A l'orée de la période hivernale, ces appareils de chauffage ne sont soumis à aucun contrôle par des professionnels et de ce point des fuites de gaz et des défaillances techniques ne sont pas à écarter. Fréquemment, leur remise en marche est effectuée par le personnel enseignant ou des employés communaux inexpérimentés. A l'orée de la période hivernale, ces appareils de chauffage ne sont soumis à aucun contrôle par des professionnels et de ce point des fuites de gaz et des défaillances techniques ne sont pas à écarter. Fréquemment, leur remise en marche est effectuée par le personnel enseignant ou des employés communaux inexpérimentés. Contrairement aux collèges et lycées qui bénéficient de l'autonomie de gestion et possèdent des intendants chargés de cette mission, les écoles primaires considérées comme patrimoine communal, sont défavorisées car leur fonctionnement dépend des Assemblées populaires communales qui sont souvent confrontées à des crises de Trésorerie. En effet, ce sont les municipalités qui assurent les frais d'énergie électrique, d'eau potable, de téléphone, de fournitures scolaires, de gardiennage, d'entretien,de chauffage,etc. Ces dernières années, les autorités locales attachent une importance cruciale aux établissements scolaires afin de garantir un minimum de bien-être et de confort à la population scolaire. Pour pallier aux carences des APC, les pouvoirs publics accordent chaque année des enveloppes financières faramineuses, par le biais du FCCL, Fonds commun des collectivités locales, afin d'entreprendre, durant la saison estivale, des travaux de réhabilitation des infrastructures éducatives. D'autre part, d'importants quotas d'appareils de chauffage sont remis aux directions de l'éducation qui assurent leur ventilation dans les écoles concernées. Toutefois, l'entretien des appareils de chauffage souffre d'insuffisances flagrantes qui peuvent ètre néfastes quant à la sécurité de la collectivité. Dans un passé récent, et particulièrement pendant les premières années de l'indépendance, des ouvriers coimmunaux veillaient avant la rentrée scolaire à la vérification des appareils de chauffage à mazout ou à bois et surtout à leur entretien. Les conduite et cheminées étaient systématiquement ramonés pour prévenir d'éventuels incendies et autres aléas. Actuellement, les appareils de chauffage au gaz de ville sont prédominants et cela met fin aux sempiternelles corvées du mazout qu'il faut commander, entreposer et distribuer dans chaque salle de classe, notamment dans les écoles rurales. A l'orée de la période hivernale, ces appareils de chauffage ne sont soumis à aucun contrôle par des professionnels et de ce point des fuites de gaz et des défaillances techniques ne sont pas à écarter. Fréquemment, leur remise en marche est effectuée par le personnel enseignant ou des employés communaux inexpérimentés. Des accidents regrettables peuvent se produire à la suite de négligences impardonnables. De nombreux directeurs d'écoles primaires sont réellement démunis, voire désarmés car ils ne disposent pas de factotums ou d'employés qualifiés pour veiller à la mise en marche et l'entretien périodique des équipements spécifiques. Afin d'assurer le bon fonctionnement des écoles primaires et offrir une qualité de vie à nos enfants, les responsables locaux devront se pencher sur ce problème primordial. Contrairement aux collèges et lycées qui bénéficient de l'autonomie de gestion et possèdent des intendants chargés de cette mission, les écoles primaires considérées comme patrimoine communal, sont défavorisées car leur fonctionnement dépend des Assemblées populaires communales qui sont souvent confrontées à des crises de Trésorerie. En effet, ce sont les municipalités qui assurent les frais d'énergie électrique, d'eau potable, de téléphone, de fournitures scolaires, de gardiennage, d'entretien,de chauffage,etc. Ces dernières années, les autorités locales attachent une importance cruciale aux établissements scolaires afin de garantir un minimum de bien-être et de confort à la population scolaire. Pour pallier aux carences des APC, les pouvoirs publics accordent chaque année des enveloppes financières faramineuses, par le biais du FCCL, Fonds commun des collectivités locales, afin d'entreprendre, durant la saison estivale, des travaux de réhabilitation des infrastructures éducatives. D'autre part, d'importants quotas d'appareils de chauffage sont remis aux directions de l'éducation qui assurent leur ventilation dans les écoles concernées. Toutefois, l'entretien des appareils de chauffage souffre d'insuffisances flagrantes qui peuvent ètre néfastes quant à la sécurité de la collectivité. Dans un passé récent, et particulièrement pendant les premières années de l'indépendance, des ouvriers coimmunaux veillaient avant la rentrée scolaire à la vérification des appareils de chauffage à mazout ou à bois et surtout à leur entretien. Les conduite et cheminées étaient systématiquement ramonés pour prévenir d'éventuels incendies et autres aléas. Actuellement, les appareils de chauffage au gaz de ville sont prédominants et cela met fin aux sempiternelles corvées du mazout qu'il faut commander, entreposer et distribuer dans chaque salle de classe, notamment dans les écoles rurales. A l'orée de la période hivernale, ces appareils de chauffage ne sont soumis à aucun contrôle par des professionnels et de ce point des fuites de gaz et des défaillances techniques ne sont pas à écarter. Fréquemment, leur remise en marche est effectuée par le personnel enseignant ou des employés communaux inexpérimentés. Des accidents regrettables peuvent se produire à la suite de négligences impardonnables. De nombreux directeurs d'écoles primaires sont réellement démunis, voire désarmés car ils ne disposent pas de factotums ou d'employés qualifiés pour veiller à la mise en marche et l'entretien périodique des équipements spécifiques. Afin d'assurer le bon fonctionnement des écoles primaires et offrir une qualité de vie à nos enfants, les responsables locaux devront se pencher sur ce problème primordial.