C'est à 20h aujourd'hui que l'équipe nationale algérienne sera définitivemernt fixée sur sa participation ou non à la Coupe du monde de football 2010 qui aura lieu l'année prochaine en Afrique du Sud. C'est à 20h aujourd'hui que l'équipe nationale algérienne sera définitivemernt fixée sur sa participation ou non à la Coupe du monde de football 2010 qui aura lieu l'année prochaine en Afrique du Sud. Au coup de sifflet final de l'arbitre du match devant opposer au Cairo Stadium, à partir de 18h 30 les Verts aux Pharaons, le onze national, dans le cas d'un résultat positif que tous les Algériens espèrent, aura certainement réalisé un grand exploit. L'Algérie n'est, finalement, vingt-quatre ans après sa dernière participation à un Mondial, qu'à 90 minutes du rêve sud-africain. Un réve que caresse tout un peuple passionné de football et qui s'est mobilisé derrière son équipe favorite. Les Algériens, fous amoureux de football, replongent de nouveau dans la passion qu'ils vouent à l'EN. Une passion qu'ils ont finie, la mort dans l'âme, par perdre depuis maintenant presque vingt-quatre ans. Car la dernière présence algérienne parmi le Ghota du football mondial remonte à l'année 1986, où le Mexique a abrité la plus grande et la plus prestigieuse compétition internationale de football. Et, hasard de l'histoire, après cette longue période d'absence, c'est le même homme qui est derrière cette grande prouesse. Rabah Saâdane puisque c'est de lui qu'il s'agit, est décidement un homme providentiel pour l'équipe nationale. Il est, en effet, derrière les deux participations algériennes au Mondial. C'est ainsi lui qui a été à l'origine de la participation du onze national au Mondial espagnol de 1982. Avec les deux autres entraîneurs, que sont Rogov et Maouche, Saâdane faisait partie du staff technique qui dirigeait la barre technique des Verts lors des éliminatoires. Une fois la qualification assurée, les autorités sportives algériennes ont fait appel à la paire Rachid Mekhmoufi-Mahiedine Khalef, pour driver l'équipe nationale lors du Mondial. Mais il était dit que l'histoire de Rabah Saâdane avec le onze national n'allait pas en rester là, puisque, une fois encore, il fut à l'origine de la qualification au Mondial de Mexico en 1986, puisqu'il était seul à la barre technique durant les éliminatoires. La bande à Rabah Saâdane a pu arracher le billet qualificatif au détriment de la Tunisie, la Zambie et l'Angola. Mais contrairement à la fois précédente Saâdane n'a pas été «remercié» et c'est ainsi qu'il a dirigé l'EN lors de ce Mondial. Un Mondial au cours duquel l'équipe nationale n'a pu rééditer l'exploit réalisé, quatre ans auparavant, en Espagne où les coéquipiers de Lakhdar Belloumi se sont particulièrement illustrés en battant l'équipe allemande. Il faut dire que le contexte, marqué notamment par l'indiscipline de quelques joueurs, était fort particulier et Saâdane subissait de terribles pressions. Vingt-quatre ans après, les temps ont changé et le Cheik a gagné en maturité ... Il a réussi le pari de bâtir une équipe compétitive, certainement la meilleure depuis la fameuse époque des années 80, et qui a donné moult satisfactions aux Algériens. Formée presque exclusivement de joueurs algériens évoluant dans les differents championnats européens l'équipe nationale a réalisé un parcours sans faute jusqu'à présent, puisqu'elle n'a perdu aucun match durant les éliminatoires. Il reste encore quatre-vingt-dix minutes pour confirmer ce sursaut de l'EN et son retour au premier plan de la scène footballistique internationale. L'équipe algérienne a de forts atouts pour cela. C'est pourquoi le réve est permis. Et l'adage qui dit "Jamais deux sans trois" risque fort bien de se confirmer une fois encore au Cairo Stadium. Au coup de sifflet final de l'arbitre du match devant opposer au Cairo Stadium, à partir de 18h 30 les Verts aux Pharaons, le onze national, dans le cas d'un résultat positif que tous les Algériens espèrent, aura certainement réalisé un grand exploit. L'Algérie n'est, finalement, vingt-quatre ans après sa dernière participation à un Mondial, qu'à 90 minutes du rêve sud-africain. Un réve que caresse tout un peuple passionné de football et qui s'est mobilisé derrière son équipe favorite. Les Algériens, fous amoureux de football, replongent de nouveau dans la passion qu'ils vouent à l'EN. Une passion qu'ils ont finie, la mort dans l'âme, par perdre depuis maintenant presque vingt-quatre ans. Car la dernière présence algérienne parmi le Ghota du football mondial remonte à l'année 1986, où le Mexique a abrité la plus grande et la plus prestigieuse compétition internationale de football. Et, hasard de l'histoire, après cette longue période d'absence, c'est le même homme qui est derrière cette grande prouesse. Rabah Saâdane puisque c'est de lui qu'il s'agit, est décidement un homme providentiel pour l'équipe nationale. Il est, en effet, derrière les deux participations algériennes au Mondial. C'est ainsi lui qui a été à l'origine de la participation du onze national au Mondial espagnol de 1982. Avec les deux autres entraîneurs, que sont Rogov et Maouche, Saâdane faisait partie du staff technique qui dirigeait la barre technique des Verts lors des éliminatoires. Une fois la qualification assurée, les autorités sportives algériennes ont fait appel à la paire Rachid Mekhmoufi-Mahiedine Khalef, pour driver l'équipe nationale lors du Mondial. Mais il était dit que l'histoire de Rabah Saâdane avec le onze national n'allait pas en rester là, puisque, une fois encore, il fut à l'origine de la qualification au Mondial de Mexico en 1986, puisqu'il était seul à la barre technique durant les éliminatoires. La bande à Rabah Saâdane a pu arracher le billet qualificatif au détriment de la Tunisie, la Zambie et l'Angola. Mais contrairement à la fois précédente Saâdane n'a pas été «remercié» et c'est ainsi qu'il a dirigé l'EN lors de ce Mondial. Un Mondial au cours duquel l'équipe nationale n'a pu rééditer l'exploit réalisé, quatre ans auparavant, en Espagne où les coéquipiers de Lakhdar Belloumi se sont particulièrement illustrés en battant l'équipe allemande. Il faut dire que le contexte, marqué notamment par l'indiscipline de quelques joueurs, était fort particulier et Saâdane subissait de terribles pressions. Vingt-quatre ans après, les temps ont changé et le Cheik a gagné en maturité ... Il a réussi le pari de bâtir une équipe compétitive, certainement la meilleure depuis la fameuse époque des années 80, et qui a donné moult satisfactions aux Algériens. Formée presque exclusivement de joueurs algériens évoluant dans les differents championnats européens l'équipe nationale a réalisé un parcours sans faute jusqu'à présent, puisqu'elle n'a perdu aucun match durant les éliminatoires. Il reste encore quatre-vingt-dix minutes pour confirmer ce sursaut de l'EN et son retour au premier plan de la scène footballistique internationale. L'équipe algérienne a de forts atouts pour cela. C'est pourquoi le réve est permis. Et l'adage qui dit "Jamais deux sans trois" risque fort bien de se confirmer une fois encore au Cairo Stadium.