L'université M'hamed-Bouguerra vit sa quatrième semaine d'agitation et de perturbation. Les étudiants ne décolèrent pas, et ils ne ratent pas une occasion pour exprimer leur mécontentement. En effet, les étudiants de la faculté des sciences économiques et commerciales ont poursuivi, hier, leur grève déclenchée en fin de semaine dernière pour protester contre les mesures de rachats appliquées par l'administration de l'université. Ils s'élèvent contre la moyenne de 9,90/20 appliquée pour les étudiants de sciences commerciales et de 9,80/20 pour ceux qui suivent les études en gestion, par une commission de délibération. «Elle est injuste cette répartition, nous étudions dans la même faculté, tous les étudiants devront bénéficier de la même moyenne de rachat», s'indigne un étudiant. Et d'ajouter «Si les responsables ne parviennent pas à résoudre ce problème, 50% des étudiants vont refaire l'année». Les contestataires affirment avoir des garanties quant à la résolution de leur problème, de responsables de l'université notamment le doyen de la faculté des sciences économiques et commerciales. «Mercredi dernier le premier responsable de la faculté nous a promis la résolution de notre problème, mais en vain», nous confie un autre étudiant. «Les responsables ont tenu, avant-hier, une assemblée avec des organisation estudiantines comme l'UGEL pour l'unique but de casser notre mouvement de grève», déclare un autre étudiant. En outre, les étudiants réclament le payement des frais de stage pour les étudiants de 4e année ayant effectué un stage pendant leur cursus universitaire. «Nous sommes déterminés à poursuivre notre grève jusqu'à la satisfaction de nos revendications», soutient un protestataire. Par ailleurs, il est à noter que ce mouvement de grève n'est que la suite d'un cycle de protestations déclenché par les étudiants notamment ceux de la faculté des sciences de l'ingénieur, à la mi-octobre dernier pour réclamer l'allègement de la moyenne de rachat. L'université M'hamed-Bouguerra vit sa quatrième semaine d'agitation et de perturbation. Les étudiants ne décolèrent pas, et ils ne ratent pas une occasion pour exprimer leur mécontentement. En effet, les étudiants de la faculté des sciences économiques et commerciales ont poursuivi, hier, leur grève déclenchée en fin de semaine dernière pour protester contre les mesures de rachats appliquées par l'administration de l'université. Ils s'élèvent contre la moyenne de 9,90/20 appliquée pour les étudiants de sciences commerciales et de 9,80/20 pour ceux qui suivent les études en gestion, par une commission de délibération. «Elle est injuste cette répartition, nous étudions dans la même faculté, tous les étudiants devront bénéficier de la même moyenne de rachat», s'indigne un étudiant. Et d'ajouter «Si les responsables ne parviennent pas à résoudre ce problème, 50% des étudiants vont refaire l'année». Les contestataires affirment avoir des garanties quant à la résolution de leur problème, de responsables de l'université notamment le doyen de la faculté des sciences économiques et commerciales. «Mercredi dernier le premier responsable de la faculté nous a promis la résolution de notre problème, mais en vain», nous confie un autre étudiant. «Les responsables ont tenu, avant-hier, une assemblée avec des organisation estudiantines comme l'UGEL pour l'unique but de casser notre mouvement de grève», déclare un autre étudiant. En outre, les étudiants réclament le payement des frais de stage pour les étudiants de 4e année ayant effectué un stage pendant leur cursus universitaire. «Nous sommes déterminés à poursuivre notre grève jusqu'à la satisfaction de nos revendications», soutient un protestataire. Par ailleurs, il est à noter que ce mouvement de grève n'est que la suite d'un cycle de protestations déclenché par les étudiants notamment ceux de la faculté des sciences de l'ingénieur, à la mi-octobre dernier pour réclamer l'allègement de la moyenne de rachat.