Les prix du pétrole ont ouvert en progression, hier, en début d'échanges européens, face à la monnaie américaine qui s'établissait en baisse après les propos du président de la réserve fédérale(FED) écartant les spéculations d'un relèvement anticipé du taux directeur de l'institution. Le baril de Brent de la mer du Nord, échangé à Londres (livraison en janvier), gagnait 50 cents à 76,93 dollars, alors que le baril de "brut léger texan" (WTI) échangé à New York (même échéance) gagnait 33 cents, à 74,26 dollars, après être tombé lundi sous 74 dollars pour la première fois depuis la mi-octobre. Les prix du brut ont trouvé du soutien dans un regain de faiblesse du dollar, après des commentaires lundi du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Ben Bernanke, qui a suggéré qu'"une hausse des taux n'est pas à l'ordre du jour pour l'avenir proche", notaient les experts. S'exprimant avant une réunion de la Réserve fédérale les 15 et 16 décembre, M. Bernanke a évoqué les tendances mitigées des secteurs clés de l'économie en particulier, la faiblesse du marché du travail et la crise du crédit. Cependant, "si ces commentaires ont mis un peu de pression sur le dollar, et soutenu le pétrole, ce n'était pas suffisant pour effacer totalement la pression du contango" sur les prix du pétrole, notait également l'analyste. Le contango est la différence de prix entre le contrat d'échéance la plus proche et les contrats plus éloignés. Un écart important des prix encourage un hausse du stockage jusqu'à la remontée prévue des prix. Les cours du brut sur le marché américain pâtissent également d'une offre abondante, avec des réserves qui continuent de s'étoffer, comme l'ont révélé la semaine dernière les statistiques hebdomadaires du DoE. Dans le même temps, les chiffres du DoE montrent chaque semaine que la consommation de produits pétroliers des Etats-Unis reste en nette baisse par rapport à l'an dernier. Les prix du pétrole ont ouvert en progression, hier, en début d'échanges européens, face à la monnaie américaine qui s'établissait en baisse après les propos du président de la réserve fédérale(FED) écartant les spéculations d'un relèvement anticipé du taux directeur de l'institution. Le baril de Brent de la mer du Nord, échangé à Londres (livraison en janvier), gagnait 50 cents à 76,93 dollars, alors que le baril de "brut léger texan" (WTI) échangé à New York (même échéance) gagnait 33 cents, à 74,26 dollars, après être tombé lundi sous 74 dollars pour la première fois depuis la mi-octobre. Les prix du brut ont trouvé du soutien dans un regain de faiblesse du dollar, après des commentaires lundi du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Ben Bernanke, qui a suggéré qu'"une hausse des taux n'est pas à l'ordre du jour pour l'avenir proche", notaient les experts. S'exprimant avant une réunion de la Réserve fédérale les 15 et 16 décembre, M. Bernanke a évoqué les tendances mitigées des secteurs clés de l'économie en particulier, la faiblesse du marché du travail et la crise du crédit. Cependant, "si ces commentaires ont mis un peu de pression sur le dollar, et soutenu le pétrole, ce n'était pas suffisant pour effacer totalement la pression du contango" sur les prix du pétrole, notait également l'analyste. Le contango est la différence de prix entre le contrat d'échéance la plus proche et les contrats plus éloignés. Un écart important des prix encourage un hausse du stockage jusqu'à la remontée prévue des prix. Les cours du brut sur le marché américain pâtissent également d'une offre abondante, avec des réserves qui continuent de s'étoffer, comme l'ont révélé la semaine dernière les statistiques hebdomadaires du DoE. Dans le même temps, les chiffres du DoE montrent chaque semaine que la consommation de produits pétroliers des Etats-Unis reste en nette baisse par rapport à l'an dernier.