Selon les prévisions de Abdelhafidh Henni, directeur général de l'Office national interprofessionnel du lait (Onil), la facture des importations de lait en poudre qui a atteint 750 millions de dollars en 2008, ne devrait pas dépasser 350 millions de dollars cette année. 400 millions de dollars, tel est le montant de la baisse des importations de lait en poudre durant l'exercice en cours. Une baisse importante qui résulte de la combinaison de trois facteurs. Le DG d'ONIL a expliqué, à cet effet, lors de son passage à l'émission radiophonique `"Invité de la rédaction", que la baisse du prix de ce produit sur le marché international s'est répercutée favorablement. En effet, le prix de la matière première sur le marché international, est passé «de 5.000 dollars la tonne en 2008 à 2.200 dollars cette année. De plus, cette baisse des importations de la poudre de lait se conjugue également avec une meilleure gestion des opérations d'importation. Celle-ci tient compte aussi de la baisse sensible de la demande nationale sur la poudre de lait. Elle est le fruit d'une politique soutenue d'intégration du lait cru dans l'approvisionnement des laiteries, a ajouté M.Henni. Il a, en outre, souligné que cette maîtrise des importations a permis à l'Algérie d'économiser la quantité non négligeable de 40.000 tonnes de poudre cette année. S'agissant de la production de lait, M. Henni a relevé que 300 millions de litres ont été collectés. L'Onil s'est engagé à porter la collecte de lait à 400 millions de litres en 2009 contre 150 millions en 2008, soit presque le triple du volume. Depuis le mois de juillet dernier, l'Onil a pris en charge le processus de subvention accordée par l'Etat, gérée jusqu'à alors par la Caisse nationale de mutualité agricole (Cnma). Il s'agit du dispositif promotionnel dit «de développement de la filière lait, production nationale», mis en place en mars dernier. Cette aide est répartie à travers une prime de 12 DA par litre accordée à l'éleveur (contre 7 DA/l en 2008), 5 DA/l pour le collecteur et une prime d'intégration de 4 DA/l accordée au transformateur. Pour rappel, créé en 2007, l'Onil a été en charge, initialement, d'importer et de distribuer la poudre de lait aux différentes laiteries du pays, touchées alors de plein fouet par le renchérissement de son coût sur le marché international. Pour soutenir le prix public du lait, vendu à 25 DA le sachet d'un litre, l'Etat consacre une subvention de 15 milliards de dinars à ce produit. Selon les prévisions de Abdelhafidh Henni, directeur général de l'Office national interprofessionnel du lait (Onil), la facture des importations de lait en poudre qui a atteint 750 millions de dollars en 2008, ne devrait pas dépasser 350 millions de dollars cette année. 400 millions de dollars, tel est le montant de la baisse des importations de lait en poudre durant l'exercice en cours. Une baisse importante qui résulte de la combinaison de trois facteurs. Le DG d'ONIL a expliqué, à cet effet, lors de son passage à l'émission radiophonique `"Invité de la rédaction", que la baisse du prix de ce produit sur le marché international s'est répercutée favorablement. En effet, le prix de la matière première sur le marché international, est passé «de 5.000 dollars la tonne en 2008 à 2.200 dollars cette année. De plus, cette baisse des importations de la poudre de lait se conjugue également avec une meilleure gestion des opérations d'importation. Celle-ci tient compte aussi de la baisse sensible de la demande nationale sur la poudre de lait. Elle est le fruit d'une politique soutenue d'intégration du lait cru dans l'approvisionnement des laiteries, a ajouté M.Henni. Il a, en outre, souligné que cette maîtrise des importations a permis à l'Algérie d'économiser la quantité non négligeable de 40.000 tonnes de poudre cette année. S'agissant de la production de lait, M. Henni a relevé que 300 millions de litres ont été collectés. L'Onil s'est engagé à porter la collecte de lait à 400 millions de litres en 2009 contre 150 millions en 2008, soit presque le triple du volume. Depuis le mois de juillet dernier, l'Onil a pris en charge le processus de subvention accordée par l'Etat, gérée jusqu'à alors par la Caisse nationale de mutualité agricole (Cnma). Il s'agit du dispositif promotionnel dit «de développement de la filière lait, production nationale», mis en place en mars dernier. Cette aide est répartie à travers une prime de 12 DA par litre accordée à l'éleveur (contre 7 DA/l en 2008), 5 DA/l pour le collecteur et une prime d'intégration de 4 DA/l accordée au transformateur. Pour rappel, créé en 2007, l'Onil a été en charge, initialement, d'importer et de distribuer la poudre de lait aux différentes laiteries du pays, touchées alors de plein fouet par le renchérissement de son coût sur le marché international. Pour soutenir le prix public du lait, vendu à 25 DA le sachet d'un litre, l'Etat consacre une subvention de 15 milliards de dinars à ce produit.