A une heure du début des discussions autour de la tripartite, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) s'est exprimée sur un point important : la revalorisation du Salaire national minimum garanti (SNMG). La centrale syndicale propose une augmentation minimale de 3.000 dinars. A une heure du début des discussions autour de la tripartite, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) s'est exprimée sur un point important : la revalorisation du Salaire national minimum garanti (SNMG). La centrale syndicale propose une augmentation minimale de 3.000 dinars. Selon Abdelkader Malki, responsable au secrétariat national de l'UGTA, l'augmentation du SNMG ne devrait pas être inférieure à 3. 000 dinars. Lors de son passage à l'émission "Invité de la rédaction", M. Malki a déclaré : "Nous souhaitons que le SNMG soit augmenté et qu'il se situe entre 15.000 et 18.000 dinars." Tout en rappelant que le SNMG concerne surtout le personnel exerçant dans la Fonction publique, ce responsable au sein de l'UGTA a relevé que jusqu'à maintenant des salariés ne perçoivent toujours pas le SNMG actuel qui est de 12.000 dinars. La centrale souhaite que le SNMG ne soit pas inférieur à 15.000 dinars. "Même si ce seuil est accepté par le gouvernement, il faudra se réunir rapidement en tripartite pour revoir à la hausse une nouvelle fois le SNMG", a-t-il indiqué. Cela en notant que sur la base d'une enquête élaborée par ce syndicat, seul représentant des travailleurs lors de cette tripartite, un salaire moyen pour une famille de quatre à six personnes est de 34.000 dinars. Par ailleurs, M. Abdelkader Malki a relevé que des négociations doivent être engagées dans le cadre des conventions de branches pour les travailleurs exerçant dans des entreprises publiques. Interrogé sur le devenir de l'article 87 bis, l'invité de la rédaction a révélé que ce point n'a pas été inscrit à l'ordre du jour de cette 13e édition de la tripartite. Il a, néanmoins, confirmé la discussion autour des allocations familiales. L'UGTA appuie l'Etat dans sa volonté de les faire payer par les entreprises. "Nous sommes pour que les entreprises privées, notamment étrangères, versent elles mêmes les allocations familiales" a-t-il déclaré. Lors de cette tripartite, selon Abdelkader Malki, les discussions tourneront également autour du régime de retraite, de la loi de finances complémentaire (LFC) 2009 et de l'environnement de l'entreprise. A ce sujet, il a affirmé qu' "Il faut sauver le tissu industriel national aussi bien public que privé. L'Etat est disposé à aider les deux secteurs pour continuer à travailler au lieu de tout importer de l'extérieur. Mais, il ne s'agit pas d'un assainissement général des entreprises". Selon Abdelkader Malki, responsable au secrétariat national de l'UGTA, l'augmentation du SNMG ne devrait pas être inférieure à 3. 000 dinars. Lors de son passage à l'émission "Invité de la rédaction", M. Malki a déclaré : "Nous souhaitons que le SNMG soit augmenté et qu'il se situe entre 15.000 et 18.000 dinars." Tout en rappelant que le SNMG concerne surtout le personnel exerçant dans la Fonction publique, ce responsable au sein de l'UGTA a relevé que jusqu'à maintenant des salariés ne perçoivent toujours pas le SNMG actuel qui est de 12.000 dinars. La centrale souhaite que le SNMG ne soit pas inférieur à 15.000 dinars. "Même si ce seuil est accepté par le gouvernement, il faudra se réunir rapidement en tripartite pour revoir à la hausse une nouvelle fois le SNMG", a-t-il indiqué. Cela en notant que sur la base d'une enquête élaborée par ce syndicat, seul représentant des travailleurs lors de cette tripartite, un salaire moyen pour une famille de quatre à six personnes est de 34.000 dinars. Par ailleurs, M. Abdelkader Malki a relevé que des négociations doivent être engagées dans le cadre des conventions de branches pour les travailleurs exerçant dans des entreprises publiques. Interrogé sur le devenir de l'article 87 bis, l'invité de la rédaction a révélé que ce point n'a pas été inscrit à l'ordre du jour de cette 13e édition de la tripartite. Il a, néanmoins, confirmé la discussion autour des allocations familiales. L'UGTA appuie l'Etat dans sa volonté de les faire payer par les entreprises. "Nous sommes pour que les entreprises privées, notamment étrangères, versent elles mêmes les allocations familiales" a-t-il déclaré. Lors de cette tripartite, selon Abdelkader Malki, les discussions tourneront également autour du régime de retraite, de la loi de finances complémentaire (LFC) 2009 et de l'environnement de l'entreprise. A ce sujet, il a affirmé qu' "Il faut sauver le tissu industriel national aussi bien public que privé. L'Etat est disposé à aider les deux secteurs pour continuer à travailler au lieu de tout importer de l'extérieur. Mais, il ne s'agit pas d'un assainissement général des entreprises".