La faculté des sciences politiques et de l'informationa entamé, depuis déjà trois jours, une grève générale et illimitée qui ne semble pas devoir connaître une épilogue, du moins dans l'immédiat. Après la grogne au sein de la faculté de Bouzaréah, qui ne cesse de monter et perdure depuis près de deux semaine sans pour autant que les deux parties en conflit n'arrivent à trouver un terrain d'entente, la fièvre a gagné l'ex-ITFC, où les étudiants en colère revendiquent le déménagement immédiat de leur faculté. Leur demande fait suite à la réalisation de la nouvelle faculté érigée juste en face de l'ancienne infrastructure, actuellement en ébullition. Les deux structures sont situées à Ben-Aknoun sur les hauteurs d'Alger. Les étudiants affichent leur désir de poursuivre leurs études dans ce nouvel édifice en forme de bateau. Il faut admettre honnêtement que l'état des lieux au sein de la faculté des sciences politiques et de l'information est plus que déplorable. Unanimement, les étudiants dénonce l'exiguité des lieux, la dégradation des salles, l'insuffisance des amphithéâtres, la pénurie d'ouvrages notamment de références et autre incommodités, Il faut dire que cette faculté, dont la quasi-totalité en préfabriqué est vétuste et a fait son temps. Ce mouvement de contestation des étudiants est encadré par une organisatios estudiantine. Il s'agit de l'Union générale des étudiants algériens (UGEL). Déterminés à ne pas lâcher du lest, les étudiants veulent à tout prix le transfert vers la nouvelle infrastructure destinée à devenir une école de journalisme et des sciences politiques en partenariat avec des universités françaises. L'administration, de son côté, ne semble pas disposée à répondre aux doléances et accepter le transfert des étudiants, de cefait un bras de fer est engagé entre les deux parties. "Le transfert dépendrait de deux éléments", selon une source proche de l'administration. "Premièrement, explique notre interlocuteur, la décision de transfert ne dépend pas de l'administration de l'ITFC, et secundo, il n'est pas envisageable d'annuler du jour au lendemain un projet mûrement préparé depuis des année pour la réalisation d'une école indépendante de journalisme et de sciences politiques, pour simplement répondre à la demande des étudiants de ce cycle ordinaire". Le conflit est donc ouvert et l'on se demande qui finira par céder. La faculté des sciences politiques et de l'informationa entamé, depuis déjà trois jours, une grève générale et illimitée qui ne semble pas devoir connaître une épilogue, du moins dans l'immédiat. Après la grogne au sein de la faculté de Bouzaréah, qui ne cesse de monter et perdure depuis près de deux semaine sans pour autant que les deux parties en conflit n'arrivent à trouver un terrain d'entente, la fièvre a gagné l'ex-ITFC, où les étudiants en colère revendiquent le déménagement immédiat de leur faculté. Leur demande fait suite à la réalisation de la nouvelle faculté érigée juste en face de l'ancienne infrastructure, actuellement en ébullition. Les deux structures sont situées à Ben-Aknoun sur les hauteurs d'Alger. Les étudiants affichent leur désir de poursuivre leurs études dans ce nouvel édifice en forme de bateau. Il faut admettre honnêtement que l'état des lieux au sein de la faculté des sciences politiques et de l'information est plus que déplorable. Unanimement, les étudiants dénonce l'exiguité des lieux, la dégradation des salles, l'insuffisance des amphithéâtres, la pénurie d'ouvrages notamment de références et autre incommodités, Il faut dire que cette faculté, dont la quasi-totalité en préfabriqué est vétuste et a fait son temps. Ce mouvement de contestation des étudiants est encadré par une organisatios estudiantine. Il s'agit de l'Union générale des étudiants algériens (UGEL). Déterminés à ne pas lâcher du lest, les étudiants veulent à tout prix le transfert vers la nouvelle infrastructure destinée à devenir une école de journalisme et des sciences politiques en partenariat avec des universités françaises. L'administration, de son côté, ne semble pas disposée à répondre aux doléances et accepter le transfert des étudiants, de cefait un bras de fer est engagé entre les deux parties. "Le transfert dépendrait de deux éléments", selon une source proche de l'administration. "Premièrement, explique notre interlocuteur, la décision de transfert ne dépend pas de l'administration de l'ITFC, et secundo, il n'est pas envisageable d'annuler du jour au lendemain un projet mûrement préparé depuis des année pour la réalisation d'une école indépendante de journalisme et de sciences politiques, pour simplement répondre à la demande des étudiants de ce cycle ordinaire". Le conflit est donc ouvert et l'on se demande qui finira par céder.