Le département des ressources en eau, de Abdelmalek Sellal, enchaîne les partenariats avec les professionnels étrangers de l'eau dans le but de préserver les richesses hydrauliques du pays, d'autant plus que l'accès à l'eau est de plus en plus difficile à cause des changements climatiques, du fait de l'industrialisation et de la croissance démographique. Ainsi, selon un communiqué du ministère des Ressources en eau, parvenu hier à notre rédaction, M. Sellal s'est entretenu hier au siège de son département avec l'ambassadeur du Japon à Alger, M. Takeshi Kamitani, sur la coopération bilatérale dans le domaine hydraulique afin d'examiner l'état de la coopération entre les deux pays ainsi que les moyens à mettre en œuvre pour la renforcer davantage. Le ministre a exprimé, poursuit le communiqué, la volonté du gouvernement à renforcer les possibilités de rapprochement des entreprises publiques des deux pays en vue d'instaurer un partenariat mutuellement bénéfique. A cette occasion, les deux parties ont souligné l'importance de donner un second souffle à la coopération bilatérale entre les deux pays, en développant leurs relations à travers l'intensification des échanges d'expériences, d'experts et d'information dans le domaine de la réalisation et de la maintenance des ouvrages hydrauliques. Le Japon, signale-t-on, est l'un des pays qui détient une expérience et un savoir-faire avérés dans le domaine de la préservation des ressources en eau. Il faut dire, à ce titre, qu'un intérêt particulier a été donné au secteur hydraulique. Les successions d'accords de partenariats en témoignent, notamment un protocole signé avec les Cubains en juin dernier, suivi d'un accord avec les Allemands au mois de juillet dernier, portant tous sur le transfert du savoir-faire et de la technologie ainsi que la réalisation de grands projets d'investissement. A ce propos, les grandes lignes de la politique de l'eau en Algérie, rappelons-le, s'articulent essentiellement sur l'accroissement des capacités des eaux conventionnelles et non-conventionnelles, la réhabilitation des infrastructures de l'eau potable et d'assainissement, la modernisation des surfaces ainsi que la réforme du cadre juridique régissant le secteur de l'eau. Le département des ressources en eau, de Abdelmalek Sellal, enchaîne les partenariats avec les professionnels étrangers de l'eau dans le but de préserver les richesses hydrauliques du pays, d'autant plus que l'accès à l'eau est de plus en plus difficile à cause des changements climatiques, du fait de l'industrialisation et de la croissance démographique. Ainsi, selon un communiqué du ministère des Ressources en eau, parvenu hier à notre rédaction, M. Sellal s'est entretenu hier au siège de son département avec l'ambassadeur du Japon à Alger, M. Takeshi Kamitani, sur la coopération bilatérale dans le domaine hydraulique afin d'examiner l'état de la coopération entre les deux pays ainsi que les moyens à mettre en œuvre pour la renforcer davantage. Le ministre a exprimé, poursuit le communiqué, la volonté du gouvernement à renforcer les possibilités de rapprochement des entreprises publiques des deux pays en vue d'instaurer un partenariat mutuellement bénéfique. A cette occasion, les deux parties ont souligné l'importance de donner un second souffle à la coopération bilatérale entre les deux pays, en développant leurs relations à travers l'intensification des échanges d'expériences, d'experts et d'information dans le domaine de la réalisation et de la maintenance des ouvrages hydrauliques. Le Japon, signale-t-on, est l'un des pays qui détient une expérience et un savoir-faire avérés dans le domaine de la préservation des ressources en eau. Il faut dire, à ce titre, qu'un intérêt particulier a été donné au secteur hydraulique. Les successions d'accords de partenariats en témoignent, notamment un protocole signé avec les Cubains en juin dernier, suivi d'un accord avec les Allemands au mois de juillet dernier, portant tous sur le transfert du savoir-faire et de la technologie ainsi que la réalisation de grands projets d'investissement. A ce propos, les grandes lignes de la politique de l'eau en Algérie, rappelons-le, s'articulent essentiellement sur l'accroissement des capacités des eaux conventionnelles et non-conventionnelles, la réhabilitation des infrastructures de l'eau potable et d'assainissement, la modernisation des surfaces ainsi que la réforme du cadre juridique régissant le secteur de l'eau.