L'Agence nationale pour le développement des investissements (ANDI) et l'Agence pour la coopération internationale et le développement local en Méditerranée (ACIM) vont travailler en collaboration afin de prospecter les opportunités d'investissements des patrons algériens issus de l'immigration dans leur pays d'origine. Dans le cadre du programme Invest in Med, un atelier s'est déroulé à Alger les 25 et 26 octobre 2009 sous l'égide de l'ACIM et l'ANDI relatif aux possibilités d'investissement de la diaspora algérienne dans son pays d'origine. L'objectif commun de ces deux institutions vise notamment une synergie dans l'accompagnement des industriels algériens dans leurs projets d'investissement en leur apportant l'aide et l'assistance technique nécessaires. Selon le site Animaweb, les acteurs réunis lors de cet atelier à Alger ont montré une forte volonté de dialogue et de soutien aux projets d'investissement proposés par les entrepreneurs. L'atelier a par ailleurs montré l'intérêt à travailler sur des IDE (investissements directs étrangers) de proximité : IDE portés par expatriés, ayant déjà des réseaux de partenariat existant porteurs de petits/moyens projets fortement créateurs d'emplois et générateurs de transferts de savoir faire. «Sur les 5 millions d'expatriés d'origine algérienne, 2 millions de ressortissants seraient potentiellement positionnés sur ce créneau des investissements productifs» affirme ce site. L'ensemble des secteurs économiques sont ciblés par ces investisseurs qui pensent participer activement à la croissance économique de leur pays. Des thèmes prioritaires pour le développement des IDE (de proximité en particulier) ont été identifiés et en tout premier lieu, la formation professionnelle, la pêche et agro-alimentaire, le BTP, le tourisme, les TIC. Les dispositions récentes sur les investissements contenus dans la loi de finances complémentaire 2009, visent à renforcer le rôle des intermédiaires dans la mise en place des IDE, tels que les associations professionnelles, avocats d'affaires et banques. Animaweb prend en considération l'engagement de l'Etat sachant que le ministre de la Communauté nationale à l'étranger, Djamal Ould Abbès a annoncé la création de filiales de banques algériennes dans les pays étrangers pour aider les expatriés à développer des projets d'investissement. Quant à Abdelkrim Mansouri, directeur général de l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI), il a rappelé qu'une des priorités de l'ANDI était de développer sa bourse de partenariats pour travailler en ce sens. «Cet atelier, largement relayé par la presse algérienne, a permis l'émergence de plusieurs projets d'investissement directs étrangers et de propositions d'ateliers thématiques autour du transfert de savoir-faire et de l'investissement par les expatriés qui seront présentés au gouvernement via le ministre de la Solidarité et la Communauté nationale à l'étranger» ajoute ce site. Rappelons que le programme Invest in Med vise à développer durablement les relations d'affaires, les investissements et les partenariats d'entreprises entre les 2 rives de la Méditerranée. Financé aux trois-quarts par l'Union européenne pour la période 2008-2011, il est piloté par le consortium MedAlliance, qui réunit des agences de développement économique (ANIMA, leader du programme), des CCI (ASCAME, Eurochambres) et des fédérations d'entreprises (Businessmed). L'Agence nationale pour le développement des investissements (ANDI) et l'Agence pour la coopération internationale et le développement local en Méditerranée (ACIM) vont travailler en collaboration afin de prospecter les opportunités d'investissements des patrons algériens issus de l'immigration dans leur pays d'origine. Dans le cadre du programme Invest in Med, un atelier s'est déroulé à Alger les 25 et 26 octobre 2009 sous l'égide de l'ACIM et l'ANDI relatif aux possibilités d'investissement de la diaspora algérienne dans son pays d'origine. L'objectif commun de ces deux institutions vise notamment une synergie dans l'accompagnement des industriels algériens dans leurs projets d'investissement en leur apportant l'aide et l'assistance technique nécessaires. Selon le site Animaweb, les acteurs réunis lors de cet atelier à Alger ont montré une forte volonté de dialogue et de soutien aux projets d'investissement proposés par les entrepreneurs. L'atelier a par ailleurs montré l'intérêt à travailler sur des IDE (investissements directs étrangers) de proximité : IDE portés par expatriés, ayant déjà des réseaux de partenariat existant porteurs de petits/moyens projets fortement créateurs d'emplois et générateurs de transferts de savoir faire. «Sur les 5 millions d'expatriés d'origine algérienne, 2 millions de ressortissants seraient potentiellement positionnés sur ce créneau des investissements productifs» affirme ce site. L'ensemble des secteurs économiques sont ciblés par ces investisseurs qui pensent participer activement à la croissance économique de leur pays. Des thèmes prioritaires pour le développement des IDE (de proximité en particulier) ont été identifiés et en tout premier lieu, la formation professionnelle, la pêche et agro-alimentaire, le BTP, le tourisme, les TIC. Les dispositions récentes sur les investissements contenus dans la loi de finances complémentaire 2009, visent à renforcer le rôle des intermédiaires dans la mise en place des IDE, tels que les associations professionnelles, avocats d'affaires et banques. Animaweb prend en considération l'engagement de l'Etat sachant que le ministre de la Communauté nationale à l'étranger, Djamal Ould Abbès a annoncé la création de filiales de banques algériennes dans les pays étrangers pour aider les expatriés à développer des projets d'investissement. Quant à Abdelkrim Mansouri, directeur général de l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI), il a rappelé qu'une des priorités de l'ANDI était de développer sa bourse de partenariats pour travailler en ce sens. «Cet atelier, largement relayé par la presse algérienne, a permis l'émergence de plusieurs projets d'investissement directs étrangers et de propositions d'ateliers thématiques autour du transfert de savoir-faire et de l'investissement par les expatriés qui seront présentés au gouvernement via le ministre de la Solidarité et la Communauté nationale à l'étranger» ajoute ce site. Rappelons que le programme Invest in Med vise à développer durablement les relations d'affaires, les investissements et les partenariats d'entreprises entre les 2 rives de la Méditerranée. Financé aux trois-quarts par l'Union européenne pour la période 2008-2011, il est piloté par le consortium MedAlliance, qui réunit des agences de développement économique (ANIMA, leader du programme), des CCI (ASCAME, Eurochambres) et des fédérations d'entreprises (Businessmed).