La grève d'une semaine reconductible à partir du 8 novembre prochain, décidée par les enseignants du secondaire et technique, est désormais confirmée. La grève d'une semaine reconductible à partir du 8 novembre prochain, décidée par les enseignants du secondaire et technique, est désormais confirmée. Face au silence observé par la tutelle, la grogne des représentants du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest), persiste en dépit de leur récente rencontre avec le secrétaire général du ministère de l'Education Nationale, Khaldi, le 18 octobre dernier. «Ça ne nous a mené nulle part, il a juste noté nos revendications et propositions. On a demandé à voir l'instance compétente chargée de la prise des décisions au sein du secteur éducatif, mais nos demandes demeurent sans réponses», nous a déclaré hier, M.Boudiba, secrétaire national de l'information et de la communication du Cnapest. Selon lui, le représentant du la tutelle n'a pris en considération, durant cette réunion, que la question du régime indemnitaire, ce qui a envenimé la situation vu que la totalité de la plateforme de revendications n'est pas prise en charge. «On observera une grève d'une semaine si toutes nos revendications ne sont pas prise en compte, c'est le seul moyen de nous faire entendre » a-t-il martelé. Le préavis de grève en question a été déposé hier au ministère de l'Education, a-t-il affirmé. En effet, à l'issue de son Conseil national tenu les 9 et 10 octobre derniers, à Alger et en présence des représentants de 38 wilayas, le Cnapest est arrivé à la conclusion selon laquelle le ministère de l'Education n'a visiblement pas retenu la leçon du débrayage du 5 octobre. A l'unanimité, ses membres ont approuvé l'option de la grève reconductible. Autrement dit, le Cnapest maintient la protestation devant la tergiversation du ministère de l'Education nationale d'ouvrir des négociations sérieuses, mais particulièrement, « devant la non-prise en charge effective des revendications concernant le dossier du régime indemnitaire avec effet rétroactif, le dossier des oeuvres sociales ainsi que celui de la médecine du travail », lit-on dans un communiqué de presse parvenu hier à notre rédaction et signé par le Cnapest. La même source a indiqué que «le syndicat demande l'annulation de l'instruction gouvernementale, datée du 30-09-2009, qui stipule l'interdiction de l'application du régime des primes et augmentations avant sa publication dans le Journal officiel.» En outre, le représentant des enseignants appelle à l'entrée en vigueur «rétroactive» du régime des primes et des augmentations à compter du 01-01-2008 afin d'améliorer leur situation sociale. Par ailleurs, il faut dire que ce débrayage d'une semaine va paralyser les lycées à travers le territoire national. Le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique est ainsi décidé à aller jusqu'au bout de son combat revendicatif, comptant sur l'union des forces syndicales. Face au silence observé par la tutelle, la grogne des représentants du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest), persiste en dépit de leur récente rencontre avec le secrétaire général du ministère de l'Education Nationale, Khaldi, le 18 octobre dernier. «Ça ne nous a mené nulle part, il a juste noté nos revendications et propositions. On a demandé à voir l'instance compétente chargée de la prise des décisions au sein du secteur éducatif, mais nos demandes demeurent sans réponses», nous a déclaré hier, M.Boudiba, secrétaire national de l'information et de la communication du Cnapest. Selon lui, le représentant du la tutelle n'a pris en considération, durant cette réunion, que la question du régime indemnitaire, ce qui a envenimé la situation vu que la totalité de la plateforme de revendications n'est pas prise en charge. «On observera une grève d'une semaine si toutes nos revendications ne sont pas prise en compte, c'est le seul moyen de nous faire entendre » a-t-il martelé. Le préavis de grève en question a été déposé hier au ministère de l'Education, a-t-il affirmé. En effet, à l'issue de son Conseil national tenu les 9 et 10 octobre derniers, à Alger et en présence des représentants de 38 wilayas, le Cnapest est arrivé à la conclusion selon laquelle le ministère de l'Education n'a visiblement pas retenu la leçon du débrayage du 5 octobre. A l'unanimité, ses membres ont approuvé l'option de la grève reconductible. Autrement dit, le Cnapest maintient la protestation devant la tergiversation du ministère de l'Education nationale d'ouvrir des négociations sérieuses, mais particulièrement, « devant la non-prise en charge effective des revendications concernant le dossier du régime indemnitaire avec effet rétroactif, le dossier des oeuvres sociales ainsi que celui de la médecine du travail », lit-on dans un communiqué de presse parvenu hier à notre rédaction et signé par le Cnapest. La même source a indiqué que «le syndicat demande l'annulation de l'instruction gouvernementale, datée du 30-09-2009, qui stipule l'interdiction de l'application du régime des primes et augmentations avant sa publication dans le Journal officiel.» En outre, le représentant des enseignants appelle à l'entrée en vigueur «rétroactive» du régime des primes et des augmentations à compter du 01-01-2008 afin d'améliorer leur situation sociale. Par ailleurs, il faut dire que ce débrayage d'une semaine va paralyser les lycées à travers le territoire national. Le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique est ainsi décidé à aller jusqu'au bout de son combat revendicatif, comptant sur l'union des forces syndicales.