Depuis le 21 octobre dernier et durant un mois, la direction de la PME organise des portes ouvertes sur son secteur dans les différentes communes de la wilaya. Cette manifestation vise la vulgarisation de l'entité et de la finalité de la petite et moyenne entreprise. Selon les chiffres publiés, la PME représente 94% du tissu industriel à Constantine avec 8.237 entreprises, employant un peu plus de 38.000 personnes. Dans sa définition la plus élémentaire, la PME s'avère être toute entreprise qui assure une production ou un service. Elle se répartit sur trois catégories, à savoir la mico-entreprise dont les effectifs ne dépassent pas 9 employés, la petite entreprise qui compte, quant à elle, entre 10 et 29 recrues et, enfin, la moyenne qui comptabilise jusqu'à 250 personnes. Dans chacune de ces catégories, il existe une condition à observer à la lettre, celle du plafond financier de l'investissement. Le chiffre d'affaires global de la PME est fixé à 2 milliards de dinars, sinon, c'est le bilan annuel qui ne devra pas excéder les 500 millions de dinars. Si le secteur en question a connu des débuts timides, il s'est largement rattrapé durant ces dernières années. Aujourd'hui, il connaît un véritable boom, particulièrement durant le plan quinquennal 2005-2009, qui a atteint un taux de 83% en matière de création d'entreprises. Le secteur de l'emploi s'en est rapidement trouvé gagnant puisque la PME le dote, désormais, de 140% en main d'œuvre. Ces entités industrielles, et de l'avis des spécialistes, sont d'une grande fragilité structurelle et économique. Une PME peut disparaître avec la même facilité qui l'a vue naître. Chaque année, à travers tous les pays du monde, des centaines voire des milliers d'entre elles mettent la clé sous le paillasson en raison des difficultés financières qui seront parfois insurmontables face à l'ouverture économique mondiale. La concurrence qui en résulte affaibli les entreprises les moins préparées. Pour anticiper sur ce genre d'imprévus susceptibles de porter préjudice à ce secteur, l'Etat a élaboré plusieurs programmes de partenariat avec, notamment, l'Union européenne. En 2008, 33 PME à Constantine ont bénéficié d'un programme volontaire de qualification. Il s'agit du MEDA I d'un coût de 63 millions d'euros et dont l'apport de l'entreprise est de 20%. Il existe aussi un programme algéro-algérien où la formation est dispensée gratuitement. A partir de août 2009, le plan MEDA II est entré en action. Cet investissement évalué à 44 millions d'euros est destiné à l'enseignement et la préparation aux notions de la compétitivité. La petite et moyenne entreprise à Constantine active principalement dans trois secteurs. Il s'agit des Services qui représentent 36%, le BTP 23%, et les activités commerciales 21%. Celles qui opèrent dans l'industrie sont estimées à seulement de 6 à 8%. Depuis le 21 octobre dernier et durant un mois, la direction de la PME organise des portes ouvertes sur son secteur dans les différentes communes de la wilaya. Cette manifestation vise la vulgarisation de l'entité et de la finalité de la petite et moyenne entreprise. Selon les chiffres publiés, la PME représente 94% du tissu industriel à Constantine avec 8.237 entreprises, employant un peu plus de 38.000 personnes. Dans sa définition la plus élémentaire, la PME s'avère être toute entreprise qui assure une production ou un service. Elle se répartit sur trois catégories, à savoir la mico-entreprise dont les effectifs ne dépassent pas 9 employés, la petite entreprise qui compte, quant à elle, entre 10 et 29 recrues et, enfin, la moyenne qui comptabilise jusqu'à 250 personnes. Dans chacune de ces catégories, il existe une condition à observer à la lettre, celle du plafond financier de l'investissement. Le chiffre d'affaires global de la PME est fixé à 2 milliards de dinars, sinon, c'est le bilan annuel qui ne devra pas excéder les 500 millions de dinars. Si le secteur en question a connu des débuts timides, il s'est largement rattrapé durant ces dernières années. Aujourd'hui, il connaît un véritable boom, particulièrement durant le plan quinquennal 2005-2009, qui a atteint un taux de 83% en matière de création d'entreprises. Le secteur de l'emploi s'en est rapidement trouvé gagnant puisque la PME le dote, désormais, de 140% en main d'œuvre. Ces entités industrielles, et de l'avis des spécialistes, sont d'une grande fragilité structurelle et économique. Une PME peut disparaître avec la même facilité qui l'a vue naître. Chaque année, à travers tous les pays du monde, des centaines voire des milliers d'entre elles mettent la clé sous le paillasson en raison des difficultés financières qui seront parfois insurmontables face à l'ouverture économique mondiale. La concurrence qui en résulte affaibli les entreprises les moins préparées. Pour anticiper sur ce genre d'imprévus susceptibles de porter préjudice à ce secteur, l'Etat a élaboré plusieurs programmes de partenariat avec, notamment, l'Union européenne. En 2008, 33 PME à Constantine ont bénéficié d'un programme volontaire de qualification. Il s'agit du MEDA I d'un coût de 63 millions d'euros et dont l'apport de l'entreprise est de 20%. Il existe aussi un programme algéro-algérien où la formation est dispensée gratuitement. A partir de août 2009, le plan MEDA II est entré en action. Cet investissement évalué à 44 millions d'euros est destiné à l'enseignement et la préparation aux notions de la compétitivité. La petite et moyenne entreprise à Constantine active principalement dans trois secteurs. Il s'agit des Services qui représentent 36%, le BTP 23%, et les activités commerciales 21%. Celles qui opèrent dans l'industrie sont estimées à seulement de 6 à 8%.