Finie l'image d'Epinal du marchand de cacahètes classique, proposant ses fruits secs dans des cornets confectionnés avec des feuilles de cahiers scolaires et transportant sa charette à travers les quartiers et à la sortie des écoles. Aujourd'hui même ces marchands de cacahètes ont décidé de se tourner résolument vers la modernité. En effet beaucoup auront certainement remarqué ces présentoirs pour fruits secs, que l'on retrouve également au sein de certaines épiceries de proximité, certes ces présentoirs sont bien plus encombrants que les anciennes charettes à bras ou les petits étals de quartiers, mais bien plus attractifs pour les clients. Les jeunes revendeurs installent ces présentoirs dans leurs quartiers, à proximité des cinémas, salles de spectacles ou simplement dans les cours des cités, ils se mettent à plusieurs pour les transporter, et l'accident n'est jamais loin, la semaine dernière des jeunes qui transportaient ce même bidule pour l'installer sur la rue Ahmed-Zabana, lieu de leur ‘commerce' l'ont par inadvertance, laissé choir et pistaches, amandes, noix de cajou, arachides... se sont répandues sur le trottoir au milieu des débris de verre. Finie l'image d'Epinal du marchand de cacahètes classique, proposant ses fruits secs dans des cornets confectionnés avec des feuilles de cahiers scolaires et transportant sa charette à travers les quartiers et à la sortie des écoles. Aujourd'hui même ces marchands de cacahètes ont décidé de se tourner résolument vers la modernité. En effet beaucoup auront certainement remarqué ces présentoirs pour fruits secs, que l'on retrouve également au sein de certaines épiceries de proximité, certes ces présentoirs sont bien plus encombrants que les anciennes charettes à bras ou les petits étals de quartiers, mais bien plus attractifs pour les clients. Les jeunes revendeurs installent ces présentoirs dans leurs quartiers, à proximité des cinémas, salles de spectacles ou simplement dans les cours des cités, ils se mettent à plusieurs pour les transporter, et l'accident n'est jamais loin, la semaine dernière des jeunes qui transportaient ce même bidule pour l'installer sur la rue Ahmed-Zabana, lieu de leur ‘commerce' l'ont par inadvertance, laissé choir et pistaches, amandes, noix de cajou, arachides... se sont répandues sur le trottoir au milieu des débris de verre.