un système triangulaire, l'homme, le véhicule et les infrastructures», et que «la valeur d'un système est égale à celle de son maillon le plus faible, l'homme», illustrant ses propos par les progrès «spectaculaires», enregistrés en matière de baisse d'accidents de la route et par autant de victimes en moins. «En 1970, en Europe, il a été compté 78.000 tués et en 2007, 28.000, soit une baisse de 63,6% et en France pour la même période, 18.000 et ce chiffre a connu une régression constante pour arriver à 4.620», a remarqué le responsable de Peugeot qui juge que ce résultat n'est pas dû «à la fatalité», mais à une conjonction de plusieurs mesures prises par les pouvoirs publics au fil des années, entres autres, «la limitation de la vitesse, le port obligatoire de la ceinture, la loi sur la quantité d'alcool dans le sang, le radar et enfin le crash test frontal et latéral auquel est soumis tout véhicule avant sa sortie sur le marché», ajoutés à cela, «les progrès techniques des constructeurs automobiles». Toutes ces mesures sont en vigueur en Algérie, il n'empêche que les accidents de la route sont en constante progression. Selon les dernières statistiques livrées par la Gendarmerie nationale, il a été recensé à la fin du premier semestre 2009, 11.758 accidents qui ont provoqué la mort de 1.692 personnes. Si le facteur humain est la cause principale des accidents, on travaille chez Peugeot à rendre la conduite d'une voiture «plus aisée dans une atmosphère plus sereine», indique Marc Bocqué qui cite les innovations introduites sur la gamme 407 et 5008 du constructeur, freinage train AV, double triangle et train AR, multibras, assistance freinage d'urgence (AFU) sur toute la gamme et airbag rideaux sur 3 rangées sur la 5008 (1ère voiture à être équipée en Europe).