Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) durcit le ton et décide de sécher les cours pendant une semaine à partir de la deuxième semaine du mois de novembre prochain. Après la journée de protestation du 5 octobre dernier, voilà que le secteur de l'éducation revient une nouvelle fois à la contestation. Et cette fois-ci, c'est le Cnapest qui a décidé de durcir le mouvement de protestation. Après avoir tenu un conseil national extraordinaire les 9 et 10 du mois en cours ayant regroupé les représentants de 38 wilayas, le Cnapest a appelé à une manifestation d'une semaine en guise de refus de la décision prise par le gouvernement stipulant que l'application du régime indemnitaire se fera à partir de la date de sa publication dans le journal officiel. C'est ce qui ressort du communiqué de presse sanctionnant cette rencontre. La décision du gouvernement du 30 septembre dernier est rejetée en bloc par les enseignants du secondaire et du technique. En effet, ils ont de tout temps revendiqué l'application du régime indemnitaire avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008 et le calcul de la prime de rendement sur la base du salaire actuel. Dans cette revendication, le Cnapest souligne que le dossier des œuvres sociales et celui de la médecine du travail n'ont toujours pas été pris en charge. Aussi, à travers un communiqué de presse, le Cnapest met la pression sur le ministère de l'Education nationale. A peine entamée, l'année scolaire 2009-2010 est déjà perturbée. Cinq syndicats dont celui du (Cnapest), à savoir le Conseil des lycées d'Algérie (Cla), le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes), le Syndicat national autonome des personnels de l'administration algérienne, section éducation (Snapap) ainsi que le Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef) avaient déjà observé une grève générale le 5 octobre courantr. Ils ont comme principales revendications «une augmentation des salaires par la valorisation du point indiciaire et l'annulation de l'article 87 bis, la promulgation du régime indemnitaire, l'intégration des contractuels et la révision du statut particulier», et ce, «pour une école publique et de qualité, et une retraite décente», lit-on dans le communiqué. Le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) durcit le ton et décide de sécher les cours pendant une semaine à partir de la deuxième semaine du mois de novembre prochain. Après la journée de protestation du 5 octobre dernier, voilà que le secteur de l'éducation revient une nouvelle fois à la contestation. Et cette fois-ci, c'est le Cnapest qui a décidé de durcir le mouvement de protestation. Après avoir tenu un conseil national extraordinaire les 9 et 10 du mois en cours ayant regroupé les représentants de 38 wilayas, le Cnapest a appelé à une manifestation d'une semaine en guise de refus de la décision prise par le gouvernement stipulant que l'application du régime indemnitaire se fera à partir de la date de sa publication dans le journal officiel. C'est ce qui ressort du communiqué de presse sanctionnant cette rencontre. La décision du gouvernement du 30 septembre dernier est rejetée en bloc par les enseignants du secondaire et du technique. En effet, ils ont de tout temps revendiqué l'application du régime indemnitaire avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008 et le calcul de la prime de rendement sur la base du salaire actuel. Dans cette revendication, le Cnapest souligne que le dossier des œuvres sociales et celui de la médecine du travail n'ont toujours pas été pris en charge. Aussi, à travers un communiqué de presse, le Cnapest met la pression sur le ministère de l'Education nationale. A peine entamée, l'année scolaire 2009-2010 est déjà perturbée. Cinq syndicats dont celui du (Cnapest), à savoir le Conseil des lycées d'Algérie (Cla), le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes), le Syndicat national autonome des personnels de l'administration algérienne, section éducation (Snapap) ainsi que le Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef) avaient déjà observé une grève générale le 5 octobre courantr. Ils ont comme principales revendications «une augmentation des salaires par la valorisation du point indiciaire et l'annulation de l'article 87 bis, la promulgation du régime indemnitaire, l'intégration des contractuels et la révision du statut particulier», et ce, «pour une école publique et de qualité, et une retraite décente», lit-on dans le communiqué.