La Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) vient d'indiquer que des entreprises françaises, spécialisées dans l'importation de fruits et légumes, ont formulé le souhait de rencontrer des entrepreneurs algériens afin d'établir des relations de partenariat dans le but essentiel d'acheter des produits agricoles algériens frais et des produits agroalimentaires. La Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) vient d'indiquer que des entreprises françaises, spécialisées dans l'importation de fruits et légumes, ont formulé le souhait de rencontrer des entrepreneurs algériens afin d'établir des relations de partenariat dans le but essentiel d'acheter des produits agricoles algériens frais et des produits agroalimentaires. Ainsi, la CACI a souligné «qu'en vue de l'établissement d'un partenariat, une société française cherche à contacter des exportateurs algériens de produits agricoles en grande quantité, notamment des coopératives et grands exportateurs». Selon cette institution, les potentiels exportateurs nationaux, tant publics que privés, doivent réunir certaines conditions, à savoir répondre aux standards internationaux en matière de normes et de qualité, notamment en termes de conditionnement et d'emballage. Selon la CACI, «l'intérêt est porté essentiellement sur les produits du terroir, tels que les agrumes, la tomate, la pomme de terre, la courgette, les haricots verts et le melon». Par ailleurs, d'autres formes de partenariat et de joint-venture sont sollicitées par des entreprises françaises. Il s'agit notamment de partenariats de distribution et des contrats d'exclusivité pour permettre à des exportateurs algériens de vendre des produits agroalimentaires ‘'made in Algeria'' dans un marché européen friand de biens de consommation et de denrées alimentaires, sachant que la communauté algérienne vivant en Europe est estimée à plus de trois millions de personnes (plus de 1 million en France). Les entreprises algériennes désireuses d'exporter leurs produits d'épicerie, des boissons, des produits de confiserie, des conserves et de la biscuiterie, peuvent prendre contact avec la CACI pour présenter leurs offres. Des entreprises versées dans l'agroalimentaire, tels que les semouleries industrielles de la Mitidja (SIM), le légendaire fabriquant de boissons gazeuses Hamoud Boualem, et bien d'autres entrepreneurs peuvent aisément commercialiser leurs produits sur le marché euro-méditerranéen. Le consortium algéro-français pour la promotion des exportations algériennes de produits agricoles frais pourrait contribuer grandement au développement des exportations hors hydrocarbures. Rappelons que le capital de ce consortium est détenu à hauteur de 60% par l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) et 40% par la Société française SEA Invest. «Ce consortium, constitué de trois filiales, deux implantées en Algérie et une en France, prend en charge toutes les opérations en amont et en aval des exportations, et ce, depuis la collecte des produits auprès des agriculteurs jusqu'à leur placement sur le marché étranger», selon le directeur général de l'Algex, Mohamed Beninni, également président de ce consortium. Ce consortium se charge de diversifier et d'accroître le volume des produits agricoles algériens exportés vers l'Hexagone. A. A. Ainsi, la CACI a souligné «qu'en vue de l'établissement d'un partenariat, une société française cherche à contacter des exportateurs algériens de produits agricoles en grande quantité, notamment des coopératives et grands exportateurs». Selon cette institution, les potentiels exportateurs nationaux, tant publics que privés, doivent réunir certaines conditions, à savoir répondre aux standards internationaux en matière de normes et de qualité, notamment en termes de conditionnement et d'emballage. Selon la CACI, «l'intérêt est porté essentiellement sur les produits du terroir, tels que les agrumes, la tomate, la pomme de terre, la courgette, les haricots verts et le melon». Par ailleurs, d'autres formes de partenariat et de joint-venture sont sollicitées par des entreprises françaises. Il s'agit notamment de partenariats de distribution et des contrats d'exclusivité pour permettre à des exportateurs algériens de vendre des produits agroalimentaires ‘'made in Algeria'' dans un marché européen friand de biens de consommation et de denrées alimentaires, sachant que la communauté algérienne vivant en Europe est estimée à plus de trois millions de personnes (plus de 1 million en France). Les entreprises algériennes désireuses d'exporter leurs produits d'épicerie, des boissons, des produits de confiserie, des conserves et de la biscuiterie, peuvent prendre contact avec la CACI pour présenter leurs offres. Des entreprises versées dans l'agroalimentaire, tels que les semouleries industrielles de la Mitidja (SIM), le légendaire fabriquant de boissons gazeuses Hamoud Boualem, et bien d'autres entrepreneurs peuvent aisément commercialiser leurs produits sur le marché euro-méditerranéen. Le consortium algéro-français pour la promotion des exportations algériennes de produits agricoles frais pourrait contribuer grandement au développement des exportations hors hydrocarbures. Rappelons que le capital de ce consortium est détenu à hauteur de 60% par l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) et 40% par la Société française SEA Invest. «Ce consortium, constitué de trois filiales, deux implantées en Algérie et une en France, prend en charge toutes les opérations en amont et en aval des exportations, et ce, depuis la collecte des produits auprès des agriculteurs jusqu'à leur placement sur le marché étranger», selon le directeur général de l'Algex, Mohamed Beninni, également président de ce consortium. Ce consortium se charge de diversifier et d'accroître le volume des produits agricoles algériens exportés vers l'Hexagone. A. A.