Rachid Hadj Naceur, directeur des livres au ministère de la Culture a révélé hier qu'un projet est en cours de discussions pour aider davantage les éditeurs nationaux. Selon ce responsable, une proposition est en cours de discussions, pour la création d'une centrale d'achat avec les éditeurs. «Nous pensons à la création d'une centrale d'achat avec les éditeurs. Ce sera mis en application petit à petit». C'est en ces termes que s'est exprimé hier le directeur des livres au niveau du département de Khalida Toumi sur les ondes de la Chaîne III. Cette centrale devrait permettre aux éditeurs de distribuer leurs productions sur tout le territoire national. Interrogé sur l'exportation, du livre algérien, Rachid Hadj Naceur expliquera qu'il est exportable mais peu. « Il y a un problème de circuit interne de distribution. Réglons d'abord ce problème», a-t-il souligné. Ainsi, cette centrale d'achat devrait régler ce problème épineux. Interrogé sur les raisons de la volonté du ministère d'organiser lui-même le Salon international dulivre d'Alger, Rachid Hadj Naceur a déclaré : «Le salon est revenu à juste titre au ministère». Ceci, sans toutefois donner les motivations de ce transfert. En effet, c'est la première fois que le ministère organise cette manifestation qui était jusqu'à présent sous tutelle de l'Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP). A ce sujet, la 14 édition du Salon international du livre d'Alger (Sila) a débuté hier et ouvrira ses portes au public aujourd'hui, pour se poursuivre jusqu'au 6 novembre prochain. Sa tenue au niveau de l'esplanade du Complexe olympique du 5-Juillet ne devrait comporter aucun désagrément. « La sécurité est entièrement assurée, le salon ne fermera pas ses portes le vendredi ni le jour de match. Nous avons pris les dispositions pour qu'il n'y ait pas de dérapages», a assuré le directeur des livres. Pour ce qui est des moyens de transport, il a affirmé : « Les dispositions nécessaires ont été prises avec l'Etusa pour assurer des navettes jusqu'au salon », a souligné l'invité de la rédaction. Interrogé sur l'existence de la censure lors de ce salon, Rachid Hadj Naceur, directeur des livres au ministère de la Culture, a déclaré : « Comme chaque année et comme dans tous les pays, à l'occasion de foires ou d'importations, un regard est obligatoire sur tout ce qui rentre comme livres. Pour le Sila, nous recevons au préalable les listes des ouvrages à exposer. Une commission étudie les listes. Cette année, le travail s'est fait très vite. Nous avons évité les erreurs du passé. Les ouvrages interdits ont été arrêtés avant la sortie de leurs pays d'origine». Tout en précisant que les éditeurs n'ont pas été gênés par cette procédure, il a ajouté : «Chez les pays voisins, cela se fait sans soulever la moindre remarque alors que chez nous, c'est un peu particulier». Le choix des livres pouvant être exposés se fait sur la base d'un décret qui précise les domaines touchés par l'interdiction. «Les livres interdits sont ceux qui ne répondent pas aux critères : soit ils font l'apologie du terrorisme, ou bien ne correspondent pas à nos valeurs, ou encore portent atteinte à nos institutions. Il y a cinq ou six points énumérés dans le décret qui nous indique la marche à suivre», a encore précisé Rachid Hadj Naceur. Rachid Hadj Naceur, directeur des livres au ministère de la Culture a révélé hier qu'un projet est en cours de discussions pour aider davantage les éditeurs nationaux. Selon ce responsable, une proposition est en cours de discussions, pour la création d'une centrale d'achat avec les éditeurs. «Nous pensons à la création d'une centrale d'achat avec les éditeurs. Ce sera mis en application petit à petit». C'est en ces termes que s'est exprimé hier le directeur des livres au niveau du département de Khalida Toumi sur les ondes de la Chaîne III. Cette centrale devrait permettre aux éditeurs de distribuer leurs productions sur tout le territoire national. Interrogé sur l'exportation, du livre algérien, Rachid Hadj Naceur expliquera qu'il est exportable mais peu. « Il y a un problème de circuit interne de distribution. Réglons d'abord ce problème», a-t-il souligné. Ainsi, cette centrale d'achat devrait régler ce problème épineux. Interrogé sur les raisons de la volonté du ministère d'organiser lui-même le Salon international dulivre d'Alger, Rachid Hadj Naceur a déclaré : «Le salon est revenu à juste titre au ministère». Ceci, sans toutefois donner les motivations de ce transfert. En effet, c'est la première fois que le ministère organise cette manifestation qui était jusqu'à présent sous tutelle de l'Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP). A ce sujet, la 14 édition du Salon international du livre d'Alger (Sila) a débuté hier et ouvrira ses portes au public aujourd'hui, pour se poursuivre jusqu'au 6 novembre prochain. Sa tenue au niveau de l'esplanade du Complexe olympique du 5-Juillet ne devrait comporter aucun désagrément. « La sécurité est entièrement assurée, le salon ne fermera pas ses portes le vendredi ni le jour de match. Nous avons pris les dispositions pour qu'il n'y ait pas de dérapages», a assuré le directeur des livres. Pour ce qui est des moyens de transport, il a affirmé : « Les dispositions nécessaires ont été prises avec l'Etusa pour assurer des navettes jusqu'au salon », a souligné l'invité de la rédaction. Interrogé sur l'existence de la censure lors de ce salon, Rachid Hadj Naceur, directeur des livres au ministère de la Culture, a déclaré : « Comme chaque année et comme dans tous les pays, à l'occasion de foires ou d'importations, un regard est obligatoire sur tout ce qui rentre comme livres. Pour le Sila, nous recevons au préalable les listes des ouvrages à exposer. Une commission étudie les listes. Cette année, le travail s'est fait très vite. Nous avons évité les erreurs du passé. Les ouvrages interdits ont été arrêtés avant la sortie de leurs pays d'origine». Tout en précisant que les éditeurs n'ont pas été gênés par cette procédure, il a ajouté : «Chez les pays voisins, cela se fait sans soulever la moindre remarque alors que chez nous, c'est un peu particulier». Le choix des livres pouvant être exposés se fait sur la base d'un décret qui précise les domaines touchés par l'interdiction. «Les livres interdits sont ceux qui ne répondent pas aux critères : soit ils font l'apologie du terrorisme, ou bien ne correspondent pas à nos valeurs, ou encore portent atteinte à nos institutions. Il y a cinq ou six points énumérés dans le décret qui nous indique la marche à suivre», a encore précisé Rachid Hadj Naceur.