Les forces d'occupation israëliennes ont mené hier une nouvelle agression à l'esplanade des mosquées dans Al-Qods occupée. Des affrontements ont éclaté entre policiers israësliens et palestiniens qui manifestaient contre une tentative d'intrusion de groupes extremistes juifs dans ce lieu sacré pour les musulmans. Les forces d'occupation israëliennes ont mené hier une nouvelle agression à l'esplanade des mosquées dans Al-Qods occupée. Des affrontements ont éclaté entre policiers israësliens et palestiniens qui manifestaient contre une tentative d'intrusion de groupes extremistes juifs dans ce lieu sacré pour les musulmans. Les soldats israéliens ont utilisé la force en lançant notamment des grenades à gaz et tirant des balles en caoutchouc. Ils ont empêché d'autre part des fidèles d'accomplir la prière à l'intérieur de la mosquée. 10 Palestiniens ont été blessés et 12 autres arretés. Selon un porte-parole du Mouvement islamique arabe israelien, Kamel Khatib, « la police israëlienne affirme toujours que les Palestiniens jettent des pierres, comme prétexte à ses crimes». Tôt dans la journée d'hier, la police israëlienne avait renforcé ses patrouilles dans la vielle ville occupée à la suite d'appels lancés ces derniers jours par des Palestiniens et des Arabes israëliens pour venir «défendre l esplanade des mosquées » Ces appels faisaient suite à la provocation d'extremistes juifs qui avaient appelé, après obtention du feu vert des autorités israeliennes, samedi leurs membres à se rassembler en masse dans la vielle ville d'El Qods pour mener une incursion dans l'esplanade des mosquées. L'esplanade des mosquées abrite la mosquée Al Aqsa et le dome du Rocher, les deuxiemes lieux sacrés après la Mecque et Médine. En réaction à cet appel, le doyen des juges palestiniens, Cheikh Tayssir Tamimi, avait mis en garde contre toute atteinte à la mosquée exposée « à la plus grande conspiration fomentée par Israël dans le but d'exécuter un plan secret visant sa division ». Début octobre, des affrontements avaient opposé des manifestants palestiniens qui protestaient également contre le bouclage de la mosquée et contre une tentative d'infiltration de juifs extremistes. Une quarantaine de Palestiniens avaient été blessés. Le président de l'Autorité palestinienne M. Mahmoud Abbas a exhorté Israël à «stopper ses actes de provocations». "Al Qods est une ligne rouge à ne pas franchir » a-t-il déclaré. Il a appelé la communauté internationale à faire pression sur le gouvernement israélien pour qu'il mette fin à « ces actes qui ne font qu'enflammer la région ». De son côté l Organisation de la Communité Islamique (OCI) a qualifié la violation de l'esplanade des mosquées d'«acte grave qui aurait de graves conséquences». "C est une violation de tous les sanctuaires musulmans » a déclaré son Secrétaire général M. Ekmeledin Ihsanoglu avertissant que tout dégât porté à la mosquée Al Aqsa aurait « des conséquences imprévisibles « pour la paix et la sécurité internationales. Les agressions israéliennes sur l'esplanade des mosquées viennent s'ajouter à d'autres actes de barbarie menés contre les Palestiniens dans les territoires occupés et dans la bande de Ghaza. Israël fait toujours la sourde oreille aux appels lancés par les Palestiniens et l'ensemble de la communauté internationale pour l'arrêt de la colonisation dans les territoires occupés, qui constitue le principal obstacle à la reprise des négociations israélo-palestiniennes. Actuellement, plus de 300.000 colons juifs sont installés en Cisjordanie et quelque 200.000 Israéliens vivent dans une douzaine de quartiers de colonies érigés dans la partie orientale d'El-Qods occupée et annexée depuis 1967. Selon un rapport du mouvement israélien anti-colonisation, "La Paix Maintenant" publié début octobre, quelque 800 nouveaux logements dans 34 colonies de peuplement juives sont en construction depuis trois mois en Cisjordanie occupée, malgré les appels de la communauté internationale à l'arrêt des chantiers. La semaine dernière, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a réitéré son appel à un arrêt de la construction de colonies de peuplement juives dans les territoires palestiniens occupés, comme préalable à la reprise des pourparlers de paix avec Israël. Le Président Abbas a réaffirmé que le gel de la colonisation "permettrait la reprise des négociations entre Palestiniens et Israéliens", actuellement au point mort depuis la guerre israélienne d'envergure, lancée en décembre et janvier derniers contre le territoire de Ghaza, qui a fait au moins 1.400 martyrs (dont prés de 300 enfants) et plus de 5.000 blessés parmi les Palestiniens. Vu l'ampleur de ces agressions militaires, la mission d'enquête internationale dirigée par Richard Goldstone a rédigé un rapport dans lequel elle tient Israël pour responsable de "crimes de guerre" et de "possibles crimes contre l'humanité", à l'encontre des Palestiniens. Le rapport "Goldstone" a été adopté le 16 octobre à Genève par le Conseil des droits de l'Homme (CDH) de l'ONU. Le document sera en outre présenté pour examen à l'Assemblée générale des Nations unies lors de la phase principale des travaux de sa 64e session, avant fin décembre 2009, selon le porte-parole de cette instance. C'est une provocation du chef de la droite israelienne, Ariel Sharon, le 28 septembre 2000, qui avait déclenché la 2e intifadha dite d'Al Aqsa et embrasé les territoires occupés. Les soldats israéliens ont utilisé la force en lançant notamment des grenades à gaz et tirant des balles en caoutchouc. Ils ont empêché d'autre part des fidèles d'accomplir la prière à l'intérieur de la mosquée. 10 Palestiniens ont été blessés et 12 autres arretés. Selon un porte-parole du Mouvement islamique arabe israelien, Kamel Khatib, « la police israëlienne affirme toujours que les Palestiniens jettent des pierres, comme prétexte à ses crimes». Tôt dans la journée d'hier, la police israëlienne avait renforcé ses patrouilles dans la vielle ville occupée à la suite d'appels lancés ces derniers jours par des Palestiniens et des Arabes israëliens pour venir «défendre l esplanade des mosquées » Ces appels faisaient suite à la provocation d'extremistes juifs qui avaient appelé, après obtention du feu vert des autorités israeliennes, samedi leurs membres à se rassembler en masse dans la vielle ville d'El Qods pour mener une incursion dans l'esplanade des mosquées. L'esplanade des mosquées abrite la mosquée Al Aqsa et le dome du Rocher, les deuxiemes lieux sacrés après la Mecque et Médine. En réaction à cet appel, le doyen des juges palestiniens, Cheikh Tayssir Tamimi, avait mis en garde contre toute atteinte à la mosquée exposée « à la plus grande conspiration fomentée par Israël dans le but d'exécuter un plan secret visant sa division ». Début octobre, des affrontements avaient opposé des manifestants palestiniens qui protestaient également contre le bouclage de la mosquée et contre une tentative d'infiltration de juifs extremistes. Une quarantaine de Palestiniens avaient été blessés. Le président de l'Autorité palestinienne M. Mahmoud Abbas a exhorté Israël à «stopper ses actes de provocations». "Al Qods est une ligne rouge à ne pas franchir » a-t-il déclaré. Il a appelé la communauté internationale à faire pression sur le gouvernement israélien pour qu'il mette fin à « ces actes qui ne font qu'enflammer la région ». De son côté l Organisation de la Communité Islamique (OCI) a qualifié la violation de l'esplanade des mosquées d'«acte grave qui aurait de graves conséquences». "C est une violation de tous les sanctuaires musulmans » a déclaré son Secrétaire général M. Ekmeledin Ihsanoglu avertissant que tout dégât porté à la mosquée Al Aqsa aurait « des conséquences imprévisibles « pour la paix et la sécurité internationales. Les agressions israéliennes sur l'esplanade des mosquées viennent s'ajouter à d'autres actes de barbarie menés contre les Palestiniens dans les territoires occupés et dans la bande de Ghaza. Israël fait toujours la sourde oreille aux appels lancés par les Palestiniens et l'ensemble de la communauté internationale pour l'arrêt de la colonisation dans les territoires occupés, qui constitue le principal obstacle à la reprise des négociations israélo-palestiniennes. Actuellement, plus de 300.000 colons juifs sont installés en Cisjordanie et quelque 200.000 Israéliens vivent dans une douzaine de quartiers de colonies érigés dans la partie orientale d'El-Qods occupée et annexée depuis 1967. Selon un rapport du mouvement israélien anti-colonisation, "La Paix Maintenant" publié début octobre, quelque 800 nouveaux logements dans 34 colonies de peuplement juives sont en construction depuis trois mois en Cisjordanie occupée, malgré les appels de la communauté internationale à l'arrêt des chantiers. La semaine dernière, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a réitéré son appel à un arrêt de la construction de colonies de peuplement juives dans les territoires palestiniens occupés, comme préalable à la reprise des pourparlers de paix avec Israël. Le Président Abbas a réaffirmé que le gel de la colonisation "permettrait la reprise des négociations entre Palestiniens et Israéliens", actuellement au point mort depuis la guerre israélienne d'envergure, lancée en décembre et janvier derniers contre le territoire de Ghaza, qui a fait au moins 1.400 martyrs (dont prés de 300 enfants) et plus de 5.000 blessés parmi les Palestiniens. Vu l'ampleur de ces agressions militaires, la mission d'enquête internationale dirigée par Richard Goldstone a rédigé un rapport dans lequel elle tient Israël pour responsable de "crimes de guerre" et de "possibles crimes contre l'humanité", à l'encontre des Palestiniens. Le rapport "Goldstone" a été adopté le 16 octobre à Genève par le Conseil des droits de l'Homme (CDH) de l'ONU. Le document sera en outre présenté pour examen à l'Assemblée générale des Nations unies lors de la phase principale des travaux de sa 64e session, avant fin décembre 2009, selon le porte-parole de cette instance. C'est une provocation du chef de la droite israelienne, Ariel Sharon, le 28 septembre 2000, qui avait déclenché la 2e intifadha dite d'Al Aqsa et embrasé les territoires occupés.