Les relations sportives algéro-égyptiennes ont été marquées cette année par le dénouement de l'affaire Belloumi, en avril dernier, suite à l'initiative de nos confrères du Buteur et d'El Heddaf. Cette affaire qui a tenu en haleine l'opinion publique des deux pays pendant une vingtaine d'années, s'est enfin résolu lors d'une soirée de « réconciliation » émouvante, permettant à la légende algérienne des années 80, Lakhdar Belloumi, de retrouver sa liberté et son innocence. « L'affaire Belloumi », rappelons-le, avait éclaté après la rencontre du 16 novembre 1989, au Caire, opposant les sélections égyptienne et algérienne pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde 1990. Le médecin de la sélection égyptienne, le Dr Ahmed Abdelmouneim Ahmed Abdelhadi, avait déposé une plainte auprès de la justice après avoir été blessé à l'œil par des débris de verre, et avait accusé Belloumi d'en être l'auteur alors que ce dernier n'était pour rien dans cet incident. La justice égyptienne avait, quant à elle, saisi Interpol qui avait lancé un mandat d'arrêt international contre le joueur algérien. Les relations sportives algéro-égyptiennes ont été marquées cette année par le dénouement de l'affaire Belloumi, en avril dernier, suite à l'initiative de nos confrères du Buteur et d'El Heddaf. Cette affaire qui a tenu en haleine l'opinion publique des deux pays pendant une vingtaine d'années, s'est enfin résolu lors d'une soirée de « réconciliation » émouvante, permettant à la légende algérienne des années 80, Lakhdar Belloumi, de retrouver sa liberté et son innocence. « L'affaire Belloumi », rappelons-le, avait éclaté après la rencontre du 16 novembre 1989, au Caire, opposant les sélections égyptienne et algérienne pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde 1990. Le médecin de la sélection égyptienne, le Dr Ahmed Abdelmouneim Ahmed Abdelhadi, avait déposé une plainte auprès de la justice après avoir été blessé à l'œil par des débris de verre, et avait accusé Belloumi d'en être l'auteur alors que ce dernier n'était pour rien dans cet incident. La justice égyptienne avait, quant à elle, saisi Interpol qui avait lancé un mandat d'arrêt international contre le joueur algérien.