Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural a, exprimé la disponibilité de son département à mettre à la disposition des professionnels de la filière lait «tous les moyens nécessaires à même d'améliorer la production, diminuer graduellement la facture alimentaire et faire face ainsi aux fluctuations du prix de la poudre du lait sur le marché international». Selon le chargé de communication du ministère de l'Agriculture, le Dr Rachid Benaïssa, qui a réuni au siège de son ministère les professionnels de la filière, à savoir la délégation de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), le directeur général de l'Office national Interprofessionnel du lait (ONIL) ainsi que des cadres du ministère de l'Agriculture, a mis l'accent notamment sur la nécessaire réorientation effective du fonctionnement des laiteries en privilégiant la collecte de lait cru, pour développer ainsi la production locale et la favoriser. Le Dr Benaïssa a profité de l'occasion pour rappeler les mesures décidées par la tutelle, telles l'instauration de mesures d'aide aux éleveurs, la réorientation effective du fonctionnement des laiteries en privilégiant la collecte de lait cru et sa transformation en tant que lait de consommation, la validation des différentes conventions, constituent les fondements essentiels d'une stratégie destinée à améliorer les performances de production et de collecte et d'assurer la traçabilité de la production du lait cru. A propos de cette rencontre, le chargé de communication du ministère de l'Agriculture, Djamel Barchiche, a indiqué qu'elle «a permis de passer en revue les mesures prises par la tutelle pour le développement de la filière laitière en Algérie ainsi que les propositions des acteurs y activant». Et d'ajouter qu'elle est venue dans le but de consolider et réaliser les objectifs fixés dans le cadre de la politique de renouveau agricole et rural, projetée dans la perspective de mise en œuvre du programme national de développement économique 2010-2014. Une politique qui vise à améliorer la sécurité alimentaire de l'Algérie. De même que la rencontre a permis aux différents acteurs de la filière de s'imprégner de la situation de la filière et de dégager un plan de travail portant sur l'évaluation des relations conventionnelles qui lient l'Onil avec l'ensemble des professionnels de la filière. Les résultats de cette évaluation seront portés à la connaissance du Comité interprofessionnel du lait, seul cadre institutionnel habilité à délibérer et à proposer ainsi des solutions sujettes aux propositions exprimées. La délégation de la fédération de la Cipa a, de son côté, fait part de son attachement à l'application du programme national de développement laitier, inscrit dans le cadre de la politique de renouveau agricole et rural, relatif, notamment, à l'amélioration de la production nationale du lait. Elle a également fait état de leur accord à procéder, vers la fin de l'année en cours, à une évaluation exhaustive des conventions qui lient, d'une part l'Onil et les laiteries et d'autre part, les laiteries et les éleveurs/collecteurs. Enfin, il est utile de noter à cet effet que la mise en place de l'Office national interprofessionnel du lait comme instrument de régulation a permis de stabiliser le marché et assurer l'organisation de l'ensemble des acteurs activant dans la filière lait à même de les professionnaliser. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural a, exprimé la disponibilité de son département à mettre à la disposition des professionnels de la filière lait «tous les moyens nécessaires à même d'améliorer la production, diminuer graduellement la facture alimentaire et faire face ainsi aux fluctuations du prix de la poudre du lait sur le marché international». Selon le chargé de communication du ministère de l'Agriculture, le Dr Rachid Benaïssa, qui a réuni au siège de son ministère les professionnels de la filière, à savoir la délégation de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), le directeur général de l'Office national Interprofessionnel du lait (ONIL) ainsi que des cadres du ministère de l'Agriculture, a mis l'accent notamment sur la nécessaire réorientation effective du fonctionnement des laiteries en privilégiant la collecte de lait cru, pour développer ainsi la production locale et la favoriser. Le Dr Benaïssa a profité de l'occasion pour rappeler les mesures décidées par la tutelle, telles l'instauration de mesures d'aide aux éleveurs, la réorientation effective du fonctionnement des laiteries en privilégiant la collecte de lait cru et sa transformation en tant que lait de consommation, la validation des différentes conventions, constituent les fondements essentiels d'une stratégie destinée à améliorer les performances de production et de collecte et d'assurer la traçabilité de la production du lait cru. A propos de cette rencontre, le chargé de communication du ministère de l'Agriculture, Djamel Barchiche, a indiqué qu'elle «a permis de passer en revue les mesures prises par la tutelle pour le développement de la filière laitière en Algérie ainsi que les propositions des acteurs y activant». Et d'ajouter qu'elle est venue dans le but de consolider et réaliser les objectifs fixés dans le cadre de la politique de renouveau agricole et rural, projetée dans la perspective de mise en œuvre du programme national de développement économique 2010-2014. Une politique qui vise à améliorer la sécurité alimentaire de l'Algérie. De même que la rencontre a permis aux différents acteurs de la filière de s'imprégner de la situation de la filière et de dégager un plan de travail portant sur l'évaluation des relations conventionnelles qui lient l'Onil avec l'ensemble des professionnels de la filière. Les résultats de cette évaluation seront portés à la connaissance du Comité interprofessionnel du lait, seul cadre institutionnel habilité à délibérer et à proposer ainsi des solutions sujettes aux propositions exprimées. La délégation de la fédération de la Cipa a, de son côté, fait part de son attachement à l'application du programme national de développement laitier, inscrit dans le cadre de la politique de renouveau agricole et rural, relatif, notamment, à l'amélioration de la production nationale du lait. Elle a également fait état de leur accord à procéder, vers la fin de l'année en cours, à une évaluation exhaustive des conventions qui lient, d'une part l'Onil et les laiteries et d'autre part, les laiteries et les éleveurs/collecteurs. Enfin, il est utile de noter à cet effet que la mise en place de l'Office national interprofessionnel du lait comme instrument de régulation a permis de stabiliser le marché et assurer l'organisation de l'ensemble des acteurs activant dans la filière lait à même de les professionnaliser.