Plus de 40 accords et lettres d'intention ont été signés vendredi dernier à Paris entre des entreprises chinoises et françaises, à l'occasion d'un forum auquel ont participé une importante délégation composée de plus de 300 représentants de 140 entreprises chinoises et une centaine d'hommes d'affaires français. Les accords et les lettres d'intention concernent notamment le secteur nucléaire, l'énergie, le transport et l'aéronautique. Le forum commercial et économique s'est déroulé en présence du ministre chinois du Commerce Chen Deming, de la ministre française de l'Economie Christine Lagarde, de la secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur Anne-Maire Idrac et de l'ambassadeur de la Chine en France Kong Quan. La secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, n'a pas été en mesure de donner le montant global de ces "contrats industriels et accords institutionnels". "Aujourd'hui, on ne peut pas parler de montant. Certains contrats étaient déjà préparés depuis longtemps, d'autres sont à des stades de maturité différents", a-t-elle expliqué lors d'une conférence de presse. Si la Chine est le 4e fournisseur de la France et son 9e client, ses investissements directs chinois restent encore très faibles. Ils étaient évalués à 303 millions d'euros en 2008 par la Banque de France. Beaucoup d'investissements de Chine continentale transitent toutefois par Hong Kong (1,5 milliard d'euros environ). Le commerce extérieur est également un gros enjeu pour la Chine, a souligné Chen Deming. Si Pékin table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) chinois de 8% cette année malgré la crise, son économie est en effet affectée par le ralentissement de son commerce extérieur. La demande intérieure (investissements et consommation) devrait contribuer à la croissance chinoise à hauteur de 12 points de PIB, mais son commerce extérieur, qui s'est fortement contracté ces derniers mois sous l'effet de la chute de la demande mondiale, lui fera perdre l'équivalent de 3 à 4 points, a indiqué le ministre chinois. Le ministre chinois a déclaré pour sa part que sur fond de crise financière mondiale qui n'est pas encore terminée, les rencontres entre les entreprises des deux pays a une grande signification pour approfondir la coopération sino-française et transformer les défis en opportunités. Plus de 40 accords et lettres d'intention ont été signés vendredi dernier à Paris entre des entreprises chinoises et françaises, à l'occasion d'un forum auquel ont participé une importante délégation composée de plus de 300 représentants de 140 entreprises chinoises et une centaine d'hommes d'affaires français. Les accords et les lettres d'intention concernent notamment le secteur nucléaire, l'énergie, le transport et l'aéronautique. Le forum commercial et économique s'est déroulé en présence du ministre chinois du Commerce Chen Deming, de la ministre française de l'Economie Christine Lagarde, de la secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur Anne-Maire Idrac et de l'ambassadeur de la Chine en France Kong Quan. La secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, n'a pas été en mesure de donner le montant global de ces "contrats industriels et accords institutionnels". "Aujourd'hui, on ne peut pas parler de montant. Certains contrats étaient déjà préparés depuis longtemps, d'autres sont à des stades de maturité différents", a-t-elle expliqué lors d'une conférence de presse. Si la Chine est le 4e fournisseur de la France et son 9e client, ses investissements directs chinois restent encore très faibles. Ils étaient évalués à 303 millions d'euros en 2008 par la Banque de France. Beaucoup d'investissements de Chine continentale transitent toutefois par Hong Kong (1,5 milliard d'euros environ). Le commerce extérieur est également un gros enjeu pour la Chine, a souligné Chen Deming. Si Pékin table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) chinois de 8% cette année malgré la crise, son économie est en effet affectée par le ralentissement de son commerce extérieur. La demande intérieure (investissements et consommation) devrait contribuer à la croissance chinoise à hauteur de 12 points de PIB, mais son commerce extérieur, qui s'est fortement contracté ces derniers mois sous l'effet de la chute de la demande mondiale, lui fera perdre l'équivalent de 3 à 4 points, a indiqué le ministre chinois. Le ministre chinois a déclaré pour sa part que sur fond de crise financière mondiale qui n'est pas encore terminée, les rencontres entre les entreprises des deux pays a une grande signification pour approfondir la coopération sino-française et transformer les défis en opportunités.