Entouré de Tala Mahrez, Taaja, Tala Toulmoutt, Bousmahel et autres villages, Tala Amara, cet espace géographique où poussent les plus belles narcisses que l'on trouve nulle part ailleurs, par leur parfum, leur délicatesse et leur jaune prononcé, grandit d'année en année, jusqu'à prendre l'allure d'une ville moyenne. Malgré cela, ce village reste rattaché à la commune de Tizi-Rached. Entouré de Tala Mahrez, Taaja, Tala Toulmoutt, Bousmahel et autres villages, Tala Amara, cet espace géographique où poussent les plus belles narcisses que l'on trouve nulle part ailleurs, par leur parfum, leur délicatesse et leur jaune prononcé, grandit d'année en année, jusqu'à prendre l'allure d'une ville moyenne. Malgré cela, ce village reste rattaché à la commune de Tizi-Rached. Regroupées autour d'une mosquée sublime, les maisons de ce village offrent au regard des curieux, à partir des hauteurs d'Ighil Gueffri, une mosaïque de toitures et/ou de terrasses qui font la fierté des « Tala-Amariens ». Cette sensation de modernité transparaît dans le choix architectural des bâtisses, qui font croire qu'il n'y a plus de maisons traditionnelles dans ce village. Le commerce est une donnée palpable, tandis que l'agriculture reste, plus au moins dominante, d'autant que le sol est propice à toute sorte de culture. D'une hauteur de près de trois cents mètres, Tala Amara domine la vallée du Sébaou, territoire historique des Amraoua. De l'ancien champ d'aviation militaire de la soldatesque française, il ne reste aucune trace, puisque l'ENIEM trône dans sa superbe périphérie et crée la richesse. L'œil tenace ne peut pas rater les couleurs rouge et verte des orangeraies avoisinantes Protégé par Sidi Hend Asaklaoui, le saint patron de la région, Tala Amara a donné à l'Algérie Yefsah Smaïl, ce martyr de la hordes terroriste, un des plus beaux sourires du champ médiatique algérien. Il n'a pas été épargné par la folie sanguinaire des «faiseurs d'éternité». Parti trop tôt, Smaïl -nâtif des années soixante-deux- repose, désormais, à côté des siens, à Taquourabt, l'endroit le plus haut de Tala Amara. A l'image du millier, et plus, de villages kabyles, Tala Amara est l'une des premières guirlandes qui s'illuminent la nuit tombée, selon l'heureuse expression du poète Lounis Aït-Mengeullet. Tant il est vrai que de l'Oued Aïssi jusqu'aux sommets altiers du Djurdjura, mille quatre cents villages forment un assortiment de bougies flamboyantes, quand le ciel offre sa constellation d'étoiles. Puis à Tiârbyine, Khalti Aldjia -un sourire maternel puissance «n»- vous accueille les bras ouverts et la meïda fumante d'un couscous inénarrable. C'est tout à fait la porte de Tala Amara qui s'ouvre devant le visiteur en veine de beauté. Regroupées autour d'une mosquée sublime, les maisons de ce village offrent au regard des curieux, à partir des hauteurs d'Ighil Gueffri, une mosaïque de toitures et/ou de terrasses qui font la fierté des « Tala-Amariens ». Cette sensation de modernité transparaît dans le choix architectural des bâtisses, qui font croire qu'il n'y a plus de maisons traditionnelles dans ce village. Le commerce est une donnée palpable, tandis que l'agriculture reste, plus au moins dominante, d'autant que le sol est propice à toute sorte de culture. D'une hauteur de près de trois cents mètres, Tala Amara domine la vallée du Sébaou, territoire historique des Amraoua. De l'ancien champ d'aviation militaire de la soldatesque française, il ne reste aucune trace, puisque l'ENIEM trône dans sa superbe périphérie et crée la richesse. L'œil tenace ne peut pas rater les couleurs rouge et verte des orangeraies avoisinantes Protégé par Sidi Hend Asaklaoui, le saint patron de la région, Tala Amara a donné à l'Algérie Yefsah Smaïl, ce martyr de la hordes terroriste, un des plus beaux sourires du champ médiatique algérien. Il n'a pas été épargné par la folie sanguinaire des «faiseurs d'éternité». Parti trop tôt, Smaïl -nâtif des années soixante-deux- repose, désormais, à côté des siens, à Taquourabt, l'endroit le plus haut de Tala Amara. A l'image du millier, et plus, de villages kabyles, Tala Amara est l'une des premières guirlandes qui s'illuminent la nuit tombée, selon l'heureuse expression du poète Lounis Aït-Mengeullet. Tant il est vrai que de l'Oued Aïssi jusqu'aux sommets altiers du Djurdjura, mille quatre cents villages forment un assortiment de bougies flamboyantes, quand le ciel offre sa constellation d'étoiles. Puis à Tiârbyine, Khalti Aldjia -un sourire maternel puissance «n»- vous accueille les bras ouverts et la meïda fumante d'un couscous inénarrable. C'est tout à fait la porte de Tala Amara qui s'ouvre devant le visiteur en veine de beauté.