L'université des sciences islamiques, qui fête ce mois ses 25 ans d'existence s'apprête à recevoir 549 nouveaux étudiants pour le cursus 2009. En référence aux statistiques fournies par le rectorat, il s'avère que 80% des inscriptions sont affiliées au système LMD. L'élément féminin, à lui seul, en représente 60%. L'université des sciences islamiques qui jouissait auparavant d'un statut particulier, s'achemine irréversiblement vers l'instauration générale du système master. L'enseignement classique étant condamné à disparaître sous peu, elle est amenée à s'aligner sur l'ensemble des universités normales. En 1984, date de son inauguration, l'université Emir Abdelkader dispensait un tronc commun de deux ans. A partir de 1990, le système d'enseignement fut l'objet d'une révision, voire d'une réadaptation pour aboutir à un tronc commun d'une année, prolongé d'une période de spécialisation de trois ans. A l'année du 21 siècle, elle est rattrapée par la vision nationale concernant l'enseignement supérieur et son adaptation aux évolutions technologiques et aux besoins du marché du travail. L'université semble disposer de tous les moyens pédagogiques et matériels pour assurer son bon fonctionnement. Elle vient de se renforcer d'une nouvelle structure qui faisait office, il y a peu de temps, à l'institut de psychologie. Après sa réhabilitation qui a coûté près de 30 millions de dinars, ce dernier offre trois auditoriums et vingt salles de classe. Sur le plan pédagogique, l'encadrement assure largement ses besoins. Ce qui se traduit concrètement par l'affectation d‘un enseignant auprès de 17 étudiants seulement. D'autre part, il y a eu l'introduction au niveau de l'institut intensif des langues, de classes d'apprentissage. Outre celles de français et d'anglais, les classes de persan, de turc et d'hébreu sont ouvertes à partir de cette année. Des cours accessibles au citoyens lambda, après s'être s'acquitté des frais annuels d'inscription fixés à 2.500 dinars. L'université des sciences islamiques, qui fête ce mois ses 25 ans d'existence s'apprête à recevoir 549 nouveaux étudiants pour le cursus 2009. En référence aux statistiques fournies par le rectorat, il s'avère que 80% des inscriptions sont affiliées au système LMD. L'élément féminin, à lui seul, en représente 60%. L'université des sciences islamiques qui jouissait auparavant d'un statut particulier, s'achemine irréversiblement vers l'instauration générale du système master. L'enseignement classique étant condamné à disparaître sous peu, elle est amenée à s'aligner sur l'ensemble des universités normales. En 1984, date de son inauguration, l'université Emir Abdelkader dispensait un tronc commun de deux ans. A partir de 1990, le système d'enseignement fut l'objet d'une révision, voire d'une réadaptation pour aboutir à un tronc commun d'une année, prolongé d'une période de spécialisation de trois ans. A l'année du 21 siècle, elle est rattrapée par la vision nationale concernant l'enseignement supérieur et son adaptation aux évolutions technologiques et aux besoins du marché du travail. L'université semble disposer de tous les moyens pédagogiques et matériels pour assurer son bon fonctionnement. Elle vient de se renforcer d'une nouvelle structure qui faisait office, il y a peu de temps, à l'institut de psychologie. Après sa réhabilitation qui a coûté près de 30 millions de dinars, ce dernier offre trois auditoriums et vingt salles de classe. Sur le plan pédagogique, l'encadrement assure largement ses besoins. Ce qui se traduit concrètement par l'affectation d‘un enseignant auprès de 17 étudiants seulement. D'autre part, il y a eu l'introduction au niveau de l'institut intensif des langues, de classes d'apprentissage. Outre celles de français et d'anglais, les classes de persan, de turc et d'hébreu sont ouvertes à partir de cette année. Des cours accessibles au citoyens lambda, après s'être s'acquitté des frais annuels d'inscription fixés à 2.500 dinars.