A vocation agricole, la wilaya de Souk-Ahras renferme quelque 80.000 vaches, dont 45.000 laitière. 90% échappent au dépistage et 90% de la production laitière est vendue dans les marchés informels et aux abords des routes nationales. Toute tentative de mettre fin à ce fléau s'est révélée vaine. A vocation agricole, la wilaya de Souk-Ahras renferme quelque 80.000 vaches, dont 45.000 laitière. 90% échappent au dépistage et 90% de la production laitière est vendue dans les marchés informels et aux abords des routes nationales. Toute tentative de mettre fin à ce fléau s'est révélée vaine. Malgré le chiffre alarmant de 58 cas de brucellose découverts depuis le début de l'année, les éleveurs demeurent réticents quant aux dépistages effectués par les services vétérinaires et pour cause, disent-ils, une vache abattue est remboursée par l'Etat à seulement 35%, ce qui représente d'énormes pertes aux éleveurs. De vocation agricole, la wilaya de Souk-Ahras renferme quelque 80.000 vaches, dont 45.000 laitières, mais selon Khlil Rouania (un grand éleveur), 90% échappent au dépistage et 90% du lait produits sont vendus au marché informel, aux abords des routes nationales, un fléau que toute tentative pour en mettre fin s'est avérée vaine. Toujours dans le même contexte, et dans le but de renforcer et développer la production animale et se mettre au diapason avec les pays développés, la Direction des services agricoles (DSA) a, d'après son directeur, M. Abderrahmane Mansouri, entamé des démarches en collaboration avec les éleveurs afin d'encourager l'insémination artificielle. Notons que la wilaya de Souk-Ahras renferme 1.400 exploitants répartis sur 217 exploitations agricoles. Les prix incitatifs accordés par l'Etat, l'aide et le suivi en matière de semences et d'engrais et la bonne pluviométrie ont fait que Souk-Ahras progresse à la 2e place nationale en matière de production de céréales l'année passée. «Cette année sera encore meilleure», déclare le DSA qui précise que sur les 137.000 hectares prévus, 35% ont déjà été labourés et semés, un taux meilleur que celui enregistré l'année précédente. Saisissant l'occasion, le directeur lance un appel aux fellahs afin qu'ils investissent dans le blé tendre et l'orge. Idem pour l'arboriculture et plus spécialement l'oléiculture avec 1.500 hectares d'oliviers sur un total de 4.700 hectares d'arbres fruitiers, et où l'installation d'une huilerie moderne à Heddada permettra au moins d'assurer l'autosuffisance locale en matière d'huile d'olive. Malgré le chiffre alarmant de 58 cas de brucellose découverts depuis le début de l'année, les éleveurs demeurent réticents quant aux dépistages effectués par les services vétérinaires et pour cause, disent-ils, une vache abattue est remboursée par l'Etat à seulement 35%, ce qui représente d'énormes pertes aux éleveurs. De vocation agricole, la wilaya de Souk-Ahras renferme quelque 80.000 vaches, dont 45.000 laitières, mais selon Khlil Rouania (un grand éleveur), 90% échappent au dépistage et 90% du lait produits sont vendus au marché informel, aux abords des routes nationales, un fléau que toute tentative pour en mettre fin s'est avérée vaine. Toujours dans le même contexte, et dans le but de renforcer et développer la production animale et se mettre au diapason avec les pays développés, la Direction des services agricoles (DSA) a, d'après son directeur, M. Abderrahmane Mansouri, entamé des démarches en collaboration avec les éleveurs afin d'encourager l'insémination artificielle. Notons que la wilaya de Souk-Ahras renferme 1.400 exploitants répartis sur 217 exploitations agricoles. Les prix incitatifs accordés par l'Etat, l'aide et le suivi en matière de semences et d'engrais et la bonne pluviométrie ont fait que Souk-Ahras progresse à la 2e place nationale en matière de production de céréales l'année passée. «Cette année sera encore meilleure», déclare le DSA qui précise que sur les 137.000 hectares prévus, 35% ont déjà été labourés et semés, un taux meilleur que celui enregistré l'année précédente. Saisissant l'occasion, le directeur lance un appel aux fellahs afin qu'ils investissent dans le blé tendre et l'orge. Idem pour l'arboriculture et plus spécialement l'oléiculture avec 1.500 hectares d'oliviers sur un total de 4.700 hectares d'arbres fruitiers, et où l'installation d'une huilerie moderne à Heddada permettra au moins d'assurer l'autosuffisance locale en matière d'huile d'olive.