Comme annoncé, le ciné club Chrysalide a fait sa rentrée des salles à la filmathèque Zinet au mois d'Octobre. Ce début d'année s'annonce très riche pour les cinéphiles puisque l'association revoit ses programmations sous forme de cycles thématiques. Comme annoncé, le ciné club Chrysalide a fait sa rentrée des salles à la filmathèque Zinet au mois d'Octobre. Ce début d'année s'annonce très riche pour les cinéphiles puisque l'association revoit ses programmations sous forme de cycles thématiques. Le premier cycle de cette saison cinématographique s'intitule "Road movie". Les mordus du grand écran reviennent avec un cycle à couper le souffle. "Cycle Horreur Espagnol", tel est le thème du ciné club. Un thème assez surprenant parce qu'on s'imagine mal que le cinéma ibérique puisse séduire et envahir les écrans. Et à la surprise générale, on découvre que le cinéma espagnol se porte comme un charme; depuis bientôt dix ans, il connaît un nouveau souffle qui le propulse dans les hautes sphères internationales du septième art. Pour la première séance, les organisateurs portent leur choix sur le film "L'échine du diable" (El Espinazo del diablo), film sorti le 8 Mai 2002 en salle et réalisé par Guillermo Del Toro. Un grand magicien dont les réalisations font oublier qu'il n'a pas vu le jour dans un studio hollywoodien mais à Guadalajara au Mexique. A lui seul, ce film est la preuve du génie espagnol jusque là inconnu en matière d'épouvante et de mystère. Après tout les succès de Guillermo, ce film était beaucoup plus une affaire personnelle puisqu'inspiré de son vécu et totalement tourné en Espagne. Il eut aussi le coup de main des frères Agustín et Pedro Almodovar qui ont permis à Guillermo Del Toro de tourner son film, via leur société de production, El Deseo. Pour le deuxième week-end d'épouvante espagnole, Chrysalide a projeté le 20 Novembre, le film "L'orphelinat" (El Orfanato) du réalisateur et scénariste catalan, Juan Antonio Bayona. Un jeune talent qui a déjà réalisé sept longs métrages en huit ans. Sorti en Mars 2008 en salle, ce film a créé le buzz auprès des cinéphiles et des critiques. Il surprend par son histoire mais surtout par le fait d'être un film fantastique d'épouvante, entouré de mystère et de suspense qui tiennent le spectateur en haleine durant 1h46 et pratiquement sans hémoglobines, ce qui est très important. Encore prévu dans le même cycle, "Abandonnée" (Los Abandonados) de Nacho Cerda et aussi "Rec" de Paco Plaza et Jaume Balagueró. Le premier est une angoissante histoire de malédiction qui se déroule en Russie, et le second est une épouvante vu par l'objectif de la caméra d'un journaliste. Ainsi, le cinéclub Chrysalide peut être fier d'avoir fait découvrir ces chefs-d'œuvre du septième art aux cinéphiles d'Alger avant que ces bobines, qui n'arriveront jamais chez nous, ne soient déjà archivées en Europe. Le premier cycle de cette saison cinématographique s'intitule "Road movie". Les mordus du grand écran reviennent avec un cycle à couper le souffle. "Cycle Horreur Espagnol", tel est le thème du ciné club. Un thème assez surprenant parce qu'on s'imagine mal que le cinéma ibérique puisse séduire et envahir les écrans. Et à la surprise générale, on découvre que le cinéma espagnol se porte comme un charme; depuis bientôt dix ans, il connaît un nouveau souffle qui le propulse dans les hautes sphères internationales du septième art. Pour la première séance, les organisateurs portent leur choix sur le film "L'échine du diable" (El Espinazo del diablo), film sorti le 8 Mai 2002 en salle et réalisé par Guillermo Del Toro. Un grand magicien dont les réalisations font oublier qu'il n'a pas vu le jour dans un studio hollywoodien mais à Guadalajara au Mexique. A lui seul, ce film est la preuve du génie espagnol jusque là inconnu en matière d'épouvante et de mystère. Après tout les succès de Guillermo, ce film était beaucoup plus une affaire personnelle puisqu'inspiré de son vécu et totalement tourné en Espagne. Il eut aussi le coup de main des frères Agustín et Pedro Almodovar qui ont permis à Guillermo Del Toro de tourner son film, via leur société de production, El Deseo. Pour le deuxième week-end d'épouvante espagnole, Chrysalide a projeté le 20 Novembre, le film "L'orphelinat" (El Orfanato) du réalisateur et scénariste catalan, Juan Antonio Bayona. Un jeune talent qui a déjà réalisé sept longs métrages en huit ans. Sorti en Mars 2008 en salle, ce film a créé le buzz auprès des cinéphiles et des critiques. Il surprend par son histoire mais surtout par le fait d'être un film fantastique d'épouvante, entouré de mystère et de suspense qui tiennent le spectateur en haleine durant 1h46 et pratiquement sans hémoglobines, ce qui est très important. Encore prévu dans le même cycle, "Abandonnée" (Los Abandonados) de Nacho Cerda et aussi "Rec" de Paco Plaza et Jaume Balagueró. Le premier est une angoissante histoire de malédiction qui se déroule en Russie, et le second est une épouvante vu par l'objectif de la caméra d'un journaliste. Ainsi, le cinéclub Chrysalide peut être fier d'avoir fait découvrir ces chefs-d'œuvre du septième art aux cinéphiles d'Alger avant que ces bobines, qui n'arriveront jamais chez nous, ne soient déjà archivées en Europe.