Deux entraîneurs cubains spécialistes des épreuves du sprint/haies et des lancers viennent d'être recrutés par la Fédération algérienne d'athlétisme (FAA). Ils rejoignent un autre entraîneur cubain qui travaille depuis trois années en Algérie. Les nouveaux techniciens cubains accompagnés d'un physiothérapeute vont exercer pour la première fois en dehors de leur pays. A présent, il reste à savoir quelle sera la mission de ces nouveaux coachs. Depuis leur arrivée à Alger, les Cubains sont déjà paumés. Ils sont en face de la réalité du terrain. Car, non seulement il n' y a plus d'athlètes algériens « performants » dans le sprint/haies ou dans les lancers, mais le peu qui existe est déjà pris en charge par des entraîneurs algériens. Traditionnellement, les épreuves du sprint/haies ou des lancers ont été de tout temps encadrés par des entraîneurs locaux. A l'image de Mohamed Louahla, Ali Hakoumi, Brahim Mekki, Saïd Lounas (actuellement en France) qui permirent à l'Algérie de se hisser sur le plan mondial notamment dans les relais du 4x400m (13e aux Mondiaux de Stuttgart 93, médaille d'or historique aux JM de Bari 97 et aux Jeux arabes de Beyrouth 97). Sans oublier Ali Bakhta (ancien recordman d'Algérie du 200m et 400m) qui avait atteint les quarts de finale du 200 m aux JO de Los Angeles (1984). Depuis ce bon vieux temps, les courses de vitesse/haies ont totalement sombré. L'Algérie n'est plus représentée dans ces disciplines à l'occasion des compétitions internationales. La récente retraite du véritable sprinteur Malik Louahla, double recordman d'Algérie du 200m (20''62) et du 400m plat (45''13), qui a terminé 9e aux Mondiaux d'Edmonton 2001, sera difficile à combler. Le problème qui se pose actuellement est la déperdition des athlètes. Deux entraîneurs cubains spécialistes des épreuves du sprint/haies et des lancers viennent d'être recrutés par la Fédération algérienne d'athlétisme (FAA). Ils rejoignent un autre entraîneur cubain qui travaille depuis trois années en Algérie. Les nouveaux techniciens cubains accompagnés d'un physiothérapeute vont exercer pour la première fois en dehors de leur pays. A présent, il reste à savoir quelle sera la mission de ces nouveaux coachs. Depuis leur arrivée à Alger, les Cubains sont déjà paumés. Ils sont en face de la réalité du terrain. Car, non seulement il n' y a plus d'athlètes algériens « performants » dans le sprint/haies ou dans les lancers, mais le peu qui existe est déjà pris en charge par des entraîneurs algériens. Traditionnellement, les épreuves du sprint/haies ou des lancers ont été de tout temps encadrés par des entraîneurs locaux. A l'image de Mohamed Louahla, Ali Hakoumi, Brahim Mekki, Saïd Lounas (actuellement en France) qui permirent à l'Algérie de se hisser sur le plan mondial notamment dans les relais du 4x400m (13e aux Mondiaux de Stuttgart 93, médaille d'or historique aux JM de Bari 97 et aux Jeux arabes de Beyrouth 97). Sans oublier Ali Bakhta (ancien recordman d'Algérie du 200m et 400m) qui avait atteint les quarts de finale du 200 m aux JO de Los Angeles (1984). Depuis ce bon vieux temps, les courses de vitesse/haies ont totalement sombré. L'Algérie n'est plus représentée dans ces disciplines à l'occasion des compétitions internationales. La récente retraite du véritable sprinteur Malik Louahla, double recordman d'Algérie du 200m (20''62) et du 400m plat (45''13), qui a terminé 9e aux Mondiaux d'Edmonton 2001, sera difficile à combler. Le problème qui se pose actuellement est la déperdition des athlètes.