Il ressort de l'instruction du département de Karim Djoudi que ce nouveau référentiel comptable compatible avec les normes comptables internationales (IAS/IFRS) a introduit des changements très importants Il ressort de l'instruction du département de Karim Djoudi que ce nouveau référentiel comptable compatible avec les normes comptables internationales (IAS/IFRS) a introduit des changements très importants Le Plan comptable national (PNC) datant de 1975 a vécu. Il sera remplacé par le Système comptable financier qui sera effectif à partir du 1er janvier 2010, selon une instruction du ministère des Finances émise le 29 octobre dernier, en application de la loi n° 07-11 du 25 novembre 2007, dont l'entrée en vigueur a été reportée par l'ordonnance n° 08-02 portant loi de finances complémentaire pour l'année 2008. Il ressort de l'instruction du département de Karim Djoudi que ce nouveau référentiel comptable compatible avec les normes comptables internationales (IAS/IFRS) a introduit des changements très importants au niveau des définitions, des concepts, des règles d'évaluation, de comptabilisation et de la nature et du contenu des états financiers que devront produire les entités soumises à la tenue d'une comptabilité financière. Ces changements sont de nature à prendre en charge les besoins des investisseurs actuels ou potentiels qui disposeront d'une information financière sur les entreprises à la fois harmonisée, lisible et permettent la comparabilité et la prise de décision. En somme, le passage d'une économie planifiée à une économie de marché sera plus facile à opérer, une transparence pour les investisseurs intéressés par le marché algérien, une possibilité accrue pour les opérateurs algériens de pénétrer les marchés extérieurs et la possibilité de créer de nouveaux marchés financiers. Ce changement de référentiel se caractérise principalement par des innovations qui permettent d'une part, de rapprocher la pratique comptable de la pratique universelle à même de permettre à la comptabilité de fonctionner avec un socle conceptuel et des principes plus adaptés à l'économie moderne et de produire une information détaillée et d'autre part, par l'énonciation de principes et de règles devant guider la pratique comptable, de limiter les risques de manipulations volontaires ou involontaires des règles et facilitera la vérification des comptes. Tout un programme auquel doivent adhérer les entreprises du secteur public ou privé qui se sont distinguée, jusqu'à présent, du moins pour beaucoup d'entre elles par une tenue de comptabilité peu orthodoxe. Seront-elles prêtes à mettre en application ce nouveau référentiel, au délai fixé par le ministère des Finances qui a différé, une fois déjà, l'entrée en vigueur du système comptable financier. Tout porte à croire que les entreprise trainent la patte et certaines sources avancent qu'elles introduiront la demande de sursoir une nouvelle fois à la mise en application de ce référentiel comptable pour des raison faciles à deviner, notamment pour les entreprises du secteur privé, habituées à travailler avec des règles comptables floues et ambigües. Il semble que pour cette fois-ci le département de Karim Djoudi a pris les devants et qu'un niet catégorique sera opposé à toute demande de prorogation de délai. Avis aux opérateurs économiques surtout quand on sait que très peu d'entreprises pour ne pas dire aucune ne sont encore prêtes pour l'application dudit plan. Il est évident que les jours à venir feront sortir de leur silence le Conseil de l'ordre des experts comptables et autres organisations professionnelles Le Plan comptable national (PNC) datant de 1975 a vécu. Il sera remplacé par le Système comptable financier qui sera effectif à partir du 1er janvier 2010, selon une instruction du ministère des Finances émise le 29 octobre dernier, en application de la loi n° 07-11 du 25 novembre 2007, dont l'entrée en vigueur a été reportée par l'ordonnance n° 08-02 portant loi de finances complémentaire pour l'année 2008. Il ressort de l'instruction du département de Karim Djoudi que ce nouveau référentiel comptable compatible avec les normes comptables internationales (IAS/IFRS) a introduit des changements très importants au niveau des définitions, des concepts, des règles d'évaluation, de comptabilisation et de la nature et du contenu des états financiers que devront produire les entités soumises à la tenue d'une comptabilité financière. Ces changements sont de nature à prendre en charge les besoins des investisseurs actuels ou potentiels qui disposeront d'une information financière sur les entreprises à la fois harmonisée, lisible et permettent la comparabilité et la prise de décision. En somme, le passage d'une économie planifiée à une économie de marché sera plus facile à opérer, une transparence pour les investisseurs intéressés par le marché algérien, une possibilité accrue pour les opérateurs algériens de pénétrer les marchés extérieurs et la possibilité de créer de nouveaux marchés financiers. Ce changement de référentiel se caractérise principalement par des innovations qui permettent d'une part, de rapprocher la pratique comptable de la pratique universelle à même de permettre à la comptabilité de fonctionner avec un socle conceptuel et des principes plus adaptés à l'économie moderne et de produire une information détaillée et d'autre part, par l'énonciation de principes et de règles devant guider la pratique comptable, de limiter les risques de manipulations volontaires ou involontaires des règles et facilitera la vérification des comptes. Tout un programme auquel doivent adhérer les entreprises du secteur public ou privé qui se sont distinguée, jusqu'à présent, du moins pour beaucoup d'entre elles par une tenue de comptabilité peu orthodoxe. Seront-elles prêtes à mettre en application ce nouveau référentiel, au délai fixé par le ministère des Finances qui a différé, une fois déjà, l'entrée en vigueur du système comptable financier. Tout porte à croire que les entreprise trainent la patte et certaines sources avancent qu'elles introduiront la demande de sursoir une nouvelle fois à la mise en application de ce référentiel comptable pour des raison faciles à deviner, notamment pour les entreprises du secteur privé, habituées à travailler avec des règles comptables floues et ambigües. Il semble que pour cette fois-ci le département de Karim Djoudi a pris les devants et qu'un niet catégorique sera opposé à toute demande de prorogation de délai. Avis aux opérateurs économiques surtout quand on sait que très peu d'entreprises pour ne pas dire aucune ne sont encore prêtes pour l'application dudit plan. Il est évident que les jours à venir feront sortir de leur silence le Conseil de l'ordre des experts comptables et autres organisations professionnelles