Encore une affaire sordide et macabre qui vient défrayer la chronique au sein de la cité Essalam de Aïn Beïda, jusque-là sans histoires. Vendredi les services de la Protection civile ont été appelés pour l'evacuation en urgence d'une jeune fille de 18 ans poignardée dans le dos par une baillonnette. La malheureuse a succombé à une hémoragie interne, l'arme lui ayant littéralement transpersé le cœur et un poumon selon le medecin légiste. La scène horrible s'est déroulée vers 15h de l'après-midi au moment où la victime accompagnée de sa maman se dirigeait vers le centre-ville pour y effectuer des courses. Elles se trouvaient sur le chemin menant de leur cité vers le boulevard du 1er-Novembre. C'est là que le criminel s'est approché d'elles et l'a poignardé dans le haut du dos avant de prendre la fuite. Ce dernier serait, selon des sources proches de l'affaire, un cousin de la victime auquel on aurait refusé la main de la malheureuse, ce qui ne justifie en rien cet acte d'une barbarie inqualifiable. Selon certaines sources, le criminel se serait suicidé au terme d'une journée de cavale en ingurgitant de l'acide ce dimanche 1er novembre. Cette information n'est toutefois pas encore confirmée par les services de sécurité. Encore une affaire sordide et macabre qui vient défrayer la chronique au sein de la cité Essalam de Aïn Beïda, jusque-là sans histoires. Vendredi les services de la Protection civile ont été appelés pour l'evacuation en urgence d'une jeune fille de 18 ans poignardée dans le dos par une baillonnette. La malheureuse a succombé à une hémoragie interne, l'arme lui ayant littéralement transpersé le cœur et un poumon selon le medecin légiste. La scène horrible s'est déroulée vers 15h de l'après-midi au moment où la victime accompagnée de sa maman se dirigeait vers le centre-ville pour y effectuer des courses. Elles se trouvaient sur le chemin menant de leur cité vers le boulevard du 1er-Novembre. C'est là que le criminel s'est approché d'elles et l'a poignardé dans le haut du dos avant de prendre la fuite. Ce dernier serait, selon des sources proches de l'affaire, un cousin de la victime auquel on aurait refusé la main de la malheureuse, ce qui ne justifie en rien cet acte d'une barbarie inqualifiable. Selon certaines sources, le criminel se serait suicidé au terme d'une journée de cavale en ingurgitant de l'acide ce dimanche 1er novembre. Cette information n'est toutefois pas encore confirmée par les services de sécurité.