L'aéroport Mohamad Boudiaf de Constantine était sous haute surveillance, jeudi denier, en raison de l'arrivée du premier groupe de pelerins.L'enregistrement d'un premier décès, 24 heures auparavant, a été un motif supplémentaire pour mettre les bouchées double en matière de prévention dans l'enceinte aéroportuaire. Annoncé pour 7 heures, le vol d'Air Algérie en provenance de Jeddah n'a atterri sur le tarmac que vers 13 heures. Une attente interminable et lassante pour les dizaines de personnes venues, des différentes wilayas de l'Est, accueillir qui, un père, qui un oncle... A l'arrivée de ces 253 hadjis d'un ensemble de 3.000 qui rentreront à travers 12 autres vols dans les prochains jours, l'attente s'est encore prolongée. Toutes ces familles devront encore patienter, le temps que leurs proches hadjis soit soumis à une batterie de mesures préventives. Pour se faire, une cellule de crise regroupant la PAF, Air Algérie, la direction de la santé, la protection civile et le Croissant rouge, a été mise sur pied. Sa mission consiste à s'assurer de l'état de santé des pèlerins et à isoler les éventuels sujets contaminés par le virus H1N1.D'ailleurs, une salle d'isolement a été installée in situ. Aux personnels activant à l'aéroport et en contact directe avec le groupe de hadjis, il a été distribué un kit de protection contenant des gants et des masques. Chaque pèlerin, subira à son tour une visite médicale dont la prise de température corporelle. Il passera, aussi devant le détecteur thermique mobile ainsi que la caméra thermique, installée sur les lieux, il y a quatre mois. Officiellement, le groupe de hadjis rentré le 3 décembre ne compte aucun cas de grippe A, selon les déclarations de sources proches de la cellule de crise. L'aéroport Mohamad Boudiaf de Constantine était sous haute surveillance, jeudi denier, en raison de l'arrivée du premier groupe de pelerins.L'enregistrement d'un premier décès, 24 heures auparavant, a été un motif supplémentaire pour mettre les bouchées double en matière de prévention dans l'enceinte aéroportuaire. Annoncé pour 7 heures, le vol d'Air Algérie en provenance de Jeddah n'a atterri sur le tarmac que vers 13 heures. Une attente interminable et lassante pour les dizaines de personnes venues, des différentes wilayas de l'Est, accueillir qui, un père, qui un oncle... A l'arrivée de ces 253 hadjis d'un ensemble de 3.000 qui rentreront à travers 12 autres vols dans les prochains jours, l'attente s'est encore prolongée. Toutes ces familles devront encore patienter, le temps que leurs proches hadjis soit soumis à une batterie de mesures préventives. Pour se faire, une cellule de crise regroupant la PAF, Air Algérie, la direction de la santé, la protection civile et le Croissant rouge, a été mise sur pied. Sa mission consiste à s'assurer de l'état de santé des pèlerins et à isoler les éventuels sujets contaminés par le virus H1N1.D'ailleurs, une salle d'isolement a été installée in situ. Aux personnels activant à l'aéroport et en contact directe avec le groupe de hadjis, il a été distribué un kit de protection contenant des gants et des masques. Chaque pèlerin, subira à son tour une visite médicale dont la prise de température corporelle. Il passera, aussi devant le détecteur thermique mobile ainsi que la caméra thermique, installée sur les lieux, il y a quatre mois. Officiellement, le groupe de hadjis rentré le 3 décembre ne compte aucun cas de grippe A, selon les déclarations de sources proches de la cellule de crise.