La zone industrielle de Bordj Bou-Arréridj a été créée en 1979 pour répondre aux besoins du deuxième plan quinquennal, conçue et ensuite aménagée de manière à recevoir des unités industrielles de grande envergure. Aujourd'hui, cette zone s'étend sur une superficie de 380 hectares, extensibles à 500 vers mechta Fatima, et compte 100 entreprises nationales et étrangères. Selon les prévisions d'emploi communiquées dans les demandes CALPI/CALPIREF, le nombre de postes créés est de l'ordre de 4.463, répartis sur les secteurs de l'électronique, l'agro-alimentaire, les matériaux de construction, la sidérurgie, le textile… D'autres entreprises en cours de réalisation génèreront, une fois opérationnelles, 1.655 nouveaux postes de travail, selon le directeur de la zone, L. Baâbouche. Le port sec de Bordj Bou-Arréridj, qui fait l'extension du port de Béjaïa, est une autre infrastructure économique susceptible de répondre à une bonne partie des demandes d'emploi dans la région. Il comprend trois phases : la plateforme des contenaires prévue à Tixter, la logistique à Mechta Fatima et la maintenance à El-Euch. Et compte tenu de la très forte demande de terrains à usage industriel formulée par des opérateurs économiques privés, la zone industrielle de Bordj Bou- Arréridj a connu cinq opérations de densification des lots non attribués, dont le morcellement d'une entreprise publique dissoute, cédé au collectif des travailleurs. Ainsi, le nombre de lots est passé de 20 à 161 parcelles dont une non attribuée. Et, enfin, dans le cadre du programme de réhabilitation des zones industrielles initié par les pouvoirs publics, la zone industrielle de Bordj Bou- Arréridj a bénéficié de deux opérations en 2001 et 2004. La tranche de 2001, d'un montant de 16.333.200 DA, a permis de reprendre les voiries de deux densifications et la réfection du réseau de l'éclairage public et du canal de drainage des eaux pluviales. Les opérations initiées dans la tranche de 2004, d'un montant de 15.588.351.972 DA, sont destinées à la réalisation de la clôture s'étendant sur 1,5 km, à la reprise des voiries de l'artère principale, à la reprise du réseau d'assainissement des eaux usées, à l'extension du réseau de l'éclairage public et du réseau d'AEP. La zone industrielle de Bordj Bou-Arréridj a été créée en 1979 pour répondre aux besoins du deuxième plan quinquennal, conçue et ensuite aménagée de manière à recevoir des unités industrielles de grande envergure. Aujourd'hui, cette zone s'étend sur une superficie de 380 hectares, extensibles à 500 vers mechta Fatima, et compte 100 entreprises nationales et étrangères. Selon les prévisions d'emploi communiquées dans les demandes CALPI/CALPIREF, le nombre de postes créés est de l'ordre de 4.463, répartis sur les secteurs de l'électronique, l'agro-alimentaire, les matériaux de construction, la sidérurgie, le textile… D'autres entreprises en cours de réalisation génèreront, une fois opérationnelles, 1.655 nouveaux postes de travail, selon le directeur de la zone, L. Baâbouche. Le port sec de Bordj Bou-Arréridj, qui fait l'extension du port de Béjaïa, est une autre infrastructure économique susceptible de répondre à une bonne partie des demandes d'emploi dans la région. Il comprend trois phases : la plateforme des contenaires prévue à Tixter, la logistique à Mechta Fatima et la maintenance à El-Euch. Et compte tenu de la très forte demande de terrains à usage industriel formulée par des opérateurs économiques privés, la zone industrielle de Bordj Bou- Arréridj a connu cinq opérations de densification des lots non attribués, dont le morcellement d'une entreprise publique dissoute, cédé au collectif des travailleurs. Ainsi, le nombre de lots est passé de 20 à 161 parcelles dont une non attribuée. Et, enfin, dans le cadre du programme de réhabilitation des zones industrielles initié par les pouvoirs publics, la zone industrielle de Bordj Bou- Arréridj a bénéficié de deux opérations en 2001 et 2004. La tranche de 2001, d'un montant de 16.333.200 DA, a permis de reprendre les voiries de deux densifications et la réfection du réseau de l'éclairage public et du canal de drainage des eaux pluviales. Les opérations initiées dans la tranche de 2004, d'un montant de 15.588.351.972 DA, sont destinées à la réalisation de la clôture s'étendant sur 1,5 km, à la reprise des voiries de l'artère principale, à la reprise du réseau d'assainissement des eaux usées, à l'extension du réseau de l'éclairage public et du réseau d'AEP.